Analyse financière
Cours : Analyse financière. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar Mathilde Ggs • 13 Juillet 2021 • Cours • 3 190 Mots (13 Pages) • 415 Vues
Chap 1 : Décision de financement et d’investissement
- Les objectifs de l’analyse financière
Bilan comptable : Permet de faire de la comptabilité analytique (Calcul de cout//
Bilan financier / Bilan fonctionnel
Budget : Élaboration des budgets / analyse des écarts
Finance entreprise :
Finance de marché :
Finance internationale :
Investissement dans un univers certains :
Investissement dans un univers incertains : notion de risque plus important.
- Fixer les taux d’intérêt
- Sujet solvabilité
- Évaluer les investissements
- Aider à prendre des décisions sur investissement
Le premier est lié au financement et le deuxième concerne l’investissement.
Ainsi on peut donner deux visions de lecture pour un bilan comptable :
- Une financière
- Fonctionnelle
Lecture du bilan
Le bilan d’une entreprise reflète le patrimoine et les engagements financiers d’une entreprise.
L’actif immobilisé est composé des immo corporelles / incorporelles et financières.
- Les immo corporelles sont mat par les biens palpables et / ou réelles de la soc. Ces biens ont une destination durable au sein de l’entreprise, d’où la nécessité de leur renouvellement.
- Les immo incorporelles subissent un amortissement qui varie en fonction des articles. Cet amortissement constitue en réalité une richesse pour l’entreprise car il peut être réinvestie dans d’autres projets. L’amortissement a un impact sur l’excèdent brut (cash flow) d’exploitation. Cet indicateur est souvent très regardé par la communauté bancaire et le monde industriel.
- Les immo incorporelles ne sont pas palpables, il s’agit d’un actif immatériel. Dans ce compte la rubrique RIB est là plus importante. Pour un banquier cet actif n’a aucune valeur ajouté pour une entreprise et il doit être supprimé ( le montant) dans le cadre d’une analysé financière
- Les immobilisations financières sont caractérisées par des titres participatifs d’une entreprise dans le capital d’une autre entreprise. Cette participation lui donne un droit de regard sur la comptabilité et notamment les résultats. Ainsi en cas de bénéfice relatif à ses valeurs mobilières, une partie sera attribué à l’entreprise.
Le passif est composé du capital social (notamment) ainsi une entreprise peut lever les fonds sur les marchés financiers à travers : une introduction en bourse ou une augmentation du capital. Les deux méthodes permettent de consolider le capital mais elles ont un impact sur la valeur de l’entreprise.
L’introduction en bourse permet à l’entreprise de diversifier son actionnariat et de lever les fonds nécessaires pour les investissements et la création de valeur.
Cette introduction a un impact positif auprès des futures actionnaires mais elle obéis à certaines règles et une règlementation stricte par exemple la transparence (sur les comptes) et la bonne communication financière sur les résultats.
Malheureusement certains dirigeants, ne souhaitent pas cette introduction en bourse car ils jugent qu’elle est lourde et qu’une alternative de financement est possible auprès d’une banque. Le cout d’un financement boursier est casi nul et plus avantageux en termes de notoriété.
Par exemple en France, les PME pourraient se financer sur le marché alternatif, donc il s’agit d’un accès direct à la liquidité.
L’augmentation de capital permet à l’entreprise d’avoir une liquidité « suffisante » pour le financement de son développement.
Son augmentation de capital implique une CHUTE mécanique du court boursier avant l’augmentation. Comme le montre la formule suivante :
N : le nombre d’action existantes
n : le nombre des nouvelles actions emises
Vb- : valeur boursiere de l’action avant augmentation
Vb+ : valeur boursiere après augmentation
Ve : valeur d’émission
Vb+ = [pic 1]
N : 10000
n : 1000
Vb- : 25 €
Ve : 22€
Total :vb+= 24,72€
Au niveau du passif et sur le plan comptable on a la dette à moyens long terme. Cette dette pourrait être obtenue auprès d’une banque ou sur le marché.
Auprès d’une banque donc il s’agit d’un crédit à anuité constante ou à remboursement constant.
En revanche, sur les marchés financiers on parle d’un emprunt obligataire matérialisé par L’emission des obligations.
Pendant cette crise, la dette des entreprises n’a pas augmenté, car le gouvernement a subventionné leurs activités à travers un emprunt obligataire, corona bonds sur les marchés.
Rechercher l’exemple de l’emprunt obligataire :
Le schéma présenté montre une forme d’emprunt obligataire.
Le point le plus important dans ce raisonnement réside dans le taux d’intérêt.
Celui-ci est faible, si l’entreprise ou l’état est bien noté.
Cette notation est attribuée par les agences de notation ou par la banque de France.
Les emprunts bancaires
On distingue 2 types d’emprunt bancaires :
- Les emprunts à court termes
- Les emprunts à moyen-long termes
Réellement nous pourront classer les emprunts à long terme en 2 catégories :
- Les emprunts Indivis à remboursement constants
- Les emprunts Indivis à annuités constantes.
- Calcul des intérêts :
C = Capital
J = 0 (aujourd’hui)
Durée = nj
I = Intérêt
VF =. Valeur future (ou acquis)
T = taux
VF = C+I
Exemple :
C= 1000 €
T : 4%
06/01/N jusqu’au 14/05
Durée journalière
I = 1000 x (4/100) x (nj/360)
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