Les femmes du Québec

INTRODUCTION

Depuis la création de Québec en 1608, les femmes ont fait face à une grande infériorité envers les hommes, pour ce qui est du droit de vote, le travail, etc. C’est juste après la première guerre mondial quand les femmes on remplacer les hommes dans les usines que la population a vu qu’il était capable de faire autre chose que de rester à la maison avec les enfants. C’est principalement après la guerre que les femmes ont commencé à se battre pour leur droit, Ainsi, le 28 janvier 1928 Idola St-Jean s’exclame et écrit l’aristocratie des sexes, dans le journal Le monde ouvrier.

BIOGRAPHIE

Idola Saint-Jean (1880-1945), Celle-ci est née au Canada, à Montréal. Elle est professeur a l’université de McGill et aussi militante féministe. Elle combat activement l’avancement de la cause des droits de la femme au Québec. Celle-ci relance, en 1927, le débat de suffrage féminin fondant l’Alliance canadienne pour le vote des femmes du Québec. Appuyer par les militantes et présidée par Thérèse Casgrain. Elle se présente aux élections de 1930 et obtient 3000 votes dans le comté de Saint-Denis. Cette merveilleuse femme donne aussi plusieurs heures de sa vie pour aider les jeunes délinquante du Québec.

CONTEXTE HISTORIQUE

Historique

Depuis les années de la Nouvelle-France, la femme est soumise au père et ensuite à son mari, celle-ci est en minorité face à l’homme, l’homme à tous les pouvoir face à la femme. Surtout les femmes avait ni droit de vote, ceux-ci ‘occupait des enfants à la maison, il ne travaillait pas. Depuis ce temps, les choses on évoluer, c’est principalement pendant le 19 e siècle que les mouvements féministe ont commencé au canada mais il faut attendre un peu plus tard pour le Québec. En 1893, la formation du Montréal Local Council of Women (MLCW) fut créée, il a ensuite eu la formation de la Fédération national Saint-Jean-Baptiste (FNSJB) en 1907. Dans la première moitié du 20e siècle, les femmes québécoise ce revendique fortement pour le droit de vote. Ceux-ci développent deux argument principale, la première soutenu par une femme très importante dans l’histoire de la femme au Québec Marie Lacoste-Guérin-Lajoie et la FNSJB : « le rôle social traditionnel des mères et l'apport de l'instinct maternel à une nouvelle vision à la société. Cet apport est vu comme ne pouvant être que bénéfique à l'ensemble de la société et ne menaçant en rien l'ordre établi ». Cet argument a donné lieu au concept de maternalisme. La deuxième argumentation fut développée par les féministe Idola Saint-Jean et Thérèse Casgrain. Pour elles, les hommes et les femmes sont deux personnes semblables et doivent être considéré comme égaux devant la loi et doivent bénéficier des mêmes droits.

Contexte historique large

Ce texte se situe dans le Québec industriel des années 1900 à 1930 plus précisément en 1928.Le parti libéral est alors au pouvoir depuis 1897. Pendant leur règne, il a eu la seconde vague d’industrialisation dans les usines d’hydroélectricité, de pâte et papier des mines et de l’électrométallurgie. Il a ensuite eu la première guerre mondiale de 1914 à 1918, cette guerre beaucoup aider l’économie et les commande militaire on favoriser beaucoup de secteur comme le secteur de la mécanique, des ressources naturelles mais aussi l’agriculture. Puisqu’il y a eu beaucoup de demande des militaires à la guerre les emploie on énormément augmenter mais puisqu’une grande partie des hommes sont partis à la guerre, qui était alors engagé par les industries ? Et oui les femmes : « Les femmes ont longtemps été pratiquement absentes de l’histoire écrite, même si elles constituent la moitié, sinon la majorité de la population. À l’instar des ouvriers, elles prennent peu à peu conscience de leur situation dans la société et cherchent à se regrouper et à s’organiser pour défendre leurs droits ». Depuis ce jour, les femmes avec les taches qu’ils ont accomplies avec succès, ils ont alors pris conscience de ce qu’elles étaient capables de faire, bien plus que le simple devoirs d’être une mère et un épouse. Elle veut consacrer un part de sa vie à aider l’humanité. Toutefois, même si la femme a reconnu ce qu’elle était capable de faire, l’homme la voit encore comme une épouse et une mère et c’est pourquoi en 1920 Louis-Alexandre Taschereau, qui préside le PLQ refuse le droit de vote des femmes au niveau provincial. C’est pourquoi que depuis la guerre les femmes ont commencés de plus en plus à ce révolté puisqu’elles savent maintenant ce qu’elles peuvent faire et veulent que la femme soit égale à l’homme d’où l’argument de Idola St-Jean et Thérèse Casgrain que les hommes et les femmes sont semblables et doivent être considéré comme égaux

Contexte immédiat

En 1920, le chef du parti libéral qui a succéder à Lomer Gouin, Louis Alexandre Taschereau refuse le droit de vote aux femmes. Ensuite, en 1927 « Il y a scission au sein du Comité provincial pour le suffrage féminin. Naît alors l’Alliance canadienne pour

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