Coopération et négociation De François Gemenne

coopération et négociation

De François Gemenne

INTRO

L’action isolée d’un pays n’a guère de poids dans la lutte contre le réchauffement climatique.

En effet seule une action concernée sur ce thème peut aboutir à une réduction des concentrations de gaz à effet de serre dans l atmosphère qui sont dus au réchauffement climatique.

La participation de gros émetteurs de gaz comme la Chine États-Unis appareil crucial pour le succès de toute négociation pour limiter cette propagation plus importante de gaz à effet de serre. La nature du problème vient de l’économie que représente le changement climatique. On peut voir que cette lutte contre le réchauffement climatique a mis en place des coopérations internationales qui peut être compromise par la présentation de passagers clandestins. De plus cette participation est absolument cruciale.

Cette coopération internationale et aujourd’hui symbolisé par les négociations sur le climat organisée sous l’égide des nations unies avec les coPS.

LE GIEC ET LA NAISSANCE D’UN CONSENSUS SCIENTIFIQUE

La décision d’une coopération internationale semble aujourd’hui évidente. L’idée pour autant a mis du temps à s’intégrer dans la société internationale et à s’imposer. Elle représente donc le fruit d’un long travail de lobbying de la communauté scientifique.

La première conférence mondiale sur cette lutte contre le crime a été organisée en 1979.

Pour autant les dirigeants ne semblent pas convaincus par l’idée. Et ne prennent pas de grandes décisions.

C’est à ce moment-là qu’il eût la nécessité d’agir contre ce problème. L’idée d’en traiter pour protéger le climat germa des esprits.

La déclaration du g 7, sous la présidence japonaise, reconnaissait la nécessité de réduire les émissions de gaz à effet de serre facteur de ce début de réchauffement climatique.

Le journaliste Nathaniel Rich, raconte comment déblocage poétique intérêt ensuite cette idée pour 10 ans.

Le premier événement sur lequel participer de représentants du monde politique je suis un atelier de haut niveau tenue un Villach en Autriche en 1985.

C’est atelier a été organisée par le programme des actions unit il organisation de météorologie mondiale. Élu pour conclusion que la force probabilité d’un changement climatique est significatif à leur actuel mais pour autant aucun dirigeant de semblait être convaincu.

Le développement de l’informatique permet la science du climat de faire des progrès considérables dans la modélisation du changement climatique.

un consensus scientifique se forma peu à peu pour étudier cette réalité.

À la fin des années 4 vingts ,1 nombre important de colloques et de conférences ont été mises en place afin de parler de cette émission de gaz à effet de serre et de l’idée d’une convention internationale sur la protection de l atmosphère. Une convention internationale sur la protection de l’atmosphère s’est imposé à Bodansky en 1993.

La conférence de Toronto organisée en 1988, confirma le consensus scientifique sur les instances d’un éventuel changement climatique et de la responsabilité des émissions de gaz à effet de serre anthropiques à l’origine de ce réchauffement.

En 1987 et 1988, une série d’auditions sur le changement climatique furent organisées au congrès des États-Unis avec l’initiative de Ronald Reagan. Il eut différents témoignages scientifiques notamment celui de James Hansen. Son témoignage je suis en profond impact sur la perception du changement climatique par les politiques. Éditions marquer donc un tournant dans la prise de conscience des politiques et déclencha la mise en place petit à petit de politiques environnementales.

La coopération internationale sur le changement climatique est d’abord l’histoire d’une formidable collaboration scientifique. En effet à la demande du g 7 , le giec fut formé en 1988. C’est imposé la nécessité de synthétiser les travaux des scientifiques. Les hommes politiques avaient davantage confiance dans la science.

C’est donc grâce à cette confiance et à cet acte fondateur que le giec trouve sa nature il bride scientifiques et politiques à la fois point une Organisation internationale intergouvernementale repose sur le travail de recherche indépendante et non rémunéré. Le giec est avant tout encore scientifique qui rassemble des chercheurs du monde entier et de diverses disciplines. Le dernier rapport a été produit par 743 chercheurs. Sa mission consiste à évaluer le risque posé par le changement climatique et ses impacts. C’est donc une synthèse de l’état des connaissances sur le sujet climatique ainsi que des évaluations de principaux travaux scientifiques. C’est ainsi un laboratoire de recherche mais une organisation également internationale ouverte à tous les États membres

. Les scientifiques sont choisies par le bureau du GIEC à partir d’une liste proposée par les différents états. Ces scientifiques ne sont mis employés minérais dans le j ai travaille sur des bases d’une contribution volontaire. On ne peut donc pas les accusé de conflit d’intérêts.

Le jeu est composé de 3 groupes. Ces groupes sont placés sous l’autorité de l’assemblée générale du giec.

Le premier groupe est consacrée à la science physique du système climatique et de ses évolutions.

Le groupe deux travail deux s’occupe des impacts du changement climatique sur l’environnement et les sociétés de leur vulnérabilité à ses impacts et des mesures qui permettrait de s’y adapter.

Le dernier groupe quant à lui se consacre au moyen de réduire nos émissions de gaz à effet de serre.

À ce jour ,6 rapports d’évaluation ont été publiés point le dernier dont le calendrier de publication a été retardée par la pandémie verra sa publication s’étaler de 2021 2022.

Ces rapports sont divisés en 3 tomes point chaque tome correspond aux matières traitées par l’un des groupes de travail qui sont eux-mêmes divisés en chapitres thématiques. Le processus de rédaction comporte différentes étapes et un nombre important de relectures. Le processus de rédaction commence par un vote de l’assemblée générale. Ce sont

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