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A l’aide de vos connaissances et du dossier documentaire, vous monterez que la participation électorale est socialement différencié.

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Par   •  6 Avril 2021  •  Dissertation  •  828 Mots (4 Pages)  •  784 Vues

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La participation électorale est socialement différenciée, effectivement, des groupes d’individus sont plus ou moins aptes à voter de part leurs caractéristiques socio-économiques et donc leurs connaissances dans le milieu politique, cela engendre donc une forte inégalité dans le milieu du vote et même l’impossibilité d’une démocratie parfaite. Nous verrons d’abord que le niveau de connaissances politiques de l’individu est déterminant , pour en suite développer le fait que l’insertion sociale et professionnelle est favorable à la participation électorale.

Tout d’abord, les connaissances en politique d’un individus seront d’une grande aide et même un avantage par rapport à un autre individu à comprendre la vie politique. Un individu diplômé aura forcement plus de capital culturel. Plus le capital culturel est élevé, donc les connaissances en politiques élevées, plus le sentiment de compétence politique est élevé, et avec lui la participation électorale, le sentiment d’implication directe à la vie politique. En effet, d’après l’Insee, les détenteurs de diplômes votent plus, en 2017, pour 100 ménages inscrits âgés de 25 ans ou plus qui votent systématiquement, 28,7 sont sans diplômes contre 41,6 pour des diplômés supérieur au bac. De plus, le capital culturel est très divisé, beaucoup d’individu n’ont pas les compétences politiques requissent pour comprendre les enjeux politiques, notamment les classes populaires, ils se sentent donc incapable de mener des choix politiques et se sentent inutiles et rejetés de la vie électorale, on peut donc apercevoir de l’abstentionnisme plus ou moins conséquent. Ces électeurs qui ne possèdent pas un capital culturel conséquent vont donc, en majorité, se tenir à l’écart du jeu politique qu’ils ne comprennent gère et dont ils n’accordent en général que très peu d’importance, leurs sentiments d’implication directe n’est pas présent, ils sont donc abstentionnistes hors du jeu. Le capital culturel est inégalement partagé. Pour illustrer ceci, seulement 10% de la population a assez de capital culturel pour avoir un sentiment politique, pour participer à la vie politique et comprendre celle-ci. La participation croît avec la position sociale et plus encore avec le volume de capital culturel possédé, qui induit un sentiment de compétence subjective.

Ensuite, l’insertion sociale et professionnelle est favorable à la participation politique. Le taux de participation est positivement corrélé avec la position sociale, la place que l’individu s’accorde dans la vie politique, cette position sociale est repérée et classée par les PCS. D’après l’Insee, en 2017, pour 100 inscrits âgés de 25 ans ou plus qui font des votent systématiques, 45,1 sont CPIS contre 25,9 pour des personnes sans activité professionnelle, soit 19,2 points de moins. La participation électorale peut ainsi être vus comme un bon indice de l’intégration sociale: on vote d’autant plus que l’ont est diplômée, bien inséré professionnellement et que l’ont trouve autour de soi des personnes politisées qui font de chaque élection une échéance incontournable, quelles que soient les critiques que l’ont puisse formuler à l’égard de l’offre et du personnels politiques. Mais, la catégorie sociale n’est pas la seule explication pour décrire les comportements des

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