Dissertation sur la communication
Étude de cas : Dissertation sur la communication. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar arslebarde • 25 Juin 2020 • Étude de cas • 787 Mots (4 Pages) • 774 Vues
Synthèse de document
La communication est un code verbal ou non qui permet de transmettre une information. En effet, de nos jours avec l’arrivés des nouvelles technologies, les outils numériques s'adaptent à notre vie ainsi que dans les tâches quotidiennes. Paroles, conversations, échanges et digital constituent les éléments saillants qui se dégagent de notre corpus. Celui-ci se compose de quatre documents : le document 2 est un texte argumentatif extrait du tome 6 du Dictionnaire de la conversation et de la lecture, de Jules JANIN paru en 1870. Le document 4 est un texte argumentatif extrait du livre “j’aime pas Facebook” du groupe de recherche IPPOLITA, paru aux éditions Payot en 2012. Le document 3 est un texte explicatif intitulé "Numériques : tous graphomane", c’est un article extrait de la revue scientifique "Sciences Humaines" parue en Novembre 2013. Le document 1 est un document iconographique intitulé "Strangers in the lights". C’est une photographie de Catherine BALLET extraite du catalogue “Steidle” paru en mars 2013.
L’analyse de ces quatre documents nous interroge sur les avancées technologiques dans le domaine de la communication et cherchons à savoir si elles sont bénéfiques ou non pour l’Homme. Nous verrons que ces nouvelles technologies sont bénéfiques à l’homme, mais que celles-ci ont certaines limites.
La communication est un code verbal ou non qui permet de transmettre une information. En effet, de nos jours avec l’arrivés des nouvelles technologies, les outils numériques s'adaptent à notre vie ainsi que dans les tâches quotidiennes. Le collectif Ippolita présente l'impact des réseaux sociaux, particulièrement Facebook, sur l'émergence de nouveaux rapports sociaux. Il développe le concept de "l'homophilie" qui traduit l'appétence des personnes à s'organiser en groupes selon certains critères.
Selon ce collectif de sociologues, Facebook est l'illustration de "l'homophilie". Nous sommes ensemble car nous partageons la même identité. Et non les mêmes affinités, nuance Ippolita. Dans ce genre de typologie d'échanges sociaux, il n'y a pas de place ni à la diversité, ni à la divergence, ni encore moins à la déviance. C'est l'appartenance à la même identité qui fait loi. Les groupes se constituent, donc, par des personnes qui se reconnaissent dans la même identité. Contrairement à l'affinité, qui elle, régit un autre rapport social entre les individus. Il s'agit d'une relation qui repose sur le respect et la valorisation de la différence. Dans ce genre de groupe, c'est la différence qui est l'élément de ressemblance. Par conséquent, les individus tissent leur relation non pas sur le critère d'homogénéité au groupe mais sur celui de l'unicité de l'individu
Jean-Claude MONOD,
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