Retour d'expérience Valloire

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Sommaire

I)        Préparatifs        2

a.        Organisation collective        2

b.        Points forts        4

c.        Difficultés        4

d.        Ce que j’en retiens        5

II)        Voyage        5

a.        Organisation        5

b.        Points forts        5

c.        Difficultés        6

d.        Ce que j’en retiens        6

III)        Pendant le séjour        6

a.        Fonctionnement        6

b.        Points forts        8

c.        Points faibles        8

IV)        Retour        8

a.        Organisation collective        8

b.        Ce que j’en retiens        9

V)        Ce que j’en retiens        9

VI)        Evaluation        11

1. Préparatifs

1. Organisation collective

Afin de trouver notre diapason organisationnel, nous avons mis au point plusieurs réunions pour nous mettre d’accord sur la manière de procéder. Les principes démocratiques ont été appliqués avec la place pour chacun de donner son avis. Un statut de coordonateur tournant sur 2 jours a été voté. Celui-ci a pour rôle de passer des commandes de travail au reste du groupe et de mener des réunions d’organisation et d’avancée des travaux. Cependant le système de coordonateur, bien qu’important dans notre futur travail a été à mon goût mal géré par la totalité de l’équipe. Nous en sommes au stade d’apprentissage mais le fait de mettre un coordonateur, avec une posture maladroite dans sa façon d’intervenir et de parler a généré des tensions vis-à-vis du groupe qui ont pullulé avec le temps. Ces tensions génèrent forcément des inefficiences au travail.

Des outils bien que peu nombreux ont été mis en place. Les outils doivent servir à se donner des repères spatiaux, temporels,  ainsi qu’à communiquer. Ce dernier point a clairement été le tendon d’Achille du groupe. Aucun véritable outil de communication entre coordonateur n’a été mis en place afin que tout le monde puisse avoir accès aux informations lorsqu’elles n’ont pas été relayées. Une tentative de communication avec le classeur a été entreprit. Bien que l’effort doit être souligné, il n’était à mon goût pas suffisant car comme on a pu le voir, un classeur est vite désordonné. Le système feuille volante qu’on peut bouger devient vite critique s’il n’y a aucun suivi avec des coordonateurs peu méticuleux … Un système de cahier avec feuilles détachables lorsque ces dernières étaient brouillons pour être recopiées proprement dans le cahier m’aurait paru plus intéressant.

La boite mail fut un outil performant. Bien que pas utilisée à ses tout début, elle a permis le partage de documents en commun, de s’envoyer des mail visibles de tous ainsi que de voir les avancées des réponses du voyage avec Julien Leroy. Le partage de document fut encore une fois laborieux étant donné que tout le monde s’en servait comme poubelle en ne respectant pas le tri avec les dossiers installés dessus. Par exemple le dossier « planning » était vide et ces derniers ont été mis dans « projet péda »…  

En parlant des dossiers, une des grosses difficultés fut les versions de document entre Mac et Windows. En effet, l’un des PC ne peut pas ouvrir et lire les documents de l’autre. Afin de pouvoir les lire il faut les envoyer sous forme PDF ce qui fait qu’ils ne sont plus modifiables… Cela peut donc poser des soucis du fait de la modification des outils perpétuellement en fonction de notre travail et d’informations reçues.

Le problème précédent s’amplifie avec le phénomène de coordonateur tournant. En effet, une personne va commencer un projet qui lui a été confié puis prend son rôle de coordonateur. Entre temps quelqu’un aura poursuivi son projet. Cependant s’ils n’ont pas le même ordinateur, le suivant ne pourra pas poursuivre sur le même document… Cela pose un réel souci. Et même sans parler de PC différents, reprendre le travail d’un autre où il n’y a aucune information de vers où il veut tendre est déroutant. En effet, il se peut premièrement qu’on ne comprenne pas ou qu’on n’aime pas son idée mais il faut quand même avancer avec ça. Secondement, si on ne sait pas vers où son idée temps, il peut être compliqué de produire un projet cohérent. Ici encore, le problème de communication refait surface et est encore prédominant. Aucun outil n’était présent pour le suivant sur des idées, sur une trame …

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