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La croissance peut être durable

Dissertation : La croissance peut être durable. Recherche parmi 300 000+ dissertations

Par   •  20 Novembre 2018  •  Dissertation  •  3 079 Mots (13 Pages)  •  594 Vues

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L1 Economie-Gestion, Année 2018-2019

La monnaie chez Locke et Humes

PAN Tong

Groupe A7, SAADI HADJ

  1. Introduction

De l’ancien au présent, de les pierres , les coquilles aux métaux précieux, de néant à l’être, finlement devenir indispensable dans le monde global de l’humanité, la monnaie qui joue un rôle essentiel dans les commerces, dans la société, qui supporte la vie et le bonheur de l’humanité, on est toujours curieux de son origine et son caractère, attend quelques personnes décollent sa propriété. Jhon Locke ( 1632-1704 ) est un auteur anglais, qui a une grande contribution dans l’analyse économique, et il joue un rôle très important dans l’école de droit naturel ( il a décrit l’évolution de l’état de nature vers la société civile), son ouvrage principal est 《 les deux traités du gouvernement civile 》. David Humes ( 1711-1776 ) est philosophe et économiste écossais, qui a présenté l’ordre spontané, et sa théorie connu de the quantity theory of money. Chez J. Locke, la monnaie est une chose non-périssable, grâce à sa propriété, les individus peuvent accumuler abondamment la richesse n’enfreindant pas la clause de na pas gaspiller ; elle a aussi les caractéristiques de la valeur de réserve et le moyen d’échange ; et pour D. Humes, la monnaie est un outil qui permet d’échanger plus pratiquement les produits entre les individus. Dans cette dissertation, il s’agit de la connaissance de la monnaie, le commerce et l’intérêt avec la monnaie sur ces deux différents auteurs, ainsi on va analyser les différentes pensées sur la monnaie de ceux-ci. Nous nous intéressons à quels sont les effets que la monnaie apporte dans le commerce et la société, et quels sont leurs différences ?

Cela nous permet de comprendre les effets sociales qu’apporte la monnaie et sa propriété.

Pour répondre ce problème, j’annoncerai deux parties : la première, la monnaie chez J. Locke ; la duexième, la monnaie chez D. Humes ; ensuite je conclurai.

  1. La monnaie chez Jhon. Locke

Dans cette partie, nous nous s’intéressons à l’apparition de la monnaie et la pensée de la monnaie chez J. Locke.

  1. L’apparition de la monnaie

Dans l’état de nature chez J. Locke, tous les individus sont libres, égales, rationals, ils se consrvent de soi-même mais aussi les autres. Ils préservent leurs être en détenant des ressources naturelles par le travail individuel, plus précisément, pour atteindre leur but, ils peuvent faire ce qui leur plaît sans autorisation, mais il y a des limites, ils ne peuvent pas nuire aux autres personnes, ni leur santé, ni leur corps, ni leur bien et ni leur liberté, en plus ils ne peuvent pas gaspiller---- le droit de la propriété. Comme les ressources détenues par les individus sont des fruits et des gibiers etc, ces choses ne peuvent pas être gardées abondamment durables, si des individus possèdent plus de ressources que ce dont ils ont besoin, ces personnes nuisent alors aux autres personnes ( les ressources naturelles sont limitées, certaines presonnes en prennent plus, les autres en ont moins ), en même temps, les ressoureces résiduelles vont pourrir, dans ce cas , le travail de cette partie résiduelle est aussi gaspillé, ainsi les individus ne peuvent pas conserver l’abondance de la propriété, chacun est égal ( chacun ne peut que s’approprier leurs besoins, s’il dépasse, ces choses vont se gâter ). Pour mieux garantir leur survie, les individus doivent s’approrier plus de ressources, mais en raison de la propriété périssable des ressources naturelles, les individus ne peuvent las conserver abondamment, ainsi, ils décident de chercher une autre chose non-périssable permettant les individus d’accumuler plus de propriétés à remplacer les essources naturelles, ainsi la monnaie est créée.

La monnaie a chez J. Locke trois caractères : une chose non-périssable, grâce à celle-ci, les gens peuvent conserver la richesse abondante même sans limite ; elle a la valeur de réserve, on peut la garder longtemps, comme elle ne pourrit pas, sa valeur ne diminue pas ; elle est un moyen d’échange, par lequel, on peut faire des échges des choses résiduelles avec les autres personnes qui ont la même idée, avantage est que avant de corruption du reste de ressoureces naturelles détenues, on peut les échanger, de plus il a moins de limites pour échanger avec la monnaie, une personne qui veut la viande peut vendre des pommes à des autres personnes qui ont seulement des pommes de terre, mais la première personne peut utilise la monnaie par l’échange des pommes contre de la viande, sans inquiétude de ne que trouver quelqu’un ayant de la viande qui veut des pommes par exemple, mais il apporte des défauts, ce sont des inégalités entre les individus, puisque la monnaie est non-périssable, les gens peuvent les conserver abondamment et durablement, la différence de la richesse entre les individus est de plus en plus grande, et cela enfreindre une des caractéristiques de la nature humaine chez J. Locke ( l’égalité ).

  1. La pensée de la monnaie de J. Locke

Sur la pensée de la monnaie, J. Locke est versatile, une part il pense que la valeur de la monnaie est fictive, la monnaie n’est pas un produit, elle n’a pas aussi la valeur réelle, son importance n’est pas le matériel de la monnaie ( la valeur du matériel de soi-même), mais la valeur marquée par les gens ( Currency name ) ; d’autre part il supporte metallism ( la monnaie est un produit, sa valeur dépend de son matériel, l’or et l’argent est uniquement la richesse d’un pays ). Dans le contexte J. Locke il est, comme la monnaie circulant dans le marché est abîmée et déstruite artificiellement, son poids est diminué, la valeur diminue donc, et cela introduit les gens choisisssent de fondre la monnaie abîmée pour la faire devenir le morceau de l’argent ( à ce moment-là, le prix de l’argent est plus haut que la monnaie ), la plupart de la monnaie dans la circulation du marché est fondue, le marché devient désoredre. Pour diminuer la différence du prix entre l’argent et la monnaie, William Lowndes ( 1652-1724 ), le ministre des finances anglais préconise refabriquer la monnaie en augmentant le poids de la monnaie ( l’augmentation de la valeur de la monnaie abîmée ; de five shillings and two pence à six shillings and three pence ). Mais Locke oppose cette préconisation, il pense que la raison pour laquelle le prix de l’argent est plus haut que celui de la monnaie est la réduction de poids de la monnaie, quelle forme et quelle couleur qu’ait la monnaie, sa valeur ne change pas, ainsi il demande de distribuer la monnaie complète ( le poids complet de l’ancien détail de la monnaie ) tout en récupérant la monnaie abîmée.

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