Cours: De la diversification des êtres vivants à l’évolution de la biodiversité - Comment apparaissent et disparaissent les espèces ?
Analyse sectorielle : Cours: De la diversification des êtres vivants à l’évolution de la biodiversité - Comment apparaissent et disparaissent les espèces ?. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar babakaka • 28 Décembre 2014 • Analyse sectorielle • 650 Mots (3 Pages) • 859 Vues
Thème 1A : La Génétique, diversification et évolution du vivant
Chapitre 3 : De la diversification des êtres vivants à l’évolution de la biodiversité
Comment apparaissent et disparaissent les espèces ?
Comment définir l’espèce ?
1) L’évolution des populations au cours du temps
Activité A : La biodiversité des moustiques
Les populations de moustiques soumises pendant une longue période aux insecticides ont vu les individus porteurs d’allèles codant pour des molécules protectrices augmenter contrairement à celles non soumises à ces insecticides
C’est l'effet de la concurrence entre êtres vivants qui est responsable du changement de la diversité des populations au cours des générations.
Activité B : Les salamandres La sélection naturelle et la dérive génétique peuvent conduire à l'apparition de nouvelles espèces"
Lors de la séparation de populations de salamandres, due à l’environnement, les populations ont évolué sous l’effet du hasard pour se diversifier et donner de nouvelles espèces.
C’est l'effet de la pression du milieu et du hasard qui est responsable du changement de la diversité des populations au cours des générations.
Bilan :
Sous l'effet de la pression du milieu, de la concurrence entre êtres vivants et du hasard, la diversité des populations change au cours des générations. L'évolution est la transformation des populations qui résulte de ces différences de survie et du nombre de descendants.
2) La définition d’une espèce
Activité C : Définition d’une espèce : tache complexe activités page 62-63 livre Belin
Pour Buffon, la définition de l’espèce sur des critères de ressemblance pose problème : il cite le cas des chiens qui se ressemblent parfois peu. Au contraire, des animaux qui se ressemblent comme l’âne et le cheval ne donnent pas de descendance fertile, il en déduit qu’on ne peut les considérer de la même espèce, faisant ainsi référence au critère d’interfécondité.
Buffon souligne donc les difficultés de la définition de l’espèce. La ressemblance est le critère le plus simple à utiliser au quotidien (doc. 2) et il peut être utilisé aussi pour des fossiles (doc. 3).
Néanmoins il peut être trompeur dans les cas où des individus de la même espèce ne se ressemblent pas (cas des chiens) ou à l’inverse quand des individus se ressemblent mais ne sont pas de la même espèce (cas des espèces jumelles, doc. 5).
En ce qui concerne le critère d’interfécondité, il permet de ne pas tenir compte de la ressemblance ou de la non ressemblance des individus. Il stipule que deux individus sont de la même espèce s’ils peuvent avoir une descendance fertile entre eux. Il est cohérent avec la théorie de l’évolution, puisque les populations qui ne sont pas interfécondes sont isolées génétiquement et évoluent ainsi séparément. En revanche, l’isolement reproducteur n’est pas toujours total et
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