Le suicide

Le suicide est un problème personnel ; les gens qui se suicident manquent de persévérance

Décrire un phénomène social:

Croire que le suicide est un problème personnel ou que les gens qui se suicident manquent de persévérance est un préjugé, parce que ceci est émis sans aucune preuve scientifique. Des études démontrent que le suicide a comme premier facteur, la société. En effet, le docteur Durkheim à longuement étudié cette cause et en a conclue qu’il y a deux sorte de suicide; égoïste et altruiste. Lorsque des individus se rapprochent les uns des autres, ceci favorise beaucoup l’intégration sociale ce qui engendre une diminution du taux de suicide.

2) Expliquer le phénomène:

Il y a deux suicide en particulier, relié à la société, qui explique que ce n’est pas un problème personnel et que ces gens n’ont pas un manque de persévérance. En premier lieu, il y a le suicide égoïste. Ce terme désigne une personne ayant un affaiblissement du lien social et donc, un manque d’individus dans son entourage. Cette personne qui est appart du reste du monde ressens un manque dans sa vie ce qui est un facteur au suicide. Le problème c’est que si la personne se retire de la société c’est celle-ci n’a pas traité les individus de la bonne façon. En d’autres mots, c’est entièrement la faute de la société et non du suicidé lui-même. En second lieu, il y a le suicide altruiste. Celui-ci va totalement à l’opposé du premier terme; le suicide égoïste. En effet, cela désigne une personne beaucoup trop encadré par la société, qui va jusqu’à s’oublier elle-même étant donné que c’est la société qui contrôle tout. L’excès de réglementation et d’obligation entraine la perte de l’identité personnelle. Ceci explique que c’est encore une fois la faute de la société et non de l’individu lui-même. Tout ceci prouve que le suicide n’est pas un problème personnel, bien au contraire c’est un problème collectif. Pour continuer, les gens qui se suicident ne manque pas de persévérance puisque c’est prouvé qu’une personne qui passe à l’acte ne le fait pas en raison des problèmes qu’elle a.

3) Intervenir:

Sachant que le suicide est une chose de plus en plus fréquente dans notre société d’aujourd’hui, il serait préférable de penser à de nouvelles solutions. En effet, en voici trois qui favoriserais la diminution du taux de suicides et donc, la diminutions de préjugés. Premièrement, il faudrait créer des centres dans chaque quartiers où il y aurait des activités organisées régulièrement afin de les faire sentir moins seuls. Deuxièmement, il devrait y avoir plus de publicité notamment dans les transports en communs qui permettrait de sensibiliser davantage les gens par rapport au suicide. Troisièmement, les psychologues devraient posséder des coupons gratuit pour des activités à faire en famille ou entre amis et à donner aux patient à tendance suicidaire. Ainsi, ces gens pourront sortir faire des activités avec d’autres personnes ce qui va aider à leur intégration sociale.

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