L’élaboration d’une éthique environnementale devait-elle prioriser la santé de la terre?

L’élaboration d’une éthique environnementale devait-elle prioriser la santé de la terre?

Depuis le rapport environnemental de Meadows qui concluait que des conséquences terribles arriveront sur Terre si nous ne changions pas nos habitudes, quarante-six années ont passé. Nous pouvons penser que les tendances ont changé, mais au contraire. La Terre est dérèglée et le laisse savoir par ses comportements irréguliers (étés plus chauds, hivers plus froids, tempêtes météorologiques, etc.) Malgré ces signes, les gens priorisent leur grosse maison à une air pure et saine. C’est à se demande si l’élaboration d’une éthique environnementale devrait prioriser la santé de la terre, soit notre sol ou environnement.  Dans cette dissertation éthique, nous aborderons les deux positions afin de trancher.

En tout premier lieu, une éthique environnementale devrait prioriser la santé de la terre, car c’est dans cette terre que nous vivons tous les jours. Ceci étant dit, cet environnement nous sert d’habitat et ne devrait pas être salie. Aucun animal de cette planète ne pollue son environnement, sauf l’humain. Prenons l’exemple d’un cheval qui mange, boit, fait ses besoins et court. Ce cheval ne pollue pas son environnement avec ses habitudes de vie. Cet exemple va pour tous les animaux, sauf l’humain. L’humain s’est habitué à un besoin de consommation qui nuit à la santé de la terre. Ainsi, c’est pourquoi il faut descendre la quantité de pollution que nous émettons, car l’humain mène sa planète vers une destruction interne et certaine. En salissant son milieu, l’humain voit un rythme d’extinction des espèces de 100 à 1000 fois plus élevé que la normale. C’est énorme. Ces chiffres sont tels qu’une espèce est responsable de la disparition éclaire de trop d’espèces dans un écart de temps ridiculement petit. De plus, prioriser la santé de la terre, c’est aussi respecter le reste de la communauté biotique. Dans la nature, nous vivons en colocations avec tous les autres vivants. Que ce soit les parasites, les vermines, les poissons, les arbres, les oiseaux, nous partageons tous la biosphère à manière égale qui nous sert d’habitat. En détruisant l’environnement, l’humain ne respectons pas le principe d’égalité biosphérique, car nous nous donnons le droit de détruire l’environnement de tous à nos dépends. Pour renchérir, il est aussi possible de voir que mettre de l’avant la santé de la terre c’est changer certaines habitudes de vie comme l’alimentation carnée qui pollue énormément au niveau de l’alimentation du bétail, au niveau du transport avant l’abattoir ainsi qu’après l’abattoir, le méthane produit par certains bétails et j’en passe. Cette alimentation moins saine et nourrissante que l’alimentation végétarienne ou végétalienne est une des grandes causes de la pollution des eaux de nos poissons et la destruction de l’environnement de nos ours polaires. Ainsi, ne pas faire de la terre notre priorité, la propreté de notre habitat est négligée si nous ne pensons pas à notre environnement en premier et l’équité biosphérique n’est pas respectée ce qui crée de graves conséquencesMONTAGNE!!!! » »/$$//$%%%$%?&»***

D’une autre part, l’élaboration d’une éthique environnementale ne devrait pas prioriser la terre, car oui la nature fait partie de l’égalité biosphérique, mais l’humain aussi. L’humain fait partie d’un réseau (NAESS) de relations biotiques de droits égaux. Ainsi, mettre la terre au centre de nos priorités n’est pas nécessaire, car si nous respectons tous les êtres vivants pour leur valeur intrinsèque, jamais la nature ne va s’affaisser à cause des humains. En plus de faire partie d’un réseau de relations, l’humain

...