La Femme Noire
Compte Rendu : La Femme Noire. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar dissertation • 28 Mars 2012 • 6 409 Mots (26 Pages) • 2 801 Vues
// L'IMAGE POSITIVE QUE RENVOIE LA FEMME NOIRE
A- LA FEMME NOIRE DANS LA LITTERATURE ET LA POESIE
La littérature moderne d'Afrique noire se situe dans plusieurs langue : Dans des langue différente ou même dans leur propre langue ; l'influence des mondes islamiques et arabes les Africains sont influencé par les européens. Les Africains écrivent beaucoup depuis la Seconde Guerre mondiale; en utilisant le français, l'anglais, le portugais et plus de quarante langues africaines, ils ont écrit de la poésie, de la fiction, du théâtre, et inventé des formes d'écriture pour lesquelles sa n'existe pas dans le monde littéraire européen. Leurs œuvres dressent l'image de la réalité politique et sociale moderne, et s'attachent a leurs valeurs, qu'ils soient ou non africains. Dans la même époque , leurs écrits sont fondés sur les traditions indigènes et des visions du monde typiquement africaines. Avant l'arrivée des Européens, avant même le développement de l'écriture, les peuples de l'Afrique sub-saharienne ont exprimé de façon leurs pensées, leurs sentiments et leurs préoccupations, sous la forme de mythes, de légendes, de contes, de poèmes, et de théâtre. La femmes noire dans la littérature et représenté de manière inférieur par rapport a l'homme blanc , elle ne s'occupe que de la maison et de son marie car elle vie dans un système patriarcale . Ce qui reflète la réalité , donc la femme noire on la dévalorise comme un objet sexuelle elle parle peut mais agis beaucoup. Car elle est souvent décrite avec des formes volumineuse . Mais les temps on bien changé les femme noire on pris leurs indépendance car de nos jours elle écrive des autobiographie et mettent en avant leurs statue de femme libre .
Nous allons donc parler de la littérature des femmes noires en Amérique .
Une si longue lettre est un roman épistolaire de l’auteur sénégalais Mariama Bâ ; ce texte a été publié pour la première fois en 1979. Mariama Bâ fut la première femme africaine à avoir écrit certaines réalités sociales sur le continent africain , en général et à son pays en particulier, le Sénégal. Dans un contexte où la liberté de pensée et d’expression en ce qui concerne les femmes n’étaient pas forcément les même que les hommes.
Le roman retrace vingt-huit lettres.les différentes étapes de la vie de deux amies d’enfance, Ramatoulaye Fall et Aïssatou Bâ. Veuve et mère de douze enfants, Ramatoulaye prend la charge de ces enfants après la mort de son mari, Monsieur Modou Fall, et c'est comme ca qu'elle écrit une «longue lettre» qu’elle adresse à sa meilleure amie Aissatou Bâ . Ramatoulaye fut exilée aux Etats-Unis où elle exerce le métier d’interprète. Ramatoulaye retrace avec tendresse mais aussi avec beaucoup de nostalgie les différents moments ayant marqué leur amitié et leur enfance commune. Une enfance avec beaucoup de joie, de croyances, d'espoir. Ceci est aussi l’occasion pour notre héroïne de revenir sur les circonstances du décès de son mari, sur les années passées à ses côtes, sur ses problèmes conjugaux mais également de faire un parallèle entre l’expérience d’Aïssatou et la sienne, et d’en tirer des conclusions. C’est à travers et surtout grâce à elle que celle-ci nous fait part non seulement de sa vision des choses mais aussi de sa détresse et de ces désespoir qui envahissent la société sénégalaise, et plus particulièrement les femmes. Au fil des lettres, Ramatoulaye nous décrit comment sont les conditions des femmes africaines au Sénégal , tout en insistant sur le rôle que les femmes jouent dans la société. Un rôle précis et limité à l’éducation des enfants et comment tenir le foyer, aucune autre responsabilité que sa ne leur aient attribuée. Ainsi, Ramatoulaye se souvient du jour où, après de nombreuses années de bonheur et de souffrance, elle assiste à tous les problèmes au sein du couple de Binetou , jeune lycéenne et amie de sa fille Daba. Déçue, malheureuse, triste, jalouse mais amoureuse, celle-ci n’a jamais renoncé à celui qui par le passé, l’a fait rêver; elle préfère ainsi subir humiliations car son mari et polygame. Ainsi peut-on lire les propos du mari aux pages 108-109 :
«[…] je t'épouse. Tu me conviens comme femme et puis, tu continueras à habiter ici, comme si Modou n'était pas mort. En générale c'est le petit frère qui qui hérite de l'épouse laissée par son ainé , Ici c'était le contraire . Tu es ma femme. Je te préfère a l'autre , trop légère , trop jeune . J'avais déconseillé ce mariage à Modou . Qu'elle déclaration d'amour pleine de fatuité dans une maison que le deuil n'a pas encore quittée»
Nous pouvons très bien voir ici que le marie prend n'importe qu'elles femmes sans demander l'autorisation a la femme car celle ci n'a pas le droit de parler. Et c'est le marie qui décide qu'elles femmes vas prendre la place de sont ancienne femme. Dans cette société patriarcale les hommes décident de tout. Ce qui dévalorise complétement la femmes noire car elle perd toute ses valeurs.
Par ailleurs, Ramatoulaye y évoque aussi le manque d’ouverture de la société sénégalaise. Dans cette ouvrage les Sénégalais ne sont pas très ouvert dans leur société , car il son renfermé dans leur société et ne voie pas le monde autour d'eux et ne cherche pas a regarder vers d'autre horizons . Les mentalités ne changent pas mais pourtant on voie bien que les femme subissent cette mentalités et ferons tout pour ne plus subir cela . Dans l'Afrique sub-saharienne il faut s'intégrer a sa société et pas a une autres . Mais l'Afrique a bien et bien changer depuis des siècles . Les femmes prennent maintenant leur indépendance . Malgré que chez certaine tribus les mentalités ne change toujours pas surtout dans une société patriarcale. Malgré les moqueries Jacqueline veut rester dans son pays pour changer cette mentalités et être une femme noire qui évolue dans son propre pays et ne pas toujours rester la même malgrés les insultes et les moqueries elle vas y parvenir.
Ainsi peut-on lire pp. 81-82).
«En regagnant le Sénégal, elle atterrissait dans un monde nouveau pour elle, un monde différent en réactions, tempérament et mentalité de celui où elle avait évolué. De plus, les parents de son mari -toujours les parents la boudaient d'autant plus qu'elle ne voulait pas embrasser la religion musulmane
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