Francais devoir 7

Introduction

Autant que Beaumarchais, Molière se penche sur la question de la place de la femme dans la société. C’est le cas ici dans la comédie L’école des femmes, écrite en 1662. L’extrait présenté est celui de la scene 6 de l’acte IV, ou Horace s’adonne a un monologue ou il fait part au spectateur de ses pensées et de sa situation que l’on pourrait caractériser de dramatique, puisqu’il ne peut pas se permettre de dévoiler ni de vivre pleinement son amour avec Agnes, cela a cause d’Arnolphe, qui la séquestre. Je vais a present lire l’extrait propose.

[lecture expressive]

Pouvons nous tirer de cet extrait des elements apportant une dimension autre que dramatique. C’est en observant la progression de l’intrigue, puis le comique a travers l’extrait pour enfin nous attarder sur le caractère instructif du monologue d’Horace que nous pourrons le découvrir.

I. Le récit fait progresser l’intrigue

La progression de l’intrigue est présentée dans une forme indirecte, ou le spectateur peut être informer de nouvelles péripéties a travers le discours d’horace. On apprend qu’Horace et Agnes se sont vus pendant un court instant (instant durant lequel) Horace passe de séducteur a amoureux engage, je cite “mon amour tachera de ma gagner l’acces” , et que leur rencontre fut perturbe par Arnolphe, qui entra dans la chambre d’Agnes en trombe.

C’est ainsi que l’on comprend le rapprochem ent des deux amants et de la manière dont ils se voient, et que l’on devine une prochaine péripéties, ou Arnolphe découvrirait et réagirait probablement au cocuage, de manière certainement violente.

L’evolution de l’intrigue se manifeste aussi dans le personnage d’Arnolphe : au debut, perçu comme, je cite “un homme jaloux” devient ensuite, dans ce discours rapporté,un homme victime d’une situation: il est amoureux mais son amour n’est pas reciproque.

Souffrant, il réagi avec violence et exasperation. je cite “Poussants de temps en temps de soupirs pitoyable, donnant quelque fois des coups sur la table” au vers 1156 et 1157

Il perd son statut de tyran pour trouver celui d’esclave de ses sentiments. Il se montre dépendant de l’être qu’il a voulu rendre dépendant de lui. Il y a donc une réelle dimension dramatique à cette situation.

Ce passage qui connote le dramatique à cause du personnage devenu tragique d’Arnolphe, a pourtant une facette parodique, percevable par le nombre important de comique différents.

II. Le récit est comique

Le comportement exagéré d’Arnolphe souligne le comique de caractère de la pièce. Archétype de l’homme trompé, d’une rage injuste et qui démontre sa colère par le silence, et par une violence physique. Il est l’incarnation du mari voulant accuser sa femme, sans preuve d’adultère. Le comique de caractère est aussi apparant dans le personnage d’Horace: représentatif de l’amoureux séducteur , courageux (car prenant le risque d’aller voir sa belle) et comme dans la comedia del arte, on peut voir un comique de geste puisqu’il démontre ce qu’il ressent et pense uniquement à travers ses actions, pareillement à Arnolphe qui démontre sa colère par des gestes.

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