Francais devoir3 de seconde

1/ Les passages proposés sont des oeuvres du XIX siècle, ce sont des romans réalistes car les rues et personnages sont en mouvement, on y entend aussi du bruit

Dans les extraits les deux auteurs admirent des animaux comme “le chien de garde aboya” , “les poules s'envolèrent “ ,”le cheval avait fait quelques pas” ou encore “une chèvre broutait “Il montre Paris sous l'aspect animalesque.

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2/Les deux oeuvres montrent une réaliste triste et maussade, le Paris de Frédéric associe des couleurs froides et triste comme avec “grisâtre” “bleue” mais,qui sont aussi entre coupé d’un “rayon” de soleil“ comme éblouissante lumière”.

Le narrateur nous fait aussi une énumération de lieux parisiens où il y trouve “commerçants”,”un potier”,”un marchand d’habits “ et pleins d’autres artisans.

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3/Les deux auteurs utilise le réalisme car ils parlent du vrais paris avec ses commerçants et artisans ou encore des maison délabrée mais toutefois le réalisme est aussi mélangé avec des métaphores (animalesque par exemple)

Frederique nous fait visiter Paris avec sa vision de tristesse et de noir. Il y remarque tous les défauts des quartiers “Les quais grisâtres, noires de place en place par la bavure des égouts” “ comme si il voulait se trouver des excuses à sa mélancolie .

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axe 1

: il nous fait visiter paris avec une certaine froideur, il nous énumèrent tout le défauts des quartiers.

Il nous fait découvrir Paris au même moment où il arrive sur les lieux , on suit Frederic

le texte nous donnes des informations sur ses préférences comme “il passait des heures à regarder,du haut de son balcon” ou encore “Ses yeux délaissant à gauche le pont de pierre de Notre-Dame(..,) pareils aux tilleuls du port de Montereau” , ceci nous donne l’information qu’il admire. Ensuite, Frédéric rentra est dans son intérieur comme “ Il rentrait dans sa chambre ; puis, couché sur son divan, s’abandonnait à une méditation désordonnée : plans d’ouvrage, projets de conduite, élancements vers l’avenir” . il ressort car il se lassa de la longueur de son contentement “ Enfin, pour se débarrasser de lui-même, il sortait”.

Il commença à nous décrire les quartiers et monuments mais vu par ses yeux, avec un certain ennui” le quartier latin, si tumultueux d’habitude, mais désert à cette époque’ , “ Les grands murs des collèges, comme allongés par le silence, avaient un aspect plus morne encore ; on entendait toutes sortes de bruits paisibles, des battements d’ailes dans des cages, le ronflement d’un tour, le marteau d’un savetier ; et les marchands d’habits, au milieu des rues, interrogeaient de l’œil chaque fenêtre, inutilement”. On y remarque qu’il ne met jamais de point comme pour dire que cela est très long à observer. On a aussi l’impression qu’il y a beaucoup plus de mouvement car il se balade

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