Vivre ensemble

Sujet : Au regard de l’idée du « vivre ensemble » dans notre société contemporaine, commentez cette citation du Mahatma GANDHI : « Je ne veux pas que ma maison soit murée de toutes parts, ni mes fenêtres bouchées, mais qu’y circule librement la brise que m’apportent les cultures de tous les pays. »

La France remporte la Coupe du monde 2018 : vingt ans après, les Bleus de nouveau sur le toit du monde. Cette victoire qui apporte de la joie, de l’euphorie, de la satisfaction et surtout de la fierté pour les français. Une célébration qui permet une union complète de chacun des citoyens quel que soit son ethnie. Une équipe de France constituée de citoyens français de différentes origines avec un travail d’équipe, un partage de connaissances et compétences.
Mahatma GANDHI a dit « Je ne veux pas que ma maison soit murée de toutes parts, ni mes fenêtres bouchées, mais qu’y circule librement la brise que m’apportent les cultures de tous les pays. ». Nous pouvons alors nous interroger sur l’idée du « vivre ensemble » dans notre société contemporaine.

Un tel sujet, nous pousse à nous demander ce que génère ce concept de vie à l’ensemble de la France.

Pour cela, nous étudierons tout d’abord que ce « savoir vivre » n’est pas toujours aussi réalisable et adéquat puisque parfois perçu comme un désavantage et aussi une hausse d’insécurité puis nous verrons que malgré cette opposition, des aspects bénéfiques, convenables et encourageant en découle également.

1. Une idéologie qui représente une exigence insupportable pour les Français

1. Les avantages et droits des immigrants au détriment des Français

La France est le plus ancien pays d’immigration en Europe. La principale cause d’immigration en France est l’immigration économique, due au besoin français de main-d’œuvre et au besoin du migrant de subvenir à ses besoins, celui-ci arrivant généralement d’un pays défavorisé. Nous parlons d’immigration car cela entraîne pour les habitants et citoyens de France, d’apprendre à vivre ensemble. Cependant, ce phénomène est souvent sujet à débattre en raison des droits accordés aux migrants au détriment du citoyen Français de souche. Des droits tels qu’un accès au logement, au domaine de l’aide médicale, ou encore droit au travail qui entraîne bien évidemment la hausse du chômage pour les Français.
Car des études démontrent que le taux de chômage est 2 à 3 fois supérieur en France à la moyenne pour les étrangers et descendants d’étrangers non européens selon l’INSEE. Un migrant peut bénéficier également d’aides spécifiques pour survivre tels que l’allocation temporaire d’attente, des accès aux soins soit au régime général d’assurance maladie ou couverture de base mais encore des aides locales disparates comme la gratuité des transports en commun ou de la cantine pour les enfants. Il est clair que tous ces droits accordés à ces migrants inspirent à une bonne insertion à la population française mais pas apprécié par cette dernière.

Ainsi les avantages et droits liés à l’immigration en France malgré l’inégalité tel ressenti par les citoyens français mais ce fait entraîne également des conséquences négatives sur la société.

1. Les effets néfastes causés par l’immigration

Cette notion de Vivre ensemble diffère fondamentalement de celle de l’assimilation et de l’intégration (concepts appliqués jusqu’à l’apparition de l’Islam qui est devenu une composante dominante du phénomène migratoire). En effet, l’effort n’est plus exigé des étrangers, mais des ressortissants Français qui ont la quasi-obligation d’accueillir les migrants et de s’adapter à leurs mœurs et à leur religion. Le fait de devoir s’adapter, est à l’heure d’aujourd’hui insoutenable sachant que la figure de l’immigré est fortement associée à celle du délinquant. Puisqu’en France depuis maintenant plusieurs années le débat public sur l’insécurité tourne autour de quelques thèmes centraux dont l’un des principaux est la relation supposée entre délinquance et immigration. L’association se scinde en deux problématiques : la délinquance des étrangers et celle des jeunes issus de l’immigration.
Un autre constat évident est la surreprésentation des populations immigrées ou d’origine étrangère dans les prisons françaises, et donc parmi les auteurs de crimes et délits. En l’absence de statistiques officielles, cette constatation ne repose que sur des estimations, mais elles sont indiscutables. Un indicateur en est la proportion de détenus de confession ou de culture musulmane : dans un récent rapport sur l’islam radical en prison, l’estimation s’élève à environ 60 % de la population carcérale totale. Une autre forme d’insécurité qu’il est aussi important d’indiquer est la tentative criminelle contre une personne ou organisme tel que l’attentat de Charlie Hebdo survenu le 7 janvier 2015.

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