Taylorisme et le fordisme.
Analyse sectorielle : Taylorisme et le fordisme.. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar jean zay • 20 Janvier 2018 • Analyse sectorielle • 4 223 Mots (17 Pages) • 788 Vues
Le pétrole commence à être exploité de manière industrielle aux Etats Unis et au Royaume Uni dès 1860. Il commence son essor avec l’invention de l’automobile et le dévelopement de l’industrie automobile, avec l’invention du moteur à essance en 1886 et en 1896 du moteur diesel.
De nouvelles méthodes de travail apparaissent notammment le taylorisme et le fordisme.
C – Crise et dépression des années 1930 avec notamment la crise provoquée par le krach boursier d’octobre 1929 qui va provoquer une crise mondiale
Elle provoque instantanément une augmentation considérable du chômage avec une faillite des entreprise. Le chômage augmente de manière exponentielle : Les Etats Unis et l’Allemagne. Se propage dans le monde entier, sauf pour l’URSS : économie coimmuniste.
La crise des années 1930 provoque une dépression qui se matérialise notamment par un ralentissement du processus de mondialisation. Beaucoup d’états se replient sur eux même. Elle suscite également des politiques otarciques.
2 – Croissance et mondialisation à partir de 1945
Entre 1945 et 1973 : premier choc pétrolier qui met fin à cette période de trentes glorises. Période de mondialisation.
C’est une période de croissance inégalée dans l’histoire qui se traduit par notamment le dévleoppement des transports individuels notamment des automobiles grâce au pétrole bon marché et cette période se traduit également par l’essor de la société de cfonsommation, la société de masse.
Les années 1960 marquent le début de ce que certains économistes appellent la 3e industrialisation qui est fondée sur les hautes technologies et sur les services.
A apartir de 1945 il y a une très forte reprise de al croissance de l’ordre de 5 % par an pour les pays développés. Cette croissance renforce le PIB, également le plein emploi donc le pouvoir d’achat.
Le terme de 30 glorienses en France a été inventé par Georges Fourastié en 1979.
Egalement cette période s’accompagne d’une libéralisation des échanges avec notamment en 1947 l’ancêtre de l’OMC la création du GATT (accords généraux sur les tarifs douaniers et sur le commerce).
La société de consommation a été également encouragée par 2 choses: le développement de la publicité et l’accès au crédit. Ces économies permettent une consommation de masse : c’est une consommation très élevée pour une part importante de la population active. Les années 70 sont également marquées par des phases de récession (ralentissements de l’activité économiques entre 1974 et 1975 et entre 1979 et 1982) à cause des deux chocs pétroliers en 1973 et 1979.
Les années 1970 constituent donc un tournant, avec 1 croissance moins importante dans le cadre d’une accélération de la mondialisation. La mondialisation actuelle se base sur le développement des services et de la haute technologie. Elle se base également sur la terciarisation de l’économie dans les pays du Nord. Croissance qui concerne principalement les pays du Nord même si les pays dits du Sud sont intégrés dans la mondialisation (Brésil, Chine, Afrique du Sud, Inde) et d’autres pays émergents du Sud (Argentine, Indonésie, Mexique, etc.)
La mondialisation connaît une nouvelle évolution à partir des années 1980 et des années 1990. Aujourd’hui, on assiste à une multiplication des puissances émergentes, à une multipolarisation.
II – Les économies-mondes
A – L’économie-monde britannique
Le Royaume-Uni domine le monde pendant deux siècles : les 18ème et 19ème siècles. Plusieurs raisons expliquent cette domination. Tout d’abord, ce sont eux qui ont développé la marine et qui dominaient toutes les mers et océans du monde. La première Révolution industrielle font du Royaume-Uni la « manufacture du monde » : 32 % de la production du monde est britannique (avec notamment la production du textile, l’exploitation du charbon et la métallurgie). C’est le Royaume-Uni qui a mis en place le libreéchange économique à partir de 1946 et la domination monétaire : la livre sterling (monnaie de référence dans les échanges internationaux jusqu’en 1918).
Le Royaume-Uni domine aussi par sa puissance militaire (la deuxième dans le monde) et ses transports (les principaux ports se situent au Royaume-Uni, notamment Liverpool qui abrite le deuxième port mondial au milieu du 19e siècle) et contrôle toutes les routes maritimes du monde. Le Royaume-Uni domine également le commerce mondial avec 22 % des exportations mondiales en 1870 et 17 % en 1913.
Le Royaume-Uni a besoin de matières premières, de ressources pour faire fonctionner son industrie. Elle se les procure dans ses colonies mais également en Amérique du Nord, en Amérique latine et Europe occidentale (en France, en Allemagne et dans une moindre mesure aux Pays-Bas).
Il y a de très nombreux investissements britanniques en Amérique du Nord, en Amérique latine et en Europe occidentale. Toutefois, le fondement de l’économie-monde britannique est son empire colonial, qui est le plus vaste du monde. En 1914, l’empire britannique a une superficie de 30 millions de km² et possède 410 millions d’habitants (le quart de l’humanité, le cinquième des terres émergées)
Le Royaume-Uni est la première puissance commerciale jusqu’en 1914, mais elle est peu à peu rattrapé par l’Allemagne, les États-Unis et la France notamment à partir de la seconde révolution industrielle. Ces états dépassent technologiquement le Royaume-Uni. C’est l’une des principales raison du déclin britannique.
B – Les États-Unis d’Amérique : une ancienne colonie britannique devenue superpuissance mondiale
Il y a de nombreux facteurs favorables au développement économique des États-Unis : Tout d’abord l’expansion de son territoire, qui devient immense avec notamment l’achat de l’Alaska en 1867 à la Russie et l’annexion de l’archipel d’Hawaï en 1898. Ces terres deviennent États des ÉtatsUnis en 1959.
Egalement sa croissance démographique, qui se traduit par une forte augmentation de la population, qui passe d’environ 5 millions d’habitants en 1776 à 325 millions aujourd’hui. Les États-Unis ont ensuite été un moteur de la deuxième révolution industrielle, avec notamment l’exploitation intensive du pétrole et le développement l’industrie automobile. Enfin l’innovation, avec de nouvelles formes de travail à la chaîne avec le taylorisme et le fordisme, et surtout le développement des grandes entreprises capitalistes ont contribué fortement au développement économique.
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