Infection transmise sexuellement
Guide pratique : Infection transmise sexuellement. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar MariePatrick • 4 Mars 2016 • Guide pratique • 2 698 Mots (11 Pages) • 736 Vues
PRÉLÈVEMENT GÉNITAUX
MTS: infection transmise sexuellement
FLORE GÉNITALE NORMALE
CAVITÉ VAGINALE
femme: varie en fonction ( ph, âge, nature des act. sexuel et conc. en oestrogène )
fille impubaire: peu abondante: staph à coag neg, corynébactérie
puberté: ovaire sécrète oestogène: synthèse de glycogène par la muqueuse utérine: sert d’élément nutritif aux 1 bact qui viennent coloniser la muqueuse ( lactobacille )
lactobacille: transforme le glycogène en acide lactique: abaisse le ph: empêche d’autre germe d’envahir la cavité vaginale car leur multiplication est freiner par le taux d’acidité
début période sexuelle: d’autre bact. s’ajoute au lacto mais ne représente aucun danger car leur développement est freiner par les lacto
cavité vaginale saine: lactobacille ++
prendre hormone: diminue la qt de glycogène et peut éliminer les lacto de la flore vaginale
commensaux: lactobacille, moraxella catarrhalis
responsable d’inf: acinetobacter, S.agalactiae, listeria ( transmi au bébé )
COL ET CANAL UTÉRIN
col: stérile: ph alcalin
canal, trompe de fallope et ovaire: stérile
URÈTRE
partie inf: staph coag neg, corynébactérie
VULVE
flore mixte, flore vaginale normale
PÉNIS
cocci et bacilles a gram positif
GERME PATHOGÈNES
FEMMES
urètre ( urétrite ), vaginale ( vaginite et vaginose ), col utérin ( cervicite ), vulve ( vulvite )
canal utérin ( endométrite ), trompe de fallope ( salpingite ), glande de Bartholin ( bartholinite ), anus ( proctite )
HOMME
- pas affecté par germe responsable de la vaginose, candidase ou trichomoniase mais sert de vecteur pour transmettre la maladie
- épididyme ( épididymite ), prostate ( prostatite )
PÉRIODE PRÉ-PUBERTAIRE ET POST-MÉNOPAUSE
avant puberté: résultat d’abus sexuel: chlamydia trachomatisme, neisseria gonorrhoeae
PÉRIODE D’ACTIVITÉ SEXUELLE
bactérie: neisseria gonorrhoeae, gardnerella vaginalis, haemophilus ducreyi
champignons: candida albicans
parasite: trichomonas vaginalis, phtirius ( morpion )
PRÉLÈVEMENTS CLINIQUES
TIGE DE BOIS
- coton traité au charbon de bois ( éliminer substance toxique pour le gonocoque )
- préférable d’utiliser des tiges de plastique
COLLECTE DES SPÉCIMENS CLINIQUES
PRÉLÈVEMENT URÉTRAUX
- routine: N.gonorrheae, T.vaginalis
- sur demande: C.trachomatis, M.hominis, ureaplasma
- écoulement purulent: ne pas pénétrer dans l’urètre
- C.trachomatis: à l’int des c épithéliales de l’urètre: racler
- T.vaginalis: tube contenant 0,5 ml de sérum physiologique
SÉCRÉTION VAGINALE ( VAGINITE ET VAGINOSE )
- bactérie: T.vaginalis, C.albicans, agent de la vaginose
- dans certain cas: S.agalactiae
- spéculum bivalve stérile doit être au préalable mouillé avec de l’eau tiède, car les lubrifiant ordinaire contiennent des subs. antibactérienne et peuvent inhiber la croissance du gonocoque
- perte abondante: prélèvement fait sans spéculum
ENDOCOL
- routine: N.gonorrhoeae
- sur demande: C.trachomatis, Mycoplasma
- spéculum obligatoire
- éviter de contaminé écouvillon au contact de la flore vaginale
RECHERCHE DU VIRUS HERPÉTIQUE
niveau des lessions herpétiques active
TRANSPORT DES SPÉCIMENS
PRÉLÈVEMENT URÉTRAUX
- T.vaginalis: le plus rapidemment possible
écouvillon pour recherche du gonocoque peut être:
- inoculé directement sur un ou deux milieu ( TM, GC )
- déposé dans milieu de transport modifié de stuart ou de amies au charbon de bois ( viable 24h )
- C.trachomatis, mycoplasma: tampon sucrose 2-SP
SÉCRÉTIONS VAGINALES
- aucune précaution particulière: examen microscopique
- T.vaginalis: idem prélèvement urétraux
PRÉLÈVEMENT FAIT AU NIVEAU DU CANAL ENDOCERVICALE
- idem prélèvement urétraux
PRÉLÈVEMENT POUR RECHERCHE DU VIRUS HERPÉTIQUE ( LIQUIDE DE HANK’S )
- transport spécial + réfrigérateur jusqu’au moment de procéder à l’inoculation
- conserver sur une longue période: congeler à -70 C
- milieu 2-SP
DIAGNOSTIC DE LABORATOIRE
md doit spécifier sur la requète, de quel type d’inf. le malade semble être atteint
INFECTIONS RÉSULTANT D’ABUS SEXUEL
soin extrème: labo médico-légaux
VAGINITE, VAGINOSE ET MTS
- N.gonorrhoeae: choco, TM
- candida: gram
- T.vaginalis: état frais
- agent de la vaginose: gram
- C. trachomatis: épreuve immuno-enzymatique ou immuno-fluorescence
RECHERCHE DE N.GONORRHEAE
idéalement: deux écouvillons ( examen microscopique et culture )
DÉTECTION DIRECTE
- frotter écouvillon sur la lame: déchiquète les polynucléaires: empêche d’observer la présence intracellulaire des cocci ( donc rouler l’écouvillon )
- épreuve immunoenzymatique: détection directe de l’antigène gonococcique dans les prélèvements urétraux et endocervicaux
CULTURE
- TM ou choco
SÉCRÉTION VAGINALE
- habituellement pas de recherche de N.gono: à la propriété d’adhérer à la muqueuse cervicale et urétrale: donc rarement présent dans sécrétion vaginale
- interprétation très délicate car acinetobacter et moraxella ressemble bcq au gono
PRÉLÈVEMENT ENDOCERVICAUX
- frottis coloré au gram + culture ( GC )
RECHERCHE DE TRICHOMONAS VAGINALIS
- état frais
- culture de T.vaginalis est possible
RECHERCHE DE CHAMPIGNONS LEVURIFORME ( CANDIDA ALBICANS )
- culture de - en - recommandée en raison de sa trop grande sensibilité
- culture: sabouraud
- épreuve de filamentation dans le sérum
- API-20C
DIAGNOSTIQUE DE LA VAGINOSE
- coloration de gram
trois des critères suivant doivent être présent pour poser le diagnostic:
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