Prestations sociales sur le niveau de vie des ménages les plus modestes.

Etude de document : Redistribution : les effets des prestations sociales sur le niveau de vie des ménages les plus modestes.

Dans les années 30, la France, généralise les allocations familiales pour soutenir les foyers français dans leurs charges familiales et financières des salariés travaillant dans l’industrie et du commerce. A ce jour, l’Etat a créée plusieurs aides pouvant aider les foyers les plus modestes comme le RSA, les allocations logements, la prime d’activité…

Cette étude nous montre les cas plus les plus courants, d’attribution des prestations sociales dont les français peuvent prétendre selon des critères précis. En 2016, l’étude nous montre qu’une personne seule sans enfant, sans revenu, sans activité et qui est locataire perçoit 756 € par mois qui se compose du RSA + des aides au logement. Alors qu’une personne qui a une activité rémunérée à hauteur d’un SMIC temps plein (1142 € net), peut percevoir 158€ de prime d’activité et 20€ d’allocation logement ainsi le revenu du foyer augmente. Dès lors qu’un facteur change, l’une de ces prestations peuvent se voir diminuées ou disparaitre. Plus les revenus du foyer dépassent le SMIC moins on se voit octroyer d’aides et la redistribution peut se faire que lorsque les ménages payent des impôts et des cotisations. Un facteur important qui peut changer l’attribution de ces aides ce sont les « enfants ». Les enfants vont représenter une charge supplémentaire au foyer. Grace aux aides sociales, les familles ont un meilleur niveau de vie. L’attribution des aides dépendent du plafond de ressources et de la composition du foyer.

Cette étude nous indique que si aucune personne ne travail dans un foyer, les conditions de vie sont en dessous du seuil de pauvreté, c’est-à-dire 60%. Une personne seule aura moins d’aides qu’une personne avec enfant.

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