Analyse de situation Première année d’infirmière
Dissertation : Analyse de situation Première année d’infirmière. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar Loïse Morel • 1 Mars 2022 • Dissertation • 1 088 Mots (5 Pages) • 564 Vues
Morel Loïse Promotion2020-2023
Analyse de situation de stage
Première année d’infirmière, semestre 2
Mon stage se déroule dans une MAS (maison d’accueil spécialisé) au Breuil où résident des personnes qui ont des handicapes mental ou atteint de polyhandicape. Les personnes y résident à l’année et peuvent retourner dans leur famille quand ceux-ci le demande. Il y a 53 résidents dans cette structure et ces résidents sont répartis en 5 groupes. Les groupes 1, 2 et 3 sont les groupes où il a principalement des résident avec des handicapes mentale, qui peuvent être accompagné de handicapes physique. Sur les groupes 4 et 5 se trouvent les résidents avec des polyhandicapes. Lors des 5 premières semaines de stage j’étais avec les AS sur un groupe en particulier et je n’ai pas changer de groupe pendant les 5 semaines.
La deuxième situation que j’ai choisi ne concerne pas un résident en particulier mais une situation ou je me suis retrouvée accusée d’avoir donné le traitement d’un résident à un autre résident.
Le mardi 23 février, je prend mon poste de matin à 7h30. Après m’être changé je monte au deuxième étage pour faire les transmissions de la nuit. Après avoir fait les transmissions, nous allons dans la petite cuisine du deuxième étage pour commencer à préparer les petits déjeuner. Le matin certains résident mange dans la petite cuisine mais la plus part mange dans leur chambre. Lorsqu’il mange dans leur chambre, nous préparons le petit déjeuner dans la petite cuisine et nous prenons le blister de traitement qui correspond au résident. Au début du stage nous n’avions pas le droit de donner les médicaments seul, puis on nous donner les traitements du résident que l’on demandait puis on a commencer à se servir seul dans le placard des traitements. Et donc ce matin là, je prépare le petit déjeuner d’une résidente et je prend son traitement. Je vais ensuite dans sa chambre pour lui apporter et lui faire manger sont petit déjeuner car elle ne peut pas manger seule. En revenant 10 plus tard dans la petit on me demande si j’ai emmené le petit déjeuner à monsieur X. Je leur dit que non et demande pourquoi. Les AS mes disent que c’est parce que sont traitement n’est plus là ( ce sont 10 gouttes de Loxapac que monsieur X a qui sont mise dans un petit pot). Elles me demandent donc si j’ai donné des gouttes à un résident et je leur dit que non car le seul autre résident qui à des gouttes au deuxième étage n’est pas là. Elles me demandent donc de demander à l’autre stagiaire infirmière qui était là si elle a donné des gouttes à quelqu’un. Je vais lui demander et elle me répond que non. Je le dit donc au AS et pour être sûr que les gouttes aient été mise elles appellent l’infirmière. En arrivant l’infirmière nous dit qu’elle est sûr que les gouttes ont été mises dans le pot et que c’est forcément que les gouttes ont été donné à un autre résident et nous demande à nouveau si on a donné des gouttes à quelqu’un . On leur dit que non mais elle ne nous croit pas. A ce moment là je me suis sentis accusée d’une chose que je n’avais pas faite même après avoir donné des explications sur le fait que cela ne pouvait pas être nous, elles ont continué à nous accuser. On a donc décider de mettre un peu d’eau dans le pot car le loxapac devient blanc au contact de l’eau pour pouvoir vérifier que les gouttes avaient bien été mises. Une fois l’eau mise, elle est restée transparente on pouvait donc en déduire qu’il n’y avait pas de loxapac dans le pot. Mais l’infirmière a continué à dire qu’elle était sûr d’avoir mis les gouttes et que c’était que quelqu’un qui les avait donné à un autre résident. Les AS on dit qu’elles n’avaient pas touché aux gouttes il ne restaient donc plus que nous les stagiaires. On s’est donc fait accusé alors que nous n’avions rien fait et qu’on leur avait montrer que ça ne pouvait pas être nous. Je me suis senti accusé injustement et surtout je trouvais cela trop facile de tout remettre sur la faute des stagiaires comme si dés qu’il se passait quelque chose c’était de notre fautes. [pic 1]
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