La malbouffe - Stella et Joël de Rosnay.
Cours : La malbouffe - Stella et Joël de Rosnay.. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar EMELINE.LEMOINE • 27 Avril 2016 • Cours • 1 056 Mots (5 Pages) • 3 306 Vues
Introduction : Stella et Joël de Rosnay, en 1981 utilisent ce terme car c’est une nourriture peu nutritive et grasse. Ils écrivent un livre intitulé de ce nouveau mot « La malbouffe ». Ce livre n’est pas un livre de régime, mais une autre façon de vivre en surveillant son alimentation en veillant à manger équilibré sans trop de graisse et de sucre. (Ils disent qu’il faut préviligier les graines (pois chiche, noisette…) les fruits et les légumes. Ils disent qu’il faut se faire plaisir en mangeant mais il faut manger intelligemment. (vidéo sur Ina.fr « la mal bouffe : manger plaisir ou science)
ASPECT SOCIALE :
Influence :
Marketing alimenaire :
On a dépensé 1 milliard d’euros en 2014 en publicité alimentaire (source l’internaute.com) en France.
En 2007, Coca Cola ne consacrait pas moins de 777 millions de dollars à son budget de publicité
Les publicités sont faîtes avec des personnages de média bien connus des petits enfants.
A Mcdo, des menus plus gros coûtent un tout petit peu plus cher que les petits.
[pic 1]
Exemple : Pour un menu Best-off avec un sandwich, une boisson et une frite, je paye 8,20€
Avec un menu Maxi-best-off avec le même sandwich, la même boisson et une frite je paye 8,80€.
Mcdo entraine donc une surconsommation.
Les fast food ont une image jeune grâce aux jeux à l’extérieur, leurs menus enfants avec des DVD ou jouets, leur personnel qui a généralement moins de 30ans. C’est ce qui attire cette catégorie de la population à venir manger dans des fast food.
Les fast food restent moins cher que les restaurants traditionnels.
Ce qui est disponible : Il y a 1.134 restaurants en France (d’après 20 minutes). Des distributeurs un peu partout (au lycée, à la piscine, au boowling…)
De plus, aller manger dans des fast food est un effet de mode. Quand on sort en ville, souvent on va manger à KFC ou autre.
D’autre part, les constitutions des aliments sont faites de sorte à nous rendre addictes.
(Tout ce qui est en itallique est l’explication du schéma) (Emeline.)
Conséquences :
Lecture du diagramme.
Nous n’apprenons plus à cuisiner, nous ne sommes plus proche des producteurs et nous ne respectons plus les horraires du repas (bah oui, les fast food sont ouvert presque toute la journée)
Entre 1981 et 2009 le taux d’obésité passe de 14 à 25% chez les filles et de 14 à 31% chez les garçons au Canada.
Le surpoids serait particulièrement fortement associé au diabète de type 2 (qui est en soi un facteur de risque pour les maladies cardiovasculaires) et serait relié à plusieurs formes de cancer (oesophage, sein, utérus, pancréas, colon, rein, vésicule biliaire).
De 50 % à 54 % jeunes de 9 à 16 ans consomment des aliments de restauration rapide au moins une fois par semaine.
Mesure :
Depuis le 28 février 2007, la loi française impose (sauf à s’acquitter d’une taxe) aux marques de produits alimentaires d’introduire les messages sanitaires suivants dans leurs publicités et autres outils de communication :
« Pour votre santé, mangez au moins cinq fruits et légumes par jour » ;
« Pour votre santé, pratiquez une activité physique régulière » ;
« Pour votre santé, évitez de manger trop gras, trop sucré, trop salé » ;
« Pour votre santé, évitez de grignoter entre les repas ».
Ils mettent aussi des messages avant les publicités etc… Cela à réduit le taux d’obèsité et a permis d’informer plus d’enfants et de parents.
Dans les écoles aussi, on enseigne aux enfants comment manger équilibré.
Le 2 Octobre 2011, un décret est fait, obligeant les cantines à mettre le pain et l’eau en libre service et en mettant des sauces en fonction des plats servis. (Louna)
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