L'analyse du PIB comme indicateur de richesse
TD : L'analyse du PIB comme indicateur de richesse. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar Rizwan Mushtaq • 28 Mars 2019 • TD • 558 Mots (3 Pages) • 793 Vues
Séance 1 (Suit texte)
L’analyse du PIB comme indicateur de richesse
Le problème de l’analyse de la richesse, de la valeur des ‘’bien’’ (good) matériels ou immatériels n’est pas nouveau- Au début des années 70’ la commission européenne, le ‘’club de Rome’’, la commission Leontiel avaient déjà pose le problème de la nature et du taux de la croissance. Les problèmes des aspects positifs et négatifs de la production étaient déjà posés.
L’analyse s’est concentrée sur l'agrégat PIB qui évoluer dans le temps.
(La PIB---------🡪 Le PIB)
Le problème est d'enregistrer la richesse créée ce qui pose le délicat problème (il y a beaucoup de problèmes) de pouvoir comptabiliser.
- Les productions de ‘biens’ matériels et immatériels non-marchands - ceux-ci sont en train de croître dans des sociétés ou l’économie collaborative se développe.
- D’autre part le terme ‘bien’ fait référence à quelque chose de positif, taudis que le terme ‘mal’ fait référence a quelque chose de négatif, d’où la tendance des Économistes à distinguer les ‘bien’ des ‘’ maux’’ notamment ‘’publics’’
-croissance, développement, équilibre, emploi, paix, justice.
-crise, chômage, pollution, inégalités, guerre, ……
- Le PIB pour l’instant ne peut pas répondre à ces attentes.
Pourquoi ?
Parce qu’il rassemble des données chiffrées sur des ‘bien’ dont la définition n'est pas toujours précise.
On devrait par exemple pouvoir distinguer dans une ‘marchandise’ la partie positive et la partie négative.
Donc pour l’instant le débat est toujours le même ‘au discute, en critique le PIB comme indicateur sans pouvoir le transformer. Donc la solution est d’y apporter d’autres indicateurs plus ‘qualitatifs’.
- Des indicateurs de ‘bien-être’ mais cela ne change pas la question d’un bon calcul de la vraie richesse créée- D’où les débats éternels sur les aspects négatifs de la croissance comme les pollutions- Ces débats durent depuis longtemps pour des raisons assez simples.
- L’outil théorique dire nouvelle vision de la nature des ‘bien’ n’existe pas.
- Si cet outil existant, sa mise en place demanderait du temps.
- Qui devrait initier le mouvement ONU ? tel ou tel pays ?
- Un autre problème après celui du constat et de la définition est celui du rôle du politique. i.e. des structures sociétales qui doivent avoir des objectifs précis pour mettre en œuvre des stratégies de réduction des ‘maux’.
-Aujourd’hui le marché domaine la logique économique et l’équilibre entre la sphère publique et la sphère marchande est rompu- depuis longtemps (~ années 70/80).
-D’où le problème de la création de nouvelles structures « Politiques pour gérer ces nouvelles » structures économiques autonomes.
6. C’est tout le problème pose par Aristote et d’autres –‘’ qui doit faire quoi’’
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