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Francais devoir 1 officiel

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Par   •  22 Septembre 2016  •  Cours  •  1 429 Mots (6 Pages)  •  1 680 Vues

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Références du devoir

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Code de la matière : doubleclic 

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Pour les devoirs de langues étrangères, précisez LV1, LV2 ou LV3 : doubleclic 

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Questions.

  1. La critique commune a l'ensemble des textes est la question sur l'autre qui est représenter ici par l'homme.

On voit dans le premier extrait tirait du livre de Cyrano de Bergerac intitulait  «Les états et empires du soleil»,que l'homme en générale est confronter aux oiseaux.

Ceux ci se demande si le chasseur dont il est question dans le texte est bien une homme et si il faut le sanctionné : « Le noeuds de l'affaire consiste à savoir si cet animal est homme et puis en cas que nous avérions qu'il le soit, si pour cela il mérite la mort.». Cette description de l'homme renvoie a un sentiment d'horreur a son égard : «Premièrement, par un sentiment d'horreur dont nous nous sommes tous sentis à sa vue sans en pouvoir dire la cause...»,et fait aussi référence a un  sentiment de supériorité que l'homme éprouve face a tout etre vivant,

Dans le deuxième extrait écrit par Denis Diderot et s'intitulant «Supplémént au voyage de Bougainville» ce sentiment est aussi bien présent. Un vieillard s'adresse aux tahitiens et les met en garde contre l'homme européen qu'il considère comme un grand malheur : « pleurez mais que ce soit de l'arrivée et non du départ de ces hommes ambitieux et méchants. ». Ce vieil homme présage que Bougainville et ses hommes envahissent leurs territoires et s'appropie leur pays qui leur appartient et soudoient les tahitiens par leur malhonnêteté : « Ici tout est à tous, et tu nous as prêché je ne sais quelle distinction du tien et du mien. ».

Au contraire le dernier texte de Jean-Claude Carrière «La controverse de Valladolid» place les homme européen comme juges des Indiens. Deux personnage sont ici mis en scène, Sepulveda qui défend l'esclavage et Las Casas qui s'indigne du sort réserver aux  indigènes. Sepulveda sollicite l'ignorance de ce peuple pour défendre son idée : « ils ignorent l'usage du métal, des armes à feu et de la roue. Ils portent leur fardeau sur le dos comme des bêtes, pendant de longs parcours.». Pour réponse Las Callas expose que seul l'homme européen peut etre traité de bêtes car il est pervertie par l'or et l'argent.

En conclusion une critique est donc commune a l'ensemble des textes. L'homme est            

jugé dangereux pour les personnes qui le découvrent. Il peut s'agir aussi bien de l'espèce en générale qui prend la vie d'autres êtres vivants par sentiments de supériorité ou de l'homme moderne qui jugent comme inférieurs tout autre peuple vivant différemment.

  1. Des stratégies argumentative sont employées pour transmettre une opinion vis-a-vis de l'homme. Ces textes sont tous sous forme de plaidoirie dans laquelle le narrateur appuie ses propos par des arguments. Dans le premier texte, le locuteur doit prouver d'abord que l'homme en est vraiment un puis, si ses agissements méritent la mort. Dans un premier temps, il prouve donc son humanité par des exemples physiques et moraux semblables à l'espèce humaine « il rit comme un fou, troisièmement en ce qu'il pleure comme un sot, quatrièmement en ce qu'il se mouche comme un vilain.»Chaque caractéristique est accompagné d'une comparaison péjorative comme lorsqu'il est comparé à un fou quand il rit. Ces comparaisons sont présentes pour appuyer l'image détestable que le locuteur cherche à démontrer. Pour ensuite prouver que l'homme mérite la mort, l'oiseau cite une affirmation que tout oiseau prend pour vérité : «Toutes les créatures sont produites par notre commune mère, pour vivre en société. » de par cette phrase, il démontre ensuite que l'Homme ne respecte pas une loi fondamentale pour le maintien d'une République, qui est l'égalité. En effet il cite ensuite tous les agissements de l'Homme dont les oiseaux sont témoins pour prouver qu'il ne la respecte pas : « il se fait accroire que nous avons été fait que pour lui, il prend pour argument de sa supériorité prétendue, la barbarie avec laquelle il nous massacre».
    Il finit enfin sa plaidoirie en les discréditant sur un autre point ; les hommes sont mauvais pour eux-mêmes car ils se battent entre eux.
    Le deuxième texte, lui, fait tout d'abord appel à une introduction dans sa plaidoirie où il prédit, de manière très lyrique, l'arrivée des hommes européens. En effet il utilise des anaphores: «pleurez, malheureux Otaïtiens, pleurez (...) Un jour vous les connaitrez mieux. Un jour ils reviendront (...) Un jour vous servirez sous eux». Il répète également le Ô vocatif pour traduire un sentiment de douleur, de crainte : » Ô Otaïtiens ! Ô mes amis ! »
    Ce paragraphe sert à amplifier ses dires, à les rendre plus élogieux, plus marquants pour le destinataire, le peuple Otaïtien. Il continue cet effet lyrique, théâtral, lors de la deuxième partie où il s'adresse directement à Bougainville, absent, comme une prière au Ciel. Il introduit lors de cette tirade, une accumulation de ce que l'Homme moderne a apporté à son peuple lors de leur premier voyage. « (...) distinction du tien et du mien (...) et elles nous sont revenues teintes de votre sang. Nous sommes libres et voilà que tu as enfoui dans notre terre le titre de notre futur esclavage.» Enfin pour rendre le monologue plus vivant, il formule des questions. Celles-ci comparent les agissements de Bougainville avec ce que aurait fait les tahitiens à sa place : « Ce pays est à toi ! et pourquoi ? (...) Si un Otaïtien débarquait un jour sur vos côtes, et qu'il gravât sur une de vos pierres ou sur l'écorce d'un de vos arbres : ce pays est aux habitants D'Otaïti, qu'en penserais-tu ? » Toutes ces stratégies d'argumentation employé par le vieillard, sert à passer ses dires pour vrai, acquis aux yeux des tahitiens qui l'écoutent.
    Le dernier texte du corpus introduit deux personnes, qui défendent chacune leur thèse. En effet, il y a d'abord Sepulveda qui défend l'esclavage des indiens et, contre lui, il y a le prêtre Las Casas qui défend leur Liberté. Ce dernier, par stratégie argumentative, laisse son adversaire argumenter pour pouvoir ensuite démentir ces dires. Sepulveda, lui, décide de lister toutes les habitudes des indiens qui sont contraire à l'Homme moderne : « Ils changent très fréquemment de femmes, (...) Ils ignorent aussi la nature de l'argent et n'ont aucune idée de la valeur respective des choses.» Las Casas, en réponse, ne lit aucun exemple, il lui répond juste que des hommes qui ne sont pas corrompus par l'argent ne sont pas pour autant des hommes inférieurs, dignes d'être réduit en esclaves.

Travail d'écriture.

1.écriture d'invention

-Nous avons le pouvoir, dit un animal.

-Sans doute, dit l'homme, mais nous sommes bien plus intelligents.

...

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