Secret bancaire, Union du fleuve Mano

Union du fleuve Mano

Historique

En tant qu'organisation régionale d'intégration, MRU a été créé le 3 Octobre 1973 par la Déclaration de Malema, signé par le président William Tolbert junior de la République du Libéria et le président Dr Siaka Stevens de la République de Sierra Leone et agrandi par l'adhésion de la République de la Guinée et de la République de Côte d'Ivoire, respectivement le 25 Octobre 1980 et le 15 mai 2008.

Un bref rappel historique à propos de MRU a été écrit comme une introduction de la radiodiffusion à l'Union du fleuve Mano.

Il est très important que les gens comprennent que le nom n'a pas été tiré Mano hors d'un sac, mais plutôt choisi parce que la rivière est la frontière naturelle et formelle entre les Etats membres: le Libéria et la Sierra Leone. Plus important encore, il est dans la zone située aujourd'hui entre le Libéria et la Sierra Leone, qui était autrefois un Etat ou d'un royaume connu comme KailahunLuwa ...

Le but

Le but était de promouvoir la coopération économique. Elle tire son nom du fleuve Mano qui prend sa source sur les pentes des Monts Nimba et sert ensuite de frontière entre le Liberia et la Sierra Leone.

À cause des guerres qui ont secoué ces pays, l'Union n'eut qu'une existence théorique (voir guerre civile de Sierra Leone etguerre civile du Libéria). Mais l'union fut relancée le 20 mai 2004 avec un sommet des trois chefs d'État, les présidentsLansana Conté, de Guinée, Ahmad TejanKabbah du Sierra Leone et Gyude Bryant du Liberia

Présentation de l’Union

L'Union du fleuve Mano est une institution intergouvernementale comprenant de la Sierra Leone, le Libéria, la Guinée et la Côte d'Ivoire.

L'organisation vise à renforcer la capacité des États membres à intégrer leurs économies et de coordonner les programmes de développement dans les domaines de la consolidation de la paix, comme une condition préalable à tout développement, la promotion du commerce, le développement de l'industrie, de l'énergie, l'agriculture, les ressources naturelles, les transports et les télécommunications, affaires monétaires et financières en bref, tous les aspects de la vie économique et sociale des États membres.

En mai 2008, les chefs d'État et de gouvernement de l'Union ont pris la décision de relancer l'Union. Le Secrétariat de l’Union a donc été mandaté par le Sommet de mai à poursuivre la relance, la croissance, le développement socio-économique et l'intégration de la sous-région dans le cadre des quatre piliers à savoir, la revitalisation, restructuration institutionnelles en mettant l'accent sur le Secrétariat de l'Union et le secteur public des Étatsmembres; paix et la sécurité; le développement économique et l'intégration régionale; et le développement social. Un plan stratégique a été élaboré pour faire face à toutes les questions liées développement.

Mission de l’union

La mission du l’Union Mano River est de veiller à la mise en place d'une sous-région intégrée, pacifique et prospère et d'être un porte-flambeau de véritable intégration en Afrique de l'Ouest.

En vue d’atteindre ses objectifs, l’union instaure le dialogue à tous les niveaux entre ses États membres dans le but de réaliser une plus grande unité et la solidarité, et la promotion de la bonne volonté, de coopération et de coexistence pacifique entre ses peuples voisins, la promotion de la paix, de la sécurité, des principes démocratiques et la participation populaire des citoyens dans la poursuite de la bonne gouvernance.

STRATEGIE POUR LA PAIX ET SÉCURITÉ AU SEIN DE L’UNION MANO RIVER

La paix et la stabilité de la sous-région ont apprécié après l'indépendance n'a duré que jusqu'à la fin des années 1970 et début des années 1980. Instabilité fut ensuite principalement en raison de la nature et le caractère des systèmes de gouvernance et des régimes dans les États membres. Cela était évident par les pouvoirs excessifs exercés par les dirigeants qui supprimaient toute opposition qui a contesté une telle autorité. En conséquence, tandis que quelques-uns ont été plus en plus riches, la majorité vivaient dans la pauvreté et de la privation. La marginalisation, le refus de la majorité de la participation dans les affaires nationales, le manque d'opportunités pour l'actualisation de soi et le mauvais état du développement national a abouti à la pauvreté à grande échelle et d'insatisfaction. La mauvaise qualité de la gouvernance de vices négatifs associés qui privait la majorité des normes de vie acceptables dans la sous-région a conduit à des coups et contre coups et les conflits civils tard dévastateurs sous le couvert de révolutions patriotiques pour changer le statu quo dans l'intérêt de la majorité. Cependant, les conflits, au lieu de résoudre les problèmes, ont brisé les systèmes de gouvernance et les structures d'autres, ainsi que les systèmes économiques, sociaux et d'infrastructure. En outre, les conflits ont créé l'insécurité et la peur, ce qui rend la sous-région dangereuse pour l'investissement et la conduite normale des activités économiques et sociales. Privation a encore affaibli les jeunes conduisant à un chômage massif et le chômage déguisé. Cette situation constitue une menace pour la paix fragile, la sécurité et la stabilité, le redressement, la reconstruction et le développement national et sous régional.

La propagation des conflits civils dans les Etats membres de la sous-région démontre leur interdépendance dans toutes les sphères de la vie. Il est évident que l'insécurité dans un pays constitue une menace pour les Etats voisins en prenant en considération le fait que les frontières sont vastes, impraticables dans de nombreux domaines, poreux et avec une mauvaise infrastructure. En outre, les postes frontières manquent de formation de main-d'œuvre et de l'équipement nécessaire pour surveiller efficacement et de contrôler les mouvements des personnes et des biens ainsi que la prestation de services. En conséquence, la sécurité est non seulement encore menacée, mais les armes et le trafic de drogue, trafic d'êtres humains et le terrorisme pose de sérieux défis à la paix et la sécurité soutenue dans la sous-région. Recherche

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