Dm sur l'entreprise Bonne Maman

DM Bonne Maman

Bilan Interne et Externe

Bilan Interne Forces Faiblesses

Annonceur Créer dans les années 70 donc une certaine expérience dans ce secteur d’activité.

Leader du secteur

Gamme de produits large et diversifié. Entreprise Familiale.

Objet de Communication La sensibilité du consommateur est touché grâce au nom « Bonne maman » cela fait référence à l'enfance passée ou actuelle pour le consommateur.

La bonne qualité du produit 50% de fruits et 50% de sucre.

Le packaging rappelle les pots de confiture fait artisanalement ou à la maison (forme du pot, le couvercle, l’étiquetage et la typographie).

Prix Fourchette de prix sensiblement identique aux autres marques du segment « extra haut de gammes » grâce à l’importance des volumes. Bonne Maman se situe dans le marché extra haut de gamme

donc ces prix sont un peu élevés.

Distribution Le produit est principalement distribué dans les GMS.

Bonne Maman ne paie pas de référencement dans les GMS.

Communication Antérieure Packaging et le nom de la marque sont la base de la communication Bonne Maman.

Publicité dans les médias de masse (affichage, presse magazine) pour touchés leur très large cible.

Continuité du positionnement et de leur publicité au fil des années.

Coût publicitaire inférieur à tous ceux de concurrents (11cts/kilos).

Bilan Externe Opportunités Menaces

Offre Le marché du haut de gamme a progressé en valeur (64%) au cours des 20 dernières années.

Départ de 2 gros challengers Danone et Bongrain dans les années 90. Marché stable voire en déclin.

Concurrence importante (Fruits Gourmands, Confipote, Leinsbourg plein fruits).

Demande 66% des foyers consomme de la confiture.

La cible de consommateur est très large.

Promotion fréquentes. Changement des habitudes de consommation.

12€, le budget annuel moyen dépensé par les français.

Peu d’actes d’achat par an (6,6 %)

Profusion de format qui rend la comparaison moins visible pour le consommateur.

Environnement Tendance à la mondialisation des échanges à partir des années 80. Peu d’innovation possible dans ce domaine.

¼ des consommateurs mangent de la confiture faite maison.

Mauvaise conjoncture économique.

Diagnostic

Pionnier sur le marché de la confiture dit « extra

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