Définition de la macroéconomie et de la microéconomie
Commentaire de texte : Définition de la macroéconomie et de la microéconomie. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar jbbernard59 • 19 Avril 2015 • Commentaire de texte • 772 Mots (4 Pages) • 567 Vues
Introduction:
On peut définir la microéconomie par la branche de l'économie qui « analyse les comportements des individus ou des entreprises et leurs choix dans le domaine de la production, de la consommation, de la fixation des prix et des revenus. Elle est le champ privilégié de la théorie néo-classique ». Elle analyse les comportements des agents économiques (consommateurs et entreprises) et de leurs relations sur les différents marchés où s'échangent les produits et les facteurs de production
Et on peut définir la macroéconomie par l'approche théorique qui étudie l'économie à travers les relations existant entre les grands agrégats économiques, le revenu, l'investissement, la consommation, le taux de chômage, l'inflation, La macroéconomie constitue l'outil essentiel d'analyse des politiques économiques des États ou des organisations internationales. La macroéconomie est la branche de l’analyse économique qui étudie la structure, le fonctionnement et le résultat de l’économie globale.
Mais on pourrait se demander s’il existe réellement un paradigme conciliable entre les deux économies et qu’elles en sont les outils ?
Dans une première partie nous verrons un paradigme difficilement conciliable
Et dans une seconde partie, nous verrons les outils complémentaires.
Le paradigme difficilement conciliable
A. La rationalité postulat fondamentale dans la micro absent dans la macro
D’après Friedman si l’individu est capable d’anticiper, il est donc capable d’adapter ses actions en fonction de ses anticipations et de l’expérience acquise par le passé. C’est ainsi que Friedman démontre que la courbe de Phillips* est sans doute vrai à court terme, mais qu’elle est verticale sur la longue période et égalise le taux de chômage. Alors que la fonction keynésienne de consommation croît avec le revenu, elle est stable chez Friedman, les agents anticipant le niveau de revenu moyen tout au long de leur vue, épargnant ou désépargnant, selon que leur revenu courant est au-dessus ou en deçà de leur revenu permanent de façon à maintenir leur niveau de consommation. Par conséquent, non seulement l’épargne n’est pas ce qui reste du revenu après consommation comme chez Keynes (c’est même l’inverse), mais surtout les politiques de relance ne provoquent aucun accroissement de la consommation, les agents épargnant le revenu ainsi distribué par les pouvoirs publics.
Mais maintenant on parle de deux postulats, on a d’un côté la rationalité parfaite et de l’autre une « anticipation rationnelle » et non adaptative.
Robet Lucas, économiste du vingtième siècle, dit que si les anticipations sont rationnelles, les politiques sont inutiles. De plus une demande effective n’existe pas. En effet, les anticipations sont immédiates, il faut distinguer la critique monétariste de la critique de la nouvelle économie.
B. Raisonnement hostile en macro économie et fondé sur l’individualisme méthodologique en microéconomie
L’analyse microéconomique relève
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