Cas bien public mondiaux
Étude de cas : Cas bien public mondiaux. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar crevette61 • 24 Mars 2020 • Étude de cas • 751 Mots (4 Pages) • 523 Vues
Olgun Korkmaz CG2 BTS BLANC
Lundi 23 mars 2020 Économie
Il y a toujours eu une instabilité dans le monde lié au marché financier ce qui laisse un déséquilibre permanent. Pour essayer d’avoir une stabilité meilleure, la stabilité financière peut être considérée comme un bien public.
Une gouvernance mondiale pourrait être mis en place pour assurer une pérennité du marché financier ?
Nous allons tout d’abord voir dans un premier temps, comment la stabilité financière et la promotion du commerce international peut-il être des biens publics mondiaux. Dans cette seconde partie nous allons voir pourquoi une gouvernance mondiale est elle nécessaire. Et dans cette troisième partie, avant de conclure nous allons voir les difficultés et les modalités de cette gouvernance.
I – La stabilité financière et la promotion du commerce international : des biens publics mondiaux
L’assurance d’avoir un marché stable, permettra à tous les pays du monde de pouvoir bénéficier d’un meilleur profit et d’une prise de risque minime. Nous pouvons constater, que pour le Cycle de Doha (2016) il y a 162 pays participant aux négociations commerciales, comparé au Cycle de Dillon (1961) ou il n’y avait seulement 22 pays. L’augmentation des pays dans les parts de négociation multilatérales prouverait qu’au fur du temps les pays espèrent une tranquillité sur le marché mondial pour eux même et pour leur génération future qui profiteraient à tous. L’avantage comparatif de Ricardo est vraisemblablement mis en place ici, car nous pouvons voir que certes des pays de différente équité peuvent tout de même commercer, même si ces pays n’ont pas d’avantages réel.
L’instabilité du marché mondiale a pour problème un effet sismique. Dès lors qu’un pays génère une différence sur ce marché, tous les pays sont impactés directement ou indirectement. Il y a donc obligation de trouver une solution pour éviter ce risque.
II – La nécessité d’une gouvernance mondiale
Comme le dis les économistes Joseph Stiglitz et Andrew Charlton, ouvrir les frontières ne suffiront pas pour aider les échanges internationaux. Le Mécanisme de règlement des différends, qui est un instrument de L’OMC (Organisation mondiale du commerce) qui permet aux entreprises d’attaquer un État devant un tribunal international. Ce mécanisme est une « clause » dans les contrats entre investisseurs et États. Les BPM (biens public mondial) consiste à essayer d’aider les pays en difficulté. Par exemple l’un de ces bien public mondial est de s’étendre à l ‘échelle internationale ce qui permettra à tous les pays d’y avoir accès.
Il avait été demandé pour le bien de cette gouvernance mondiale par le G20 de résister « à toute forme de protectionnisme » et de ne pas faire de « dévaluation compétitive ». Cette demande avait été faite par les grands argentiers du G20
III – Les difficultés et les modalités de cette gouvernance
L’OMC a le règlement des différends qui permet d’être jugé à l’externe des membres de l’OMC pour être jugés d’un œil neutre. De plus en plus cette pratique diminue, car les pays choisissent de faire des traités bilatéraux et régionaux qui leur évite de prendre une sanction par le tribunal international. Le commerce international fait des tensions, car le commerce international est devenu plus un enjeu politique qu’une aide aux pays en développement et aux pays pauvres.
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