Fiche de révision CEJM 4 chapitres

Chapitre 11 : l’environnement global de l’entreprise

1. L’entreprise et son environnement

L’environnement : c’est tout le contexte externe à une entreprise qui à ou peut avoir des conséquences sur celle-ci (l’analyse PESTEL)

Politiques : fiscalité, stabilité du gouvernement …

Economique : niveau de consommation, richesse d’un pays, revenus, chômage …

Sociologique : démographie, effets de mode…

Technologique : innovations, R&D

Ecologique : action ou lois en faveur de l’écologie …

Légal : Droit de consommation, Droit du travail

1. L’instabilité de l’environnement de l’entreprise

Les mutations provenant des actions publiques :

L’environnement évolue selon les différents gouvernements mis en place, des projets de lois peuvent être démarré puis abandonné sur des sujets comme l’écologie, la politique budgétaire en somme aux éléments du Politique, Economique, Ecologique et Légaux du PESTEL

Les mutations qui ne proviennent pas d’actions publiques

Celles-ci émanent des citoyens qui dit « influenceur » qui ont donc une forte influence sur les modes de consommations (exemple du bio) et les styles de vie. Aujourd’hui nous avons par exemple des consommateurs très volatile. Donc cela correspond au sociologique ou même technologique du PESTELCEJM

1. L’impact de l’environnement sur la situation de l’entreprise

Les mutations de l’environnement amènent des équilibres ou des déséquilibres qui peuvent eux-mêmes crée des menaces ou opportunité pour une entreprise donnée

Par exemple avec une augmentation du pouvoir d’achat nous avons l’opportunité d’avoir potentiellement plus de consommation, ou la menace de stimuler la création d’entreprise concurrentes, ou si c’est une entreprise qui produit des produits bas de gamme qu’il y ait une baisse de consommation de leur produit afin d’aller chercher de meilleur produit.

Chapitre 7 : la croissance

1. La mesures des performances des entreprises

La mesure de la performance d’une entreprise se fait par la production (par secteur ou par période)

Le plus connu est le PIB (somme de toutes les valeurs ajoutées d’un état sur une période donné)

C’est donc l’ensemble des productions marchandes et non marchandes (administration publiques)

Les VA des productions marchandes se calculent par le CA – les conso intermédiaire.

Les VA des productions non marchandes se calculent par leurs couts de production.

1. Les facteurs contribuant à la croissance

Ceux-ci résultent des facteurs de production qui passe par le capital (équipement, ressources matérielles, progrès technique) et le travail (main d’œuvre, formation/organisation)

Ces facteurs de productions peuvent être associé à de la productivité, car des gains de productivités permettent d’augmenter la production pour de moindre coût et donc produire d’avantage et pour finir augmenter la croissance économique tout en optimisant les ressources.

L’innovation à un rôle très important dans le processus de la croissance, c’est Schumpeter qui le met en valeur, d’après lui l’innovation provoque une destruction créatrice.

Schumpeter distingue 5 formes d’innovation :

• De produits (objets high tech)
• De procédés (plan en 3D exemple du secteur de l’automobile)
• De modes de production (Fordisme, Taylorisme, Juste à temps)
• De débouchés (l’histoire d’internet)
• De matière premières (recyclage des bouteilles plastiques pour fabriquer du textile synthétique)

1. Le rôle de l’état

Il veut absolument stimuler la croissance, et pour ça il doit stimuler les investissements, la rechercher, et les innovations exemple du grand plan d’investissements 2018-2022 de 55Md avec comme premier axe la transition écologique (1/3), l’éducation (1/4), puis la compétitivité sur l’innovation et le numérique.

Le but pour l’état étant de réagir face à des variables économiques comme l’inflation et au chômage.

Chapitre 10 : La régulation des activités économiques par le droit

1. Les atteintes à la concurrence entre entreprises

La concurrence déloyale (art.1240 du code civil tout fait quelconque de l'homme, qui cause à autrui un dommage, oblige celui par la faute duquel il est arrivé à le réparer)

• Le dénigrement : faire porter le discrédit sur un concurrent
• La désorganisation : fait de mettre en œuvre des agissement entrainant une désorganisions du concurrent, ex : l’embauche d’un salarié qui va rester lié avec l’entreprise précédente par une clause de non concurrence
• L’imitation : le fait de créer une confusion avec une entreprise concurrente en l’imitant
• Le parasitisme : fait d’une entreprise d’un secteur différent qui profite de la notoriété d’une autre en se plaçant dans son sillage

Pour que la concurrence déloyale soit définit comme un préjudice un dommage à l’entreprise doit être démontré.

Les pratiques anticoncurrentielles :

• La revente à perte (pouvant éliminer une entreprise du marché ou lui prendre une partie de sa clientèle), à quelques exceptions comme les soldes
• La rupture brutale des relations contractuelles qui consiste à mettre fin de façon brutale à un contrat qui lie entreprise et partenaire

1. Le contrôle des pratiques anticoncurrentielles

Tout le contrôle est fait par l’autorité de la concurrence qui contrôle

• Les ententes et concentration (celle-ci se font au détriment du consommateur, traduit souvent par un hausse des prix)

• Entente horizontale (sur un même marché, ex : rachat de Darty par la FNAC)
• Entente verticale (entre client et fournisseur)

• Les abus de positions dominantes

• 3 conditions doivent être réunies : l’existence de cette position dominante, l’abus de cette position, un effet sur la concurrence. (exemple de Engie dans le gaz)

1. La propriété industrielle, un avantage concurrentiel pour l’entreprise

Enregistré auprès de l’INPI (Institut national de la propriété industrielle) cela va permettre un monopole d’exploitation pour l’entreprises propriétaire

...