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Que sont les «travailleurs jetables» ?

Étude de cas : Que sont les «travailleurs jetables» ?. Recherche parmi 300 000+ dissertations

Par   •  7 Novembre 2013  •  Étude de cas  •  2 850 Mots (12 Pages)  •  801 Vues

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Stagnation de l'économie, crise financière, la récession, la mondialisation, la concurrence sévère dans tous les secteurs, toutes les mène à la précarité de l'emploi, qui se traduit par les travailleurs dits jetables. Néanmoins, ce qui est généralement considéré comme un problème d'un point de vue macro et micro-économique, plutôt que comme un problème résultant de l'éthique des affaires et les pratiques de GRH. Ainsi, dans cet essai, je vais analyser cette question dans une perspective éthique et de gestion, je suis particulièrement intéressé par les impacts sur le développement durable de l'organisation.

Que sont les «travailleurs jetables»?

Travailleurs ou des travailleurs jetables - éventuels - sont appelés aux employés temporaires, généralement contractées par les agences de travail temporaires ou indépendants, ou ceux qui sont utilisés ou loués par des sous-traitants. Leurs travaux peuvent être soit à temps partiel ou à temps plein. Bref, ils sont la «force de travail en juste-à-temps», contrairement à des emplois permanents. Ces employés jetables peuvent être aussi habile que celui des emplois permanents, mais ils gagnent des salaires plus bas, et le plus souvent n'ont pas accès à l'assurance maladie, régime de retraite, l'assurance-chômage ou parrainés par les employeurs. Selon le projet de politique Iowa, 26% de la population active américaine avaient un emploi en 2005 qui étaient d'une manière ou d'une autre "non standard". "Cela comprend les entrepreneurs indépendants, intérimaires, à temps partiel, et les travailleurs indépendants. Parmi eux, 73% n'ont pas accès à un régime de retraite de leur employeur et 61% n'avaient pas d'assurance-maladie de leur employeur ", - a déclaré le groupe Iowa.

Il ya plusieurs raisons à la croissance de ce phénomène, notamment la crise économique et la récession en particulier dans les pays capitalistes, la mondialisation, les changements dans la population active, et les nouvelles tendances du marché du travail. Je vais regarder dans le détail de ces explications comme des causes lors de la discussion sur les conséquences considérées comme des questions d'éthique en gestion des ressources humaines. Comment affectent-elles les pratiques de GRH et organisation éthique des affaires? Quels sont les impacts sur la durabilité, sont-ils positifs ou négatifs?

Selon Mullin (1999), les philosophies sous-jacentes de gestion des ressources humaines sont les suivants:

• La reconnaissance des besoins et attentes des populations au travail

• Le respect de l'individu

• Justice dans le traitement et les systèmes de récompense équitables

• Stabilité de l'emploi

• Bon environnement de travail et les conditions de service

• Les possibilités de développement personnel et de progression de carrière

• le fonctionnement démocratique de l'organisation

• Respect des lois relatives à l'emploi

Lorsque l'on regarde cette liste, nous pouvons trouver aucune d'entre elles respectées par les employeurs à l'égard des travailleurs jetables? Aucun d'entre eux semble être très apprécié par les pratiques de GRH organisation quand ils embaucher des personnes. C'est en grande partie à cause de l'incapacité de l'économie à l'absorption de main-d'œuvre afin d'atteindre le plein emploi, mais la vue des employeurs de main-d'œuvre jouent également un rôle très important dans la montée de ce phénomène.

«... Cadres appellent« la réduction des coûts de structure »ou« flexibilité ». Northwestern University économiste Robert Gordon appelle la montée de «l'ouvrier jetable", un raccourci pour une poussée par les entreprises pour réduire les coûts de main-d'œuvre partout où ils le peuvent, à un degré presque sans précédent ... »-« Qu'est-ce qui ne va pas avec le moteur d'emploi de l'Amérique », The Wall Street Journal, 27 Juillet 2011.

Récession

Peter Cappelli, directeur du Centre des ressources humaines à l'Université de Pennsylvanie Wharton School, dit la récession brutale a incité les entreprises à créer des forces de travail en juste-à-temps qui peuvent être activées et désactivées comme un robinet - Magazine Business Week, janvier 2010. «Les employeurs essaient de se débarrasser de tous les coûts fixes», dit Cappelli. «D'abord ils l'ont fait avec des prestations d'emploi. Maintenant, ils le font avec les emplois eux-mêmes. Tout est variable. "Cela signifie que les entreprises détiennent tout le pouvoir, et« tous les risques sont poussés sur les salariés ". Il semble que l'entreprise profite de cette «armée de réserve» de la population active, principalement par l'emploi de travailleurs lorsque c'est nécessaire, et aussi en l'utilisant comme un outil pour le contrôle de la force de travail, ou en d'autres termes, pour créer un docile " main-d'œuvre ». Les employés d'accepter les emplois offerts en sachant que, s'ils ne les prennent pas, il ya toujours quelqu'un d'autre prêt à prendre leur position. Barry Asin, analyste en chef chez les Los Altos (Californie) Analystes fermes travail d'analyse Staffing Industry dit que l'idée que tout travail est permanente avait été bien prouvé ne pas être vrai. Selon une enquête de 2000 entreprises américaines menées par McKinsey Global Institute dans le début de cette année, 58% des employeurs s'attendent à avoir davantage à temps partiel, les travailleurs temporaires ou à contrat au cours des cinq prochaines années et de 21,5% de plus "sous-traitance ou délocalisée" travailleurs.

Mais le terme «travailleurs jetables» concerne non seulement peu qualifiés, mais aussi «cols blancs», y compris les travailleurs gestionnaire, des informaticiens, des techniciens, des ingénieurs, etc En 2009, Kelly Services - un de l'agence chef de file dans l'emploi temporaire - placés plus de 100 travailleurs, y compris des scientifiques et des avocats en relais intermédiaires, qui ont payé plus de $ 250,000 par an. Ils demandent aussi que «le leadership à la demande». Par exemple, le cas de Sydney Reiner, du sud de la Californie, qui a

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