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Corpus sur la vitesse bas NDRC

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Par   •  25 Mars 2020  •  Cours  •  1 207 Mots (5 Pages)  •  1 671 Vues

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CORPUS

Après étude de ces différents documents, nous avons une fable de Jean de La Fontaine qui s’intitule « Le lièvre et la tortue » de 1668, nous avons également une nouvelle écrite par Jean Giono qui s’intitule « L’Homme qui plantait des arbres » de 1953 qui a des similitudes avec l’œuvre de Jean de La Fontaine à savoir que « Rien ne sert de courir, tout vient à point à qui sait attendre », nous aurons aussi une nouvelle de David Le Breton qui s’intitule « Marcher. Éloge des chemins et de la lenteur » de 2012 ainsi qu’une peinture de Vincent Van Gogh s’intitulant « La sieste » de 1889 à 1890 ou l’on voie deux personnes en train de se reposer après avoir ramasser beaucoup de foin. Suite à l’analyse de ces différents documents, il en est ressorti une problématique qui est : Est-il mieux de choisir lenteur et calme ou vitesse et précipitation ?

  1. Lenteur et calme
  1. Marcher :

Dans la fable de Jean de La Fontaine, la nouvelle de Jean Giono et la nouvelle de David Le Breton, le fait de marcher apporte beaucoup à l’homme.

Dans la nouvelle de Jean Giono, nous voyons bien les effets de la marche et de la lenteur car quand le jeune revient de la guerre et marche avec le vieux monsieur, il se rend compte que les arbres ont bien poussés et que de marché grâce aux mains de l’homme et que cela lui procure un sentiment nouveau.

  1. Les bienfaits de la lenteur grâce à la marche :

Lorsque nous analysons la nouvelle de David Le Breton et la peinture de Vincent Van Gogh nous apercevons les bienfaits de la lenteur. Dans la nouvelle de David Le Breton, nous pouvons nous rendre compte que celui-ci parle des bienfaits que procure la marche, il évoque le fait que la marche invite l’homme à se dénuder et à faire oublier nous routine. Il parle également de la marche pour le pèlerinage sur les Chemins de Compostelle.

Sur la peinture de Vincent Van Gogh, on aperçois deux personnes en train de s’abonner à une sieste et donc en état de lenteur car après une longue période d’acharnement au travail et de vitesse pour ramasser la paille, ils ont bien besoin de repos.

Également dans la fable de Jean de La Fontaine, nous retrouvons les bienfaits de la lenteur car dans cette fable il est question d’une course mais celle-ci est gagné pas grâce à la vitesse mais bien par la lenteur avec la tortue qui elle prend son temps face au lièvre.  

  1. Vitesse et précipitation
  1. Courir :

Dans la fable de Jean de La Fontaine, nous apercevons ce que la vitesse peu procurer. Car dans cette fable nous avons un lièvre qui ne prend pas la course et sérieux et qui ne croit pas la tortue sur le fait que celle-ci le gagnera.

Hors le lièvre s’amuse de sa vitesse et la tortue elle continue sa course ce qui porte tort au lièvre qui ne terminera que deuxième de cette course, comme le dit Jean de La Fontaine dans sa fable « Rien ne sert de courir, il faut partir à point ». Dans la nouvelle de Jean Giono et dans celle de David Le Breton, nous pouvons également voir que la vitesse du temps ou de l’action ne résout rien car pour Jean Giono dans sa nouvelle le jeune cour à travers la guerre alors que la vieille personne elle conjugue lenteur et calme pour voir pousser ses arbres.

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