Méthodologie soutenance

20 minutes

Ne pas oublier de dire bonjour

Avoir un support (power point)

1. 1ère partie de la soutenance : la présentation

• Qui on est ?
• Pourquoi ce sujet ?
• Qu’est-ce qui nous a intéressé (projet pro, intérêt professionnel ?)
• Quel est l’enjeu du sujet ? Les définitions importantes, la problématique (Prendre les notions importantes de l’introduction)
• Présenter le plan (éviter de présenter les sous parties), présenter les parties les plus importantes
• Trouver la présentation la plus pertinente des développement. On ne peut pas tout dire, il va falloir sélectionner. Il faut faire une synthèse sous partie par sous partie, une synthèse des réflexion, de manière continue, pour que celui qui nous écoute comprenne notre cheminement.
• Il vaut mieux suivre le plan que l’on a suivi dans le mémoire.
• Pour la conclusion, ne pas baisser la voix, et prendre dans la conclusion ce qui va intéresser. C’st-à-dire les constats les plus intéressants, la position personnelle sur le sujet, et enfin les solutions qu’on a pu dégager, les propositions.
• Conclure sur ce que nous a apporté le mémoire, sur ce à quoi il va nous servir dans notre vie professionnelle…

Pour les notes : ne pas écrire recto verso, ne pas faire des fiches de rédaction complète, juste des bouts de phrase, des mots clés pour se rassurer, mais pas des phrases pour ne pas lire. Il vaut mieux écrire gros pour lire plus facilement.

Il vaut mieux avoir des fiches bristol (plus ferme, plus professionnel…)

1. 2ème partie de la soutenance : les questions.

On peut les orienter, par exemple en disant « j’ai également traité les questions … mais je n’ai pas le temps de les développer », le correcteur peut ainsi avoir la piste sur les questions à poser.

Laisser des choses ouvertes. On peut aussi dire « En étudiant ce sujet, j’ai également traité …. Et c’est ce qui m’a vraiment intéressé … ».

Les critiques : la plus souvent entendue = les fautes d’orthographes sur le power point. On peut aussi avoir des critiques sur l’écrit. Il ne faut pas s’énerver si on nous en fait. Si on nous critique sur notre sujet, sur des aspects que l’on pourrait avoir ignorer, etc… ? Dans ce cas, on explique que l’on a dû faire des choix pour traiter le sujet, mais que c’est très intéressant et que l’on serait ravi d’en discuter dans la discussion qui va suivre.

Pendant les critiques, ne pas se braquer, ne pas croiser les bras … Le jury ne risque rien, mais nous si. Ecouter les critiques et les comprendre. Donner raison au jury, par exemple sur les fautes d’orthographes (« Je suis désolée, je n’avais pas vu … »). Si on a des critiques sur le fond (information fausse etc…). Dans ce cas, il faut essayer de se justifier, sans trop le faire. Il faut essayer d’expliquer rapidement le cheminement intellectuel qui nous a amené à cette erreur. Puis, on peut dire « Mais maintenant que vous le dite c’est vrai que… »).

...