Corpus sur la vitesse
Commentaire de texte : Corpus sur la vitesse. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar ALAD230 • 4 Mai 2020 • Commentaire de texte • 1 025 Mots (5 Pages) • 3 662 Vues
Synthèse de documents
Nous allons étudier un corpus composé de 4 documents. Tout d’abord, le document 1 est un extrait du carnet de géographes écrit par xavier desjardins en 2015 qui est « la ville lente : utopie, audace ou régression ? Réflexions libres autour d’écrits de Marc Wiel ». Le texte aborde le l’effet de coupure créer par la recherche de la vitesse de déplacements. Le document 2, est une photographie tirée du film les temps modernes de 1936 de Charlie Chaplin. Sur cette image on aperçoit Charlie Chaplin dans les rouages de l’usine en train de répéter les mêmes mouvements. Ensuite, le texte de Harmut rosa intituler « Aliénation et accélération. Vers une théorie critique de la modernité tardive ». Ce texte aborde les effets négatifs de la vitesse sur l’environnement. Le document 4 est un texte de Samra Bonvoisin « Cinéma : Tout s’accélère de Gilles Vernet » datant du 21 avril 2016. Ce texte aborde le point de vue des enfants sur la vitesse mais aussi que l’accélération dans nos vies à de grandes conséquences.
C’est pour cela que l’on peut se demander, En quoi l’omniprésence de la vitesse, entraine de graves conséquences à différentes échelles ?
Dans un premier temps, nous verrons que la vitesse est synonyme de coupures à différentes échelles et que cette vitesse peut être destructrice.
La vitesse a créé des différences entre les pays. Tout d’abord « la diachronie temporelle entre les pays développés, […] dans une lenteur non voulue » L’apparition des pays développés et émergents En effet, les pays développés se sont fait une course au pouvoir et a l’argent en peu de temps. Samra bonvoisin souligne cette idée en disant « plus de puissance et de forces, dans un temps toujours plus court. » Ces pays ont fondé leur système financier sur l’endettement pour accélérer la consommation jusqu’à amener vers une surconsommation soulignée par jean louis Beffa, « un système financier fondés sur l’endettement ». Cette idée de pays voulant tout le temps accélérer est crédibiliser par l’image iconographique illustrant Charlie Chaplin voulant accélérer mais bloquer dans le mécanisme des usines. Qui a l’époque cherchait la rapidité avec le travail à la chaine. La vitesse n’a pas que crée cette course mais à créer un véritable fossé entre les différents pays avec un accroissement des inégalités tant à l’échelles internationales entre les pays riches et les pays pauvres mais aussi à l’échelle locale entre les plus riches et les plus pauvres. « Les écarts d’accessibilité s’accroissent entre les plus riches et les plus pauvres. »
La vitesse a aussi permis l’apparition d’un monopole de déplacements motorisés en créant une dépendance chez l’homme qui se retrouve contrôlé. « Dès que la vie quotidienne dépend du transports motorisé, l’industrie contrôle la circulation ». Cette dépendance a été créer par l’installation de plateforme qui ont coupés la création d’autres moyens. « Pour que les tramways circulent, […] des véhicules agricoles ou de chantiers ». Les villes vont mêmes jusqu’à « séparer les flux » pour aller plus vite. Cela créer un effet de coupure dans la ville, car ont créer des moyens de transports au dépend d’autres moyens ce qui nous rappel la séparation entre les plus riches et les plus pauvres face aux prix des nouveaux transports « la vitesse renforce les inégalités. A mesure que l’accessibilité offerte par les moyens de transports les plus performants et donc souvent les plus chers ». Cette vitesse du quotidien peut être destructrice.
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