Quelles Sont Les Conditions De L'adoption Et De La réussite Des Politiques De Maîtrise Des émissions De Carbonne ?

Le dioxyde de carbone est le gaz le plus important parmis les gaz à effet de serre d'origine anthropique. Ces gaz ont une origine anthropique, car ils transforment les espaces, les paysages, ou encore les écosystèmes ce qui engendre des impacts environnementaux désastreux et seulement visibles sur le long terme. Les émissions de dioxyde de carbone sont en grande partie la cause du réchauffement climatique. Malheureusement, depuis 1960, ses émissions sont en constantes évolutions. Seulement, ce n'est véritablement qu'à partir des années 2000 que peu à peu, les populations vont prendre conscience des conséquences désastreuses qu'entraînent ses émissions sur l'environnement. Dès lors, la protection de l'environnement va primer, et ne se limitera plus à un acte civil, mais va devenir un réel enjeu économique. À l'aide de différents instruments économiques, l'État doit construire une politique climatique qui s'articule avec les dispositions prises à l'échelle européenne et internationale.

Afin de savoir quelles sont les conditions de l'adoption et de la réussite des politiques de maîtrise des émissions carbone, nous déterminerons les instruments économiques et les acteurs nécessaires dans la politique de maîtrise des émissions de carbone, en évoquant dans un premier temps le débat de la maîtrise des émissions carbonne, avec ses méfaits, et donc ce qui amène a une prise de conscience. Puis, nous étudierons ensuite, les conditions de la réussite des politiques environnementales, en évoquant la misent en place des politiques environnementales de maîtrise de carbone, ainsi que ses limites.

Comme nous l'avons évoquée dans l'introduction, les émissions de carbone sont le fruit d'un débat amené par une prise de conscience. A l'origine de cette prise de conscience, on y trouve les méfaits des émissions de carbone vu par la population.

Cependant, ces débats arrivent trop tardivement, car les populations, n'ont pas vu les conséquences de suite, en raison de leur visibilité basée uniquement sur du long terme. C'est pourquoi il est aujourd'hui nécessaire d'anticiper pour l'avenir, et donc pour les générations futures. Peu à peu la maîtrise des émissions de carbone entre dans les moeurs, mais c'est une question très compliquée, car il y a énormément d'enjeux derrière. Ces enjeux ont très vite étaient cernés par les État, notamment grâce à l'apparition dès le XX°siècle du développement durable qui les pousse dans une logique de préservation de l'environnement, mais il n'en est pas de même pour les populations. Les agents étatiques sont toutefois plus informés que la population, ils sont plus en débat, grâce à des réunions de différentes envergures.

Toutefois, il faut déjà savoir, et comprendre que les émissions de carbone regroupe un ensemble de choses, ce qui en fait un phénomène complexe en terme de maîtrise. En effet, ses émissions qui sont anthropiques sont liées aux activités humaines, c'est-à-dire, aux chauffages, aux véhicules, ainsi qu'aux divers types de combustion et de fermentation. Les moyens de transport utilisant des hydrocarbures tels les voitures, les camions, les avions ou encore les navires, forment une source importante de dioxyde de carbone, ce qui à des conséquences environnemental. La conséquence la plus importante, la plus désastreuse en matière d'émission de carbone est le réchauffement climatique. Ce dernier est déjà présent depuis des années, seulement, c'est que depuis quelques années que nous le subissons, et que nous devons nous y adapter. Sans modification des modes de production et de consommation, ce réchauffement climatique est estimé par les experts à l'horizon 2050 comme un phénomène qui exposera une population à de multiples risques tel la hausse du niveau des eaux, que nous pouvons d'or est déjà constater et qui se fait à travers de tempête, mais aussi nous serons exposé à une réduction des surfaces cultivables, ce qui engendrera des pénuries alimentaires, de plus le réchauffement climatique nous expose également aux problèmes sanitaires et épidémiques, etc. Peu à peu, on va voir apparaître une diffusion de ses conséquences qui vont alerter la population, ce qui débranchera une prise de conscience qui aboutira à un acte positif en terme de préservation de l'environnement. De ce fait, vont se distinguer deux catégories de population, les pollueurs et les non-pollueurs. Cette catégorie va permette par le biais d'incitation, de lutter contre les émissions de dioxyde de carbone et donc de préserver l'environnement. Mais nous y reviendrons ensuite dans la deuxième partie.

Mais, nous sommes dans une période de transition, cette prise de conscience est en train de s'étendre aux populations, au dépens de certains États qui refusent catégoriquement de s'y prêter (exemple de la Corée). Donc, on peut encore parler d'une défaillance du marché en matière climatique, car le climat étant un bien collectif, il est impossible de lui appliquer les règles du marché. De plus, faute de droits de propriété identifiés, les émissions de gaz à effet de serre, (dont les émissions de C02) liées aux activités de production et de consommation constituent des externalités négatives. Et la dégradation de l'environnement qui en découle pour la collectivité n'engendre aucun dédommagement ou prise en charge de la part du pollueur. Donc, le marché étant défaillant à ce niveau, la réduction et pour ainsi dire la maîtrise des émissions de gaz à effet de serre et principalement de dioxyde de carbone nécessite l'intervention de la puissance publique.

En outre, la prise de conscience est lente et progressive chez les populations, mais en revanche, la prise de conscience des Etats en matière de maîtrise des émissions de C02 est acquise pour bon nombre d'entre eux, mais nécessite d'abord l'aide des populations en passant par des débats, par des démarches, par un soutien afin de répondre aux objectifs pour parvenir à maîtriser les émissions de C02.

Répondre aux objectifs, en outre, maîtriser les émissions de carbone. Un phénomène d'une grande complexité sans l'aide publique comme nous venons de l'étudier.

Pour cela, les instruments économiques sont nécessaires pour la réussite d'une politique de maîtrise des émissions de dioxyde de carbone. Effectivement, les Etats, ont mis en place des politiques environnementales visant à préserver l'environnement, et incitant les populations à en faire de même. Dans la société actuelle, ce n'est qu'au

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