Covid-19
Dissertation : Covid-19. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar kylian64990 • 25 Novembre 2020 • Dissertation • 808 Mots (4 Pages) • 456 Vues
Covid-19
Le Coronavirus, autrement appelé Covid-19, est un virus apparu en novembre 2019 en Chine. Il peut être mortel pour les personnes les plus faibles et/ou âgées et s’apparente en premier à une grippe. C’est un virus dangereux pour l’homme sanitairement, mais aussi économiquement parlant. C’est pour cela que nous allons voir en détails la crise sanitaire actuelle, ce qu’elle engendre au niveau économique et social et les mesures économiques prises par le gouvernement.
On peut l’appeler crise sanitaire aujourd’hui, car c’est un virus qui a touché le monde entier. En novembre 2019, lorsque les premiers cas sont arrivés en Chine, il n’y a eu aucune mesure de prise, étant donné que personne ne savait ce que ce virus provoquait. D’après le site internet Le Point, le premier cas en France fut fin décembre. Mais ce n’est pas avant fin janvier, que les premiers cas soudains se manifestèrent. Comme dit précédemment, le virus s’apparente à une grippe. En effet, les premiers symptômes sont une toux et de la fièvre. Il faut alors se faire soigner le plus rapidement possible afin d’éviter que la fièvre s’amplifie et que la toux devienne impossible à arrêter. Les personnes âgées sont les personnes les plus susceptibles d’être atteintes et d’en mourir. Mais les plus jeunes également peuvent être infectés et même en mourir, s’il s’avère qu’ils étaient plus faibles. Les cas en France se sont développés rapidement, et nous avons atteint le pic de mortalité aux alentours d’avril, et le nombre de mort s’élevait à environ 700 en 24h. Aujourd’hui, 25 815 personnes sont décédées en France d’après le site internet Santé.JournaldesFemmes.fr et le chiffre ne cesse de croître.
Pour continuer un tiers des PME de plus de 50 salariés ont reporté leurs charges, ce qui représente 4,3 milliards d'euros. 622.000 TPE et professionnels indépendants ont demandé à bénéficier du fonds de solidarité (1.500 euros par mois s'ils ont perdu plus de 50% de leurs chiffres d'affaires par rapport à l'année dernière), ce qui représente ici une ardoise d'1 milliard d'euros chaque mois. À l'échelle mondiale, les faillites risquent d'augmenter de 25% d’ici les prochains mois. Il faut bien se rendre compte que depuis quelques semaines la plupart des économies du monde sont en état de léthargie. Il ne se passe rien. On va avoir des taux de chômage qui vont arriver à des niveaux invraisemblables et jamais vus. Les
Etats-Unis, ils vont avoisiner les 30%. Alors que les qu’ils étaient le pays où il y avait le moins de chômage parmi les pays développés... C'est pourquoi les États doivent dépenser sans compter. Alors que jusqu'à présent les États - et surtout l'Europe - étaient très attentifs à leurs dépenses. Au niveau social, la population se méfie les uns des autres. On peut remarquer que les gens se sont fabriqués des masques et qu’ils choisissent de maintenir un espace, souvent d’un mètre pour éviter la contagion du virus. Personne ne sort sauf pour faire ses courses, donc les relations sociales diminuent. Mais au point de vu économique, les commandes via internet ont augmenté, ce qui doit faire plaisir aux entreprises internationales.
Enfin, pour essayer de contrôler la crise sanitaire, le gouvernement français a tout d’abord décidé de nous confiner à partir du mardi 17 mars 2020. Cela a engendré la fermeture de toutes les structures non essentielles à la survie de l’être humain. La plupart des travailleurs se sont retrouvés en chômage technique et d’autres travaillent chez eux, en télé-travail. Les plus jeunes continuent leurs cours à la maison, en appel vidéo, ou sous forme de devoirs. En cas de sortie nécessaire, l’état français a mit à notre disposition des attestations que nous remplissons et signons avant de sortir. Si la raison n’est pas valable ou que la personne sort sans attestation, elle se verra punie d’une amende, d’un montant de 135€. Ces dispositions permettent de dissuader de sortir afin d’éviter les contacts et la propagation du virus. A partir du 11 mai 2020, il a été décidé que les structures réouvriraient petit à petit tout en essayant de maintenir un mètre de distance, afin de relancer l’économie. En effet, certains métiers reprendraient, pendant que d’autres resteraient en télé-travail afin de limiter tout de même les contacts. Pour les plus jeunes, l’école reprendrait, alors que les étudiants continueraient de travailler depuis chez eux.
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