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La France Dans Les échanges Internationaux

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Par   •  15 Avril 2015  •  1 062 Mots (5 Pages)  •  1 568 Vues

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Introduction : Nous allons réaliser une étude qui permettra d’analyser les points forts et les points faibles du commerce extérieur de la France pour une PME qui se nomme les fragrances du sud, une entreprise spécialisée dans la production et la distribution de parfums, bougies et huiles essentielles. Pour cela, dans un premier temps, nous analyserons la place de la France dans les échanges internationaux, dans un deuxième temps, nous montrerons les conséquences du taux de change de la monnaie européenne de l’activité économique des entreprises françaises. Et pour finir, nous apprécierons l’évolution de la spécialisation de la France au regard des théories du commerce international.

La France tient une place importante dans les échanges internationaux puisqu’elle est le 3ème investisseur au sein de L’Union Européenne, derrière le Royaume Uni et L’Allemagne. En 2012 la France était le 11ème investisseur mondial, cependant les flux des investissements français à l’étranger ont subi une baisse puisqu’en 2008, ces flux étaient de 105,8 milliards contrairement à 2012, où ils étaient de 29 milliards. De plus, les flux annuels d’investissements sortant de France ont représenté 28 milliards, après 35 milliard en 2011. La France connaît donc, un déficit de ses flux d’investissement à l’étranger.

La France connaît aussi une perte de ses parts de marché vis-à-vis de ses partenaires de l’Organisation de coopération et développement économique ou L’OCDE, puisqu’en 2002, les parts de marché de la France étaient de 8% alors qu’en 2012 elles étaient de 6%, La France a donc subit une perte de 0,2 % de ses parts de marché. Contrairement à ses partenaires de l’OCDE, qui eux connaisse une augmentation de leurs parts de marché. Par exemple les Etats unis qui étaient en 2002 à 15,3 % et qui en 2012 étaient 17%, soit une évolution de 0,8%, et L’Allemagne qui était à 14,7% en 2002 et qui sont passée en 2012 à 16,2 %, soit une évolution de 1,6%. Nous constatons donc que sur le long terme les parts de marché de la France connaissent un déficit par rapport à ses partenaires de L’OCDE. La France tient donc une place importante dans les échanges internationaux mais ses flux d’investissements à l’étranger, ainsi que ses parts de marché connaissent baisse par rapport aux marchés mondiaux.

Le taux de change de la monnaie européenne sur l’activité économique des entreprises françaises à de grosses conséquences. La France, est positionnée sur des produits moyenne gamme, qui sont en forte concurrence avec les pays émergents ou sur des produits haut de gamme, qui se vendent en $. L’euro handicape les exportations de la France, car il tourne actuellement autour de 1,35 dollar. Comme la France, se positionne à l’export sur des produits moyens gamme, elle en subit les conséquences lorsque sa monnaie dépasse 1,23 dollar. Elle ne peut donc pas fixer ses prix sur les marchés étrangers, car comme elle n’a pas un euro fort, elle ne peut pas réduire le coût de ses importations, sans pénaliser ses exportations.

De plus les importations de la France sont plus élevées que les exportations. En 2011 les importations de la France étaient de 41,01 milliards € et les exportations étaient de 34,40 milliards €. Récemment en 2013 les importations de la France étaient de 41,27

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