La satisfaction du client

Ayant une meilleur connaissance de son client, il est plus facile pour le conseiller de

lui proposer des produits ou services qui lui sont adaptés et donc d'avoir un plus fort

succés lors de ses propositions. Ce taux de concrétisation, permettra un gain de

temps, puisque faisant mouche plus vite, le conseiller pourra ensuite aborder d'autres

sujets.

B) La satisfaction du client

1. Le client connait mieux son produits

Etant bien informé, en amont de l'opération, mais aussi à postériori, aussi bien par les

documents contractuels que par le conseiller, le client aura une plus forte connaissance de son

produit, connait mieux les risques qu'il prend. Cela est toujours bénéfique puisque en cas

d'execution de ce risque cela diminuera l'insatisfaction du client qui pourra s'en remettre à lui-même

et non uniquement à son conseiller.

2. Valorisation du client

Ayant mieux ciblé la clientèle potentiellement intéressée par une offre ou un produit,

cela sera plus simple et moins onéreux de mettre en place une communication sur

cette offre ou ce produit. Le client se verra alors attribuer plus souvent des offres

adaptés à ses souhaits, ce qui pourra renforcer le sentiment que son établissement

financier a compris ses attentes et lui personnalise son offre. A l'heure où la fidélité

des clients est de moins en moins marquée, cela ne peut être qu'une bonne chose.

En conclusion, nous pouvons dire que la directive MIF est bien synonimes de contraintes

réglementaires qui demandent aux banques et établissements financiers d'adapter leur outils.

Toutefois, on a pu voir aussi durant cet exposé que les banques ont moyen de rentabiliser les coûts

engendrés par cette directive grace aux opportunités commerciales qu'elle apporte.

Tout ceci, alors que la commission européenne est actuellement en réflexion d'une révision de cette

directive MIF qui serait appelée MIF2.

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