Taylorisme

     Thème :  taylorisme                                    

  Plan

Introduction

   Biographie

   Définition de taylorisme

    Les objectifs

    Les avantages

    Les principes de Taylorisme

    Les critiques

Conclusion

Introduction

  L’organisation traditionnelle était caractérisée par deux catégories d’acteurs les contremaitres qui disposaient d’une complète autorité, les ouvriers qui travaillent dans une totale autonomie leur compétences techniques était encore irremplaçable. Au cours de ma seconde moitié de 19s la révolutions industrielle a permis la mise en place d’un nouveau system techniques et l’émergence des ingénieurs .Ces deux facteurs on jouer un rôle déterminant dans la naissance de taylorisme.

Biographie de Taylor :

   Frederick Winslow Taylor, né en 1856, est mort en 1915. Taylor est d’une famille aisée. De graves ennuis de santé (une grande faiblesse des yeux) l’empêchent de continuer des études lus poussées. Il entre comme apprenti dans une usine et passe par tous les échelons professionnels par son ardeur au travail et son légendaire esprit méthodique. Il s’élève ainsi au rang de contremaitre puis a celui d’ingénieur. Il effectuera une grande partie de sa carrière  à la Midvale steel Company puis exercera le métier de conseil en organisation. En 1893, il publie un mémoire technique sur la coupe des aciers. Il réfléchit en même temps à l’organisation du travail et notamment a la gestion de la production dans des ateliers industriels. Taylor publié en 1895un mémoire sur les salaires aux pièces puis, en 1903 sur la direction des ateliers. Enfin, il écrit et publie en 1911 un ouvrage qui fera date, les principes de la direction scientifique.

Définition de taylorisme :

  Le taylorisme est une doctrine qui repose sur le principe d’organiser scientifique du travail dont ce dernier a été mit en valeur par l’ingénieur Frederick Winslow Taylor dont il vise a définir la meilleur façon de produire pour les organisations du travail qui doivent adapter un ensemble de principe de gestion de travail qui devise le travail en tache simple et répétitive afin d’augmenter la productivité de leur travailleurs .

 Ses objectifs :

 a. Lutter contre la flânerie systématique des ouvriers dans l’atelier

 b. Préposer une méthode de fabrication optimale one best way favorable.

 c. Rémunération au mérite fair’s Day Works en fonction des cadences constates.

Ses avantages :

• L’abaissement de couts
• Amélioration de la production en s’attaquant au gaspillage
• La spécialisation des ouvriers
• Augmentation de la rémunération au mérite de salariés

Les quatre principes de taylorismes :

1. La division verticale du travail : c’est la séparation entre le travail d’exécution et le travail intellectuel de conception. Dans cette logique, cette approche a conduit à dissocier les « cols bleus » des « cols blanc » tel que l’on les a communément nommés en milieu industriel. Ce principe incite à placer the right man on the right place, la meilleure personne a la bonne place.
2. La division horizontale du travail : c’est la parcellisation dus travail, à la spécialisation des taches et à l’étude des temps d’exécution en vue de déterminer the one best way, la meilleure façon de faire.
3. Système de salaire ou rendement : amélioré par des primes en cas de dépassement des cadences de façon a motivé les ouvriers pour augmenter leur productivité.
4. Système de contrôle du travail : A partir de ces principes d’action, chaque geste d’ouvrier exécutant est surveillé. Cela a conduit à mettre en place dans les usines des contremaitres chargés de réaliser cette activité de contrôle.

  Les critiques du modèle taylorien :

• Elle produit une déqualification ouvrière dégradante et négative pour leur inefficacité, et elle fait du travail une source d’aliénation.
• Elle engendre de la fatigue et de la monotonie qui démotivent les salaries.
• Elle produit des refus individuels donnant lieu a de l’absentéisme et de l’inattention a la qualité
• L’absence de reconnaissance sociale, et le moque de perspectives professionnelles
• Produit des conflits fréquents entre exécution et encadrant

Conclusion :

  La conception de Taylor de l’homme au travail repose sur une vision très appauvrie humain. En effet, Taylor a cru que l’on peut rationaliser le travail en réduisant ou en suppriment l’initiative et l’autonomie au travail. Finalement, la principale critique que l’on peut aujourd’hui formuler aux fondements de la théorie taylorienne est que l’une des postulats implicite repose sur l’idée d’une dichotomie stricte entre le cerveau et les mains humains.

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