Cours d'économie macro

Bibliographie :

• Le commerce des promesses
• P.N Giraud, Point seuil
• Dictionnaire d’analyse économique Guerrien et gun
• La découverte

Introduction :

Différentes manières de faire l’analyse économique contrairement à la physique. En économie, par rapport à un même phénomène, il y a des points de vue différent même contradictoire. L’un de ces points de vue est dominant, appelé orthodoxe, c’est le point de vue majoritaire. C’est la théorie Néoclassique.  Si la théorie néoclassique est dominante, elle n’est pas la plus pertinentes que les autres. Les autres appelés : hétérodoxies.

I-  Grilles de classements de point de vue théorique

On va classer les théories avec 4 grilles de classements.

• Grille 1 : classement de la pluralité des points vue théorique en économie

        1.1. La méthode de l’explication individualiste : méthodologie ou holisme         méthodologie

Ce sont deux normes d’explications.

Individualiste méthodologie : on part des individus et on va vers le tout (toutes sociétés ou phénomènes collectifs)

L’holisme méthodologique : est le contraire. On part du tout vers l’individu.

Il y a des théories économiques qui revendique une méthode.

NC : IM, si tu prends l’autre méthode, pour eux ce n’est pas de la science

Hétérodoxe : HM, comme le marxiste, Keynes et les courants minoritaires. Elle pratique cette méthodologie. Il y a aussi des classiques.

Si sur le même sujet, on utilise les deux méthodes, on va trouver des conclusions différentes.

Ex : le chômage

Bien sur les normes d’explication sont pairs avec certaines conceptions de la sociétés. IM va avec l’individualisme sociologique, que le tout n’est que l’ensemble des parties. Ici on a une représentation de charge individualiste de la société, on pense ici que toutes identités collectives (sociales) ne sont que le résultat pas forcement intentionnelle des interactions individuelle, elle-même déterminé par les individus. On dit que la société dans sa représentation est le résultat des compositions des comportements individuels.

HM va avec holisme sociologique, le tout n’est pas l’ensemble des parties mais plus que cela.

 L’individu est nécessairement socialement déterminé. Les structures sociales déterminent les individus. Ce que ne signifie pas que les structures ne peuvent pas être modifié par les individus. Le contexte historique.

Ex : néoclassique, rationalité individuel

HM, pour le chômage, on va regarder de quoi détermine les individus, le contexte historique.

Les salaires sont à la hausse => donc une hausse du chômage.

C’est une corrélation. Et on peut dire l’inverse.

Pour l’un plutôt que l’autre :

C’est parce que c’est selon la conception que nous avions de la société qu’on détermine la méthode. C’est selon nos croyances.

Remarque : c’est parce que nous pouvons classer la théorie selon la méthodologie quelle revendique, cela ne veut pas dire que le respect. Les néoclassiques ont dû être contraint de mettre en place des organisations globales particulières qui est collective.

        1.2. La représentation globale de l’économique : Marché interdépendant ou de         circuits

                121. marché interdépendant

Modèle d’équilibre général (microéconomie) c’est la base théorique néoclassiques. L’approche en terme d’équilibre général et de l’équilibre partiel.

Partiel : consiste à isoler un bien ou marché le reste de l’économie. Considéré que l’offre et la demande est que selon le seul bien. On ne tient compte d’aucune interdépendance.   Personne ne ni le caractère faux de cette approche. Car lorsque le prix d’un bien varie, le pouvoir d’achat et de vente va varier. Bien sur cette variation va avoir des conséquences sur les autres biens. Si le prix d’un bien varie, donc les prix relatifs varient. Ce qui conduit à la substitution des biens avec les autres.

Général : le but est de prendre les interdépendances entre les agents. L’offre et la demande va prendre en compte tous les prix et offres du marché. Le model d’équilibre général vise une question bien précise, et les particularités de ce modèle découle de cette question qui doit répondre.  La question est dans quel condition un système de prix peut permettre la coordination la décision individuelle dans une économie.

La réponse est la condition du modèle de la concurrence parfaite.

                122. Circuit

C’est une autre manière. La loi de Say est une approche en terme de circuit (produit-revenu-dépense). Elle dit que l’offre engendre un flux de revenu. Et comme ce flux est nécessairement dépenser en achat de consommation ou soit indirectement en prêtent (épargne productive) à des personnes qui vont dépenser. Il n’y a pas de crise de production.

On considère des variables nominales en terme de flux (revenu, dépense, investissement) et avec des grandes fonctions économiques comme production, l’épargne, ainsi que les grands secteurs comme ménage, entreprise, état. Autrement dit on retrouve la comptabilité nationale. Il n’y a pas de pouvoir de coordination en terme de prix. Le prix a deux effets, elle modifie les proportions au sein des flux de production ou de dépense. Le circuit a une portée empirique évidente car elle tente d’écrire la réalité.  

Mobilité de capital selon les classiques.

        1.3. Le fonctionnement du capitalisme et économique : insister sur l’exigence des         débouchés solvables (sortie de produit) ou de rentabilité pour les entreprises.

Pour que l’économie capitaliste fonctionne « correctement » (croissance, pas trop de chômage, …), on peut considérer qu’il faut deux conditions qui doivent être réunies. Pour qu’il y est production (mise en œuvre de salarié par le capital) il faut qu’il est un taux de profit suffisant. On parlera de condition de rentabilité. Si ce n’est pas vérifier donc pas de production et donc pas d’emploi et de distribution de salaire.

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