Projet professionnel

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Professeur référent : Mme Bardou

SOMMAIRE

• Introduction

• Développement

• Conclusion

Introduction

  Chaque année les élèves de Seconde de tous les lycées de France choisissent leur filière dans laquelle ils vont évoluer pendant deux ans, qu’elle soit Littéraire, Economique et Social, ou bien Scientifique. Pour ma part j’ai choisi de me diriger vers une classe de Première Scientifique, car j’ai toujours apprécié la biologie et la physiologie. De plus, la filière Scientifique est semble-t-il, presque la seule qui permette d’accéder aux métiers de la Santé. Deux années plus tard, un nouveau choix est à faire ; Parcoursup. Après une année compliquée au début de la pandémie mais aussi quelques portes ouvertes et discussions avec des ainés, j’ai pu me fabriquer un projet d’avenir.

Le métier de Kinésithérapeute est un métier qui requiert la connaissance des sciences (anatomie entre autres) mais qui nécessite aussi d’aimer le contact avec les personnes. Ce sont ces deux aspects-là qui me plaisent et m’ont donné envie de découvrir ce métier. Pour accéder aux études de Kiné en France il faut avant tout passer une première année universitaire en STAPS ou en SPS pour aboutir au concours Kiné à la fin de l’année qui permet selon le classement d’être accepté dans un IFMK (institut de formation en Masso-Kinésithérapie), puis de suivre une formation pendant quatre années.

Mon projet étant de devenir Kiné je décide de mettre sur Parcoursup les vœux de la licence STAPS et de la licence SPS à Caen qui me permettront possiblement d’atteindre l’IFMK d’Alençon ; admissible dans les deux licences, je choisis de garder le vœu de la licence SPS qui pour moi semblait être le meilleur choix.

Développement

Ensuite, avec un bon début de semestre et des cours en présentiel, l’objectif reste le même. Cependant, avec la recrudescence de la pandémie, et donc, l’arrêt des cours en amphithéâtre, certaines questions viennent hanter mon esprit ; « je ne suis plus si sur de mon projet au final ; est ce que kinésithérapeute est un projet professionnel auquel j’aspire vraiment ? ». Je décide donc de réaliser plusieurs stages chez différents praticiens en Novembre et Janvier. Malheureusement, après ces diverses expériences et observations je me suis rendu compte que cette vie professionnelle n’était pas celle à laquelle j’aspirais. Mais, ces stages ont aussi permis de faire murir mon projet professionnel. Par ailleurs ce qui m’a fait changer d’avis sur le métier de kinésithérapeute c’est en partie la monotonie du travail. Je recherche un métier dans lequel la monotonie n’existe pas ou très peu, dans lequel chaque jour est différent de la veille. Il me fallait donc trouver une formation qui allie le domaine de la santé et zéro pourcent de monotonie. Après beaucoup de recherches et d’informations, j’ai finalement réussi à trouver « La formation » : Infirmier Militaire.

Tout d’abord, depuis mon plus jeune âge j’ai beaucoup été influencé par le domaine militaire ; vivant en Normandie (plages du débarquement), et un père passionné d’aviation militaire. De plus, comme je l’ai déjà dit plus haut le domaine de la santé est une vocation, pour sa qualité altruiste. Il y a quelques années, en première scientifique je me suis renseigné sur la formation de médecin militaire ainsi que sur l’ESA (Ecoles de Santé des Armées) et ses autres formations. Pour ce faire, je me suis rendu dans un CIRFA (centre d’informations et de recrutement  des forces armées) à St Lô pour discuter et en apprendre plus sur la formation de médecin militaire. Cette entrevue m’a permis de comprendre que je n’étais pas encore prêt moralement, mais elle aura été néanmoins très utile, et c’est après cette discussion que l’idée de kiné est apparue.

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