La famille, l'un des fondements de la société humaine
Dissertation : La famille, l'un des fondements de la société humaine. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar Ambre1708 • 28 Février 2023 • Dissertation • 909 Mots (4 Pages) • 308 Vues
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La famille fait partit des fondements dans la société humaine, dernièrement la société française a connu de nombreuses mutations qui ont été réalisés par de grandes réformes législatives : le divorce par consentement mutuel (en 1975),l’adoption aux personnes seules (en 1996) ou encore l’adoption pour les personnes homosexuel en ( en 2013). Les familles portent différents noms en fonction de chaque situations. Les familles monoparentales quand un parent vit seul avec son enfant, famille recomposées le conjoint a eu un enfant d’une première union et vient former une nouvelle famille dans un foyer commun, la famille homo parentale un couple du même sexe ayant un enfant dans leur foyer. Dernièrement la société française a connu de nombreuses mutations qui ont été réalisés par de grandes réformes législatives. Au cœur des familles monoparentales, la place et le rôle du père et de la mère connaissent des mutations de grandes ampleurs. Mais qui dois garder les enfants ? Tout d’abord j’expliquerais ce qu’est une famille monoparentale et quelles sont les difficultés que rencontre les pères et les mères fassent à cette situation puis quels sont les changements apportés par l’Etat fassent aux difficultés
Les familles monoparentales sont un près 2 millions en France ! Ce chiffre correspond à un quart des familles françaises dont 85% mené par des femmes qui travaillent. C’est familles sont gérés par un parent que ce soit mère ou père dans un même foyer. Cependant depuis quelques années des problèmes se sont avérés tel que les impayés de pension alimentaire (40% en 2013) pour le parent n’ayant pas la garde complète souvent venant du père. Cependant le mode de garde alterné est souvent mal vécu et perturbant pour les enfants plus jeunes suite à l’instabilité du processus ainsi que compliqué au parent ayant des revenus faibles et aux logements souvent restreints dans l’espace. Par exemple, depuis sa séparation il y a dix ans, Vanessa Camprasse, une dynamique entrepreneuse qui a fondé son studio de création graphique, note consciencieusement dans un cahier tout ce qu’elle dépense pour sa fille de 13 ans, dans l’espoir qu’un jour, peut-être, son ex-conjoint lui en reverse une partie. En attendant, elle assume seule le quotidien, y compris sur le plan financier, ce qui est en totale contradiction avec le jugement rendu par le juge aux affaires familiales. ». Depuis les mesures prises de l’Etat, de nombreux père divorcés dénoncent le placement de leurs enfants, ce placement dénoncé, discute du placement exclusif chez leur mère et revienne à déclarer une demande pour une garde partagée, qui en dépit de l’envie s’avère être compliqué à mettre en œuvre dû à l’âge de l’enfant qui souvent est jeune et qui nécessite souvent une présence importance de leur figure maternelle dans leur éducation. Ce qui minimisera un minimum l’effet qu’à les divorces/séparations dans le comportement de leurs enfants et dans leurs apprentissages. D’après un journal « Le plus souvent en fait, le juge ne fait qu’entériner le choix de vie que les parents avaient mis en place avant leur séparation. «Les tribunaux appliquent la règle du statu quo ante pour l’enfant lors d’une séparation, essayant de lui garantir la situation la plus similaire à celle qui prévalait», explique Me Camille Maulini, membre d’une étude – le Collectif de Défense – spécialisée notamment dans le droit de la famille. »
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