Femmes, genre, féminisme
Dissertation : Femmes, genre, féminisme. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar makeup199702 • 29 Mars 2016 • Dissertation • 1 535 Mots (7 Pages) • 1 284 Vues
RÉSUMER CRITIQUE DE TEXTES
Travail soumis au
Professeur
Dans le cadre du cours
Femmes, genre, féminisme (FEM1500A)
INTRODUCTION
Le féminisme est un ensemble de différent mouvement, d’idées sociales, politique et philosophique qui on tout un but commun, atteindre une certaine égalité politique, culturelle, économique, sociale, personnelle et juridique entre les hommes et les femmes. Le but est bien commun, cependant, il est vu différemment tout dépendant de la région, de l’époque ou même des différents penseurs. Pourtant, même si l’oppression n’est pas vue de la même manière par tout monde ceci est juste un déterminant pour choisir la lutte à venir. Dans c’est différent mouvement nous avons le féministe postcolonial. Ainsi, Chantal Maillé, professeur titulaire à l’Institut Simone de Beauvoir de l’Université Concordia a écrit Réception de la théorie postcoloniale dans le féminisme québécois (Maillé, 2007). Un texte qui se sert du féminisme postcolonial comme un point d’appui pour explorer les discours identitaires dans le féminisme québécois. Elsa Dorlin, est une philosophe contemporaine née en 1974, elle écrit Repenser l’articulation entre sexisme et racisme à l’ère de la postcolonie (Drolin,2010). Ce texte Elsa Dorlin essaye d’appliquer le concept de performativité et celle de la colonisation à la question du racisme. C’est deux auteures utilisent la théorie post colonial pour expliquer deux phénomènes différents. Une étudie les discours identitaires au billet de la théorie postcoloniale et l’autre étudie la théorie postcoloniale et la performativité de Judith Butler pour la question du racisme. J’ai donc, décidé de résumer leur écrit en mettant en évidence les éléments clés de leur théorie sur le postcolonial puis d’en faire une critique en utilisant les forces et les faiblesses de leurs travaux.
RÉSUMÉ
La première partie du texte rédiger par Chantal Maillé présente le commencement du féministe postcolonial à partir de différend écris. Ses écrits comptent parmi eux ceux de Gayatri Spivak, Chandra Talpade Mohanty et Uma Narayan. Gayatri Spivak a écrit un des textes fondateurs du féminisme postcolonial. L’auteure critique les représentations que les féministes occidentales entretiennent sur les femmes du tiers-monde et dénonce les processus d’infériorisation culturelle à l’œuvre dans ces représentations, cet empressement de l’homme blanc à sauver la femme de couleur de l’homme de couleur (Bachetta 2006 : 181-182). Par après, Mohanty, comme Spivak, c’est interroger sur des discourt féministe occidental et universitaire qui dénigre les femmes du trière-monde et qui discrédite les femmes des femmes occidentales de toute responsabilité dans la domination. Ensuite, Uma Narayan, dis que l’histoire coloniale est la construction de la culture occidentale. En outre dans la première partie de con écrit elle montre les déférente sources et enjeux du féministe postcolonial en utilisent les différent écrie des penseurs du début de cette théorie.
Dans un deuxième temps, elle explique la figure centrale dans le féminisme québécois, qui a été marqué au cours des années 60 par l’oppression nationale. Selon elle, cet héritage a permis au féminisme québécois d’identifier les rapports de pouvoir entre les femmes de la majorité et les autres femmes.
Dans un troisième temps, elle analyse des représentations qui se sont produites dans le cadre du féministe québécois et qui a évoqué l’identité. En conclusion, elle montre différentes actions récentes et pose une question ouverte sur un futur changement sur une conscience élargie des différents enjeux des femmes. Elle mes l’enflasse sur les futurs enjeux que le féministe va avoir par exemple la question de transnationalité au sein du Québec.
CRITIQUE
Je trouve que Chantal Maillé a bien su représenter sa thèse en montrant la théorie poste coloniale dans le féministe québécois. Elle a utilisé des étapes claires pour arriver a une conclusion qui tire ver l’avenir. Cependant, elle est encore septique a ce que le mouvement des femmes change. Elle critique le fait que même si on crée une marche mondiale il ne suffit pas juste de rajouter le mot mondial pour qu’elle soit considérée ainsi. Elle mes beaucoup d’emphase sur le fait que le changement est juste un camouflage pour oppresser plus les femmes minoritaires. Je trouve que dans sa conclusion il y avait beaucoup d’éléments qu’on peut retrouver encore aujourd’hui au Québec sur le point que ceux qui dirige ce son encore les femmes québécoises blanches de souche. Cette réalité est surtout vraie dans les régions du Québec ou nous pouvons encore constater cette distinction flagrante. En générale, Chantal Maillé a su bien défendre sa thèse et exprime bien ces éléments. Elle nous permet de faire des liens avec les réalités que nous vivons présentement dans notre société ce qui implique que cette théorie peut s’appliquer encore de nos jours.
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