Carl ROGERS: le développement de la personne
Compte Rendu : Carl ROGERS: le développement de la personne. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar tigressechachou • 19 Juin 2013 • 653 Mots (3 Pages) • 1 090 Vues
Carl ROGERS (1902-1987) psychologue, psychopédagogue : le développement de la personne. S’inscrit dans un courant humaniste : la personne possède en elle toute les ressources pour se développer (vision optimiste de l’être humain) mais la personne a eu des écueils qui l’empêche d’avancer.
Selon Rogers, le travailleur social doit développer des attitudes particulières :
- La congruence
- L’empathie
- L’accueil inconditionnel
-
L’expérience est première dans la relation d’aide
« Ne pas agir comme si j’avais de l’affection alors que non, ne pas faire comme si j’étais plein d’assurance alors que j’ai peur […] » => congruence -> authenticité
• Il faut une authenticité -> être au fait de sa propre personne
• On ne peut être accueillant que si on se respecte soi-même : on doit se respecter dans les missions de l’institution et les missions d’ASS • Il faut que le milieu nous convienne également : essayer d’être en harmonie avec soi-même
Quelles sont mes valeurs ?
« Mon intervention est plus efficace lorsque j’arrive à m’écouter, que j’arrive à m’accepter et que je peux être moi-même»
• Marshall ROSENBERG -> la communication non violente : comment mettre en place une gestion non violente des conflits
• Programmation neurolinguistique : comment mieux communiquer avec les autres, mieux être à son écoute
• Thomas GORDON « Parents efficaces» : comment mieux communiquer avec ses enfants
Comment aider la personne à retrouver accès à ses ressources personnelles ?
Rogers estime que le TS doit également avoir de l’empathie : « J’attache une valeur énorme au fait de pouvoir comprendre une autre personne » -> il va falloir être présent et distant : trop proche je suis dans la fusion, dans la distance pour pouvoir l’aider.
Comment aider la personnes à recontacter ses propres ressources pour qu’elle puisse retrouver de l’autonomie, et être acteur ?
|-> Bien faire ce n’est pas de faire à la place de la personne. Peut-être lorsque l’autre aura été trop abimé, trop loin d’une possible autonomie, il faudra porter l’autre personne.
Le vécu de la personne est à prendre en compte -> se faire suffisamment proche de la personne pour avoir accès à ce vécu, à sa réelle demande (au-delà de la demande initiale).
Quand j’écoute l’autre, parfois cela renvoie à mes propres émotions, mon propre vécu -> écouter la personne avant, s’écouter après l’entretien et se mettre au clair avec soi-même -> découverte de soi-même. Il s’agit d’une écoute impliquante.
L’accueil inconditionnel / acceptation positive inconditionnelle : j’essaie d’accueillir la personne comme elle est (colère, énervement, angoisse, joyeuse, etc) au moment où
...