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Les vaccins

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Par   •  29 Octobre 2018  •  Thèse  •  1 414 Mots (6 Pages)  •  430 Vues

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Les Vaccins

Biologie, éthique, société et environnement[pic 2][pic 3]

EMC - 18 octobre 2018


Introduction

        Grâce à la vaccination, entre deux et trois millions de vies sont sauvées dans le monde entier. Le vaccin est une substance destinée à être injectée dans le corps afin de permettre d’immuniser l’individu contre des maladies infectieuses. Des campagnes de sensibilisation ont lieu afin de faire prendre conscience à la population l’importance de la vaccination. L’éducation joue également un rôle important dans l’apprentissage de la nécessité de se faire vacciner et ainsi de faire passer l’intérêt collectif avant ses intérêts personnels.

De ce fait, on peut se demander si la sensibilisation aux vaccins rentre dans l’éducation du citoyen.

Afin de traiter au mieux notre sujet, nous verrons dans un premier temps les effets de l’éducation sur le civisme et dans un second temps, nous verrons les effets du civisme sur l’éducation.

I - Les effets de l’éducation sur le civisme

        La vaccination est un acte qui permet de se préoccuper de la santé publique tout en se préoccupant de sa propre santé. Par conséquent, se vacciner c’est faire preuve de civisme du fait que l’on fait passer l’intérêt collectif avant ses propres intérêts, ce qui permet de réduire les épidémies mais également d’éradiquer des maladies mortelles.

        On estime qu’environ 40% de la population française ignore l’importance de la vaccination alors qu’elle permet pourtant de sauver entre deux et trois millions de personnes dans le monde. Entre les années 2005 et 2014, le nombre de personnes favorables aux vaccins, est passé de 90% à 79%, en somme, la méfiance a été multipliée par deux.

        Pour certains spécialistes, plusieurs facteurs rentreraient en jeu dans la méfiance portée aux vaccins. Dans un premier temps, on constate un manque d’informations et de formations concernant la vaccination notamment en école de médecine où les étudiants sont mal formés à la vaccination car celle-ci est sous-enseignée. On note dans un second temps un courage politique insuffisant où la culture de la campagne de vaccination n’est pas suffisamment importante. A cause de ce manque d’information et de formation, on déplore un retour en force de la rougeole et de la coqueluche notamment chez les plus jeunes.

        De plus, un doute est pesant chez les individus qui constatent qu’en Italie et en France il y a trois vaccins obligatoires (diphtérie, tétanos, polio) alors que les autres sont seulement recommandés. Jusqu’en 2008, un vaccin existait pour ces trois maladies pourtant il fut retiré du marché à la suite de nombreuses allergies. Depuis, les nourrissons reçoivent un vaccin plus complet contre six maladies au lieu de trois. D’après le professeur JOYEUX, vacciner un enfant pour plusieurs maladies en une seule injection serait un acte dangereux.

        La campagne lancée en 1994 pour le vaccin de l’hépatite B, devant concerner les nourrissons et les 10-11ans, s’est vu être appliquée à des adolescents et des adultes qui ont, par la suite, contracté des maladies et accusé ce vaccin d’en être la cause. Cette campagne a marqué à jamais le devenir du vaccin contre l’hépatite B, le faisant passer à la première place des vaccins que les gens acceptent le moins.

        Le professeur Jean-Louis KOECK a crée un site mesvaccins.net afin de renseigner au mieux les patients sur les vaccins à effectuer en fonction de leur âge mais également dans le but de décrypter les vaccins aux patients.

II - Les effets du civisme sur l’éducation

Prenons pour étude de cas, le cas de Marie-Laure BENAÏM, aujourd’hui atteinte de myofasciite à macrophages (maladie neurologique induite par l’hydroxyde d’aluminium utilisé comme adjuvant dans de nombreux vaccins) à la suite d’un vaccin contre l’hépatite B en 1997. Au bout de quelques semaines après injection de ce vaccin, elle a vu son état se dégrader. Pourtant, les spécialistes sont assez divisés, quant à la responsabilité du vaccin et de ses composants sur l’état de santé de cette personne.

Les adjuvants présents dans les vaccins sont énormément pointés du doigt. Leur mauvaise réputation est principalement due à leur composition en sels aluminium, accusé d’être responsable de certaines maladies. Les adjuvants à base d’aluminium ont commencé à apparaitre en 1926 dans les vaccins pour l’hépatite B et la DT Polio, et c’est à partir de 1990 qu’ils ont commencé à être accusés d’être à l’origine de maladies. L’hydroxyde d’aluminium persiste dans l’organisme ainsi que dans les cellules, et peut être transporté dans la rate, voir même dans le cerveau des personnes vaccinées. De plus, on retrouve également des traces d’aluminium dans les muscles, là où le vaccin été injecté, et ce durant plusieurs années. De plus, ces adjuvants sont accusés de favoriser l’apparition de l’Alzheimer, Parkinson et depuis peu de la Myofasciite à macrophages (MFM).

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