Exposé sur la vaccination.

REPUBLIQUE DU BENIN

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MINISTERE DE L’ENSEIGNEMENT PRIMAIRE ET SECONDAIRE ET DE LA FORMATION PROFESSIONNNELLE ET TECHNIQUE

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Complexe Scolaire ‘’Ste Félicité’’

Exposé d’SVT                                                                                

Classe :TleD2                                         Groupe :N°3

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ANNEE ACADEMIQUE 2016-2017

PLAN

• INTRODUCTION

1. Définition

1. Vaccination
2. Sérothérapie

1. Le principe de la vaccination

1. Mémoire moléculaire de l’organisme
2. Existence d’une mémoire moléculaire du système immunitaire
3. Les caractéristiques du vaccin

• Conclusion

• INTRODUCTION

Même chez un individu normal doté d’un système immunitaire performant, il existe de nombreuses causes d’infections dues à des microorganismes qui, par leur action, dépassent les capacités de réponse du système de défense, surtout lors d’un premier contact. Les progrès couplés de connaissances théoriques en immunologie et des techniques biologiques (génie génétique etc…) ont permis de développer des méthodes d’aide à la réponse immunitaire. Quels sont alors ces méthodes ? En quoi consistent leurs aides apportées au système immunitaire ?

1. Définition

1. Vaccination

La vaccination consiste à introduire chez un individu une préparation antigénique dérivée ou proche d’un agent infectieux déterminé, de manière à créer une réponse immunitaire capable de le protéger contre la survenue d’une maladie liée à cet agent infectieux. La pratique de la vaccination dans une collectivité ou une population permet le contrôle sinon l’élimination de certaines infections contagieuses : les vaccinations constituent un instrument essentiel en santé publique.

1. Sérothérapie

La sérothérapie est un moyen d’immunisation passive temporaire.

• Elle consiste à administrer à un sujet du sérum contenant des anticorps spécifiques d’un ou de plusieurs agents infectieux. La sérothérapie peut être préventive si le risque infectieux est élevé (comme dans le cas de la rubéole chez les femmes enceintes) ou si l’on recherche une protection immédiate (cas des épidémies). Elle est aussi indiquée dans le cas des déficits immunitaires et chez les blessés graves. Elle peut être aussi curative comme dans le cas du traitement de tétanes ou de la diphthérie.

Des immunoglobulines seules peuvent être utilisées. Dans le sérum injecté à un patient, seules les immunoglobulines présentent une action antifectieuse. On peut donc utiliser soit des mélanges d’IG (immunoglobuline normal ou Gammaglobuline standard), soit des Igspécifiques d’un antigène donné.

• Les immunoglobulines polyvalentes sont issues du mélange d’un très grand nombre de plasma provenant de différents donneurs (un millier) ce qui permet d’obtenir des anticorps efficaces entre la plupart des maladies communes.

Le traitement est immunoglobuline polyvalente est pratiquée dans les cas d’agammaglobulinémie. Les malades ne possédant pas de lymphocytes B, donc pas d’anticorps doivent recevoir des injections répétées (toutes les trois semaines durant toute leur existence) d’Ig polyvalences, à raison de 400 mg par Kg de masse et par injection. L’emploi temporaire et ces Ig sont aussi justifiés chez les prématurés et les grands brullés.

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