Vaccin : Ce Que Tout Parent Doit Savoir
Note de Recherches : Vaccin : Ce Que Tout Parent Doit Savoir. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar okidoki0 • 10 Juillet 2013 • 3 098 Mots (13 Pages) • 1 040 Vues
Dans un communiqué de presse publié lundi 22 avril au matin, l'Union européenne a annoncé avoir autorisé la mise sur le marché d'un nouveau vaccin "6-en-1" pour les nourrissons. Ce vaccin, appelé Hexyon et produit par le laboratoire Sanofi, regroupe les vaccins contre la diphtérie, le tétanos, la coqueluche, l'hépatite B, la poliomyélite et contre certaines infections comme la méningite.
Cette nouvelle est annoncée par les médias comme "une vraie avancée en matière de vaccination, à l'heure où les autorités sanitaires tentent par différents moyens (...) de redonner confiance aux Français en cette méthode préventive" (lu sur le site Informations Hospitalières).
En ce qui me concerne, cette nouvelle ne fait au contraire qu'augmenter mon inquiétude concernant les vaccins. Le fait de mélanger ensemble un grand nombre de vaccins est une méthode connue des laboratoires pharmaceutiques pour compliquer la preuve d'effets indésirables. Car plus il y a de vaccins dans l'injection, plus il devient difficile de prouver qu'un effet indésirable précis est lié à un des vaccins. Il faut un nombre de cas déclarés d'effets secondaires négatifs beaucoup plus important pour obtenir un niveau de preuve statistiquement fiable.
Or, cette tactique se développe justement au moment où le grand public réalise que les effets indésirables des vaccins sont tout sauf négligeables.
Des effets secondaires inquiétants Un nombre alarmant d'études scientifiques mettent actuellement en lumière les dangers des vaccins.
Il ne s'agit plus de mises en garde émanant de mouvements associatifs marginaux ou à tendances sectaires. Non, c'est maintenant la communauté médicale internationale elle-même qui exprime ses doutes, voire ses inquiétudes.
Le British Medical Journal, une revue mondialement connue et respectée pour sa rigueur scientifique, a publié le 30 janvier 2013 une étude démontrant que le vaccin contre la grippe H1N1 Pandermix avait causé des milliers de cas de narcolepsie chez les enfants, une maladie grave et incurable, sans que cette catastrophe ne soit compensée par des vies sauvées par ailleurs par ce vaccin. (1) Une association, quoique plus faible, a aussi été établie entre le vaccin contre la grippe et la maladie de Guillain-Barré (paralysie). (2)
Le Gardasil, vaccin contre papillomavirus et le cancer cervical, est aujourd'hui au centre d'un scandale qui n'en finit pas. Selon le décompte effectué par l'association Sanevax, ce vaccin est relié à 29 003 effets adverses graves et au moins à 130 décès. (3)
Le vaccin contre l'hépatite B, lui aussi, est fortement critiqué. Il est accusé de tuer les cellules du foie, alors qu'il est précisément supposé protéger contre une maladie du foie. (4) D'autre part, le 21 novembre 2012, le Conseil d'Etat français a reconnu que l'aluminium dans le vacc
in hépatite B avait été la cause d'une terrible maladie invalidante, la myofasciite à macrophages,
dont souffre depuis 1996 un employé de la ville de Paris, permettant à cette personne d'être indemnisée. (5) Des milliers de personnes, qui n'ont pas eu l'idée de porter plainte, pourraient être dans le même cas.
Les vaccins peuvent en effet contenir diverses substances notoirement toxiques même à faibles doses comme le formaldéhyde (cancérigène), le mercure (neurotoxique), l'aluminium (neurotoxique) ou le phénoxyéthanol. Les jeunes enfants sont particulièrement vulnérables à ces substances, qui peuvent affecter de façon dramatique leurs fonctions nerveuses et immunitaires.
Ces molécules sont employées comme adjuvants pour renforcer l'efficacité des vaccins en stimulant la réponse immunitaire. Ainsi les personnes prédisposées génétiquement peuvent voir leur immunité s'emballer et déclencher alors une maladie auto-immune, comme la fameuse myofasciite à macrophages, le syndrome de Guillain-Barré ou le syndrome des antiphospholipides, des effets secondaires rares et graves mais parfaitement connus.
L'aluminium pourrait aussi être une cause majeure de maladie d'Al zheimer et de cancer du sein, ce qui expliquerait les proportions épidémiques que sont en train de prendre ces maladies dans les générations d'après-guerre.
Un rapport risque/avantage douteux Ces effets indésirables sont toutefois présentés par les autorités médicales et la grande presse comme bénins par rapport aux « immenses avantages » qu'auraient des vaccins.
L'opinion publique leur prête en effet le mérite de nous protéger de nombreuses maladies infectieuses et d'avoir éradiqué toutes les épidémies qui décimaient autrefois nos pays : typhus, diphtérie, coqueluche, scarlatine, tuberculose, méningite, tétanos et bien entendu les maladies infantiles, rougeole, oreillon, rubéole, etc.
Et pourtant, en dehors du cas particulier de la poliomyélite (qui mériterait un article à elle seule), la vérité scientifique et historique m'oblige à écrire, sans hésiter, qu'il s'agit là d'une pure mythologie.
Les maladies citées ci-dessus avaient cessé de faire des morts à grande échelle bien avant que l'on introduise les vaccins. C'est l'amélioration des conditions de vie, de l'hygiène, de l'eau potable, le recul de la malnutrition et du paupérisme qui expliquent l'effondrement du nombre de morts par ces maladies tout au long du 20e siècle.
Le cas emblématique de la diphtérie Je ne peux traiter dans cette simple lettre de toutes les maladies et me contenterai d'exemples symboliques. Mais des chiffres similaires à ceux cités ici existent pour les autres maladies pour lesquelles les gouvernements vaccinent à l'échelle industrielle. Les lecteurs qui voudront en savoir plus se reporteront pour cela à l'excellent dossier « Survey on Vaccinations in Europe » dont sont tirés les chiffres suivant. (6)
En Espagne, il y avait chaque année 5000 morts de diphtérie en 1900, mais seulement 81 en 1964, l'année où la vaccination systématique fut introduite.
En France, la vaccination obligatoire contre la diphtérie fut imposée en 1938. L'année suivante, il y eut 15 000 cas de diphtérie puis trois fois plus pendant la Guerre !
En Allemagne, il y avait 100 000 cas de diphtérie par an pendant la Première guerre mondiale. Les Nazis imposèrent le vaccin obligatoire contre la
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