Méthodologie du dossier pour le projet professionnel
Note de Recherches : Méthodologie du dossier pour le projet professionnel. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar dissertation • 11 Décembre 2012 • 2 139 Mots (9 Pages) • 3 916 Vues
A travers ce dossier, je vais tenter de construire un projet professionnel. N'ayant que de vagues idées quand à mon avenir après la Faculté, autant dire que je pars tout simplement de zéro.
Avant toute chose, si je me suis orienté en art du spectacle c'est que le cinéma est à mes yeux, de toutes mes passions, celle qui me semblait le plus accessible dans le cadre de la construction d'un projet professionnel. En effet mes autres centres d'intérêts me paraissaient lointains et ne m’attiraient pas davantage que cela dans le cadre d'un métier. Toutefois, au fil du dossier, nous découvrirons que cela n'était peut être pas tout à fait vrai, ma passion pour l'écriture venant s’y immiscer … Ainsi, nous verrons, tout au long de ces pages, ces deux thèmes s’entrecroiser.
Table des matières
2 – ….......................................................... Compte-rendu des conférences professionnelles
4 – …................................................................................ Entretien avec un professionnel
7 – …............................................................................................................. Conclusion
Commençons dès à présent, par nous pencher sur les trois conférences professionnelles auxquelles j'ai assisté.
Premièrement je me suis intéressé à « Journaliste en 2012 ». Une conférence dirigée par Aline Mortamet, journaliste et coordinatrice éditoriale de Littoral chez France 3. Si j'ai choisis cette conférence, c'est que ce métier m'a toujours fasciné. Je possédais effectivement une immense curiosité quand aux réalités du journalisme et à ses débouchés.
Autant dire que je ne fus pas en reste. Mme Mortamet nous a expliqué, avec passion, toutes les facettes de cette vaste profession. Dans un premier temps, elle nous exposa son parcours. Ce ne fut qu'après des études de science politique et un bref passage à la Mairie de Paris qu'elle décida de passer un concours pour entrer dans un centre de formation de Journalistes. Métier dont elle avait déjà une idée précise grâce à plusieurs stages auxquels elle avait participé. Par la suite, sa carrière débuta chez France Inter. Après un bref passage chez TV10 Angers, elle entra finalement chez France 3 Ouest. Là, elle réalisera de nombreux reportages d'abord pour En Flânant puis pour 12/14 Ouest, une émission d'investigation. Elle est désormais rédactrice en chef de Littoral, une émission sur la mer. Elle est donc chargé de choisir les sujets pour son programme et d'en suivre leur fabrication étape par étape.
Elle nous a ensuite raconté les réalités actuelles du métier de journaliste. Ainsi, elle évoqua l'explosion des supports numériques et la lente disgrâce des supports traditionnels, télévision et journaux papiers. Elle déplora aussi l'émergence de la presse de métro et de l'information bas de gamme comme chez Google. Néanmoins, elle insista que tout ceci ne signifiaient pas pour autant que l'époque du grand journalisme était révolu. Au contraire, le métier n'a jamais offert autant de possibilités et ces supports numériques, selon elle, proposeront de véritables débouchés d'ici quelques années. Aussi, la lente mort de la presse papier est compensée par des ''magazines librairies'', tel XXI, qui rencontrent un certain succès et qui offrent un avenir au journalisme haut de gamme.
Mme Mortamet poursuivit sa conférence en énonçant les qualités indispensables pour pratiquer sa profession. Il faut posséder le goût de la découverte, de l'écriture et de l'innovation. A ses yeux, le journaliste doit sans cesse se renouveler s'il ne veut pas s'ennuyer dans son métier. Elle ne manqua pas non plus d'énumérer les contreparties. Un métier qui prend le pas sur la vie privée et qui sait se montrer imprévisible et plein de surprises. Elle ajouta également que le métier n'était pas sécurisant, un journaliste ne sait jamais de quoi demain sera fait.
Elle conclut ensuite ses propos, en énonçant les meilleures façon à ses yeux de rentrer dans la profession. Selon elle, il est important de se faire des relations tout au long de ses études supérieures. C'est à cet effet qu'elle nous conseilla davantage les écoles de journalisme reconnus par la profession que la faculté. A ses yeux, cette dernière permet plus difficilement la création de contacts. Enfin, elle ajouta également, l'importance de participer à des stages et de faire soit-même des reportages dans son coin.
Dans l'ensemble, cette conférence m'a énormément intéressé, les propos de l'intervenante débordaient de passion et du goût de transmettre. Aline Mortamet m'a également permis de mieux cerner cette profession. Je dois avouer que c'est un projet qui pourrait me convenir. J'ai toujours aimé l'écriture, j'ai toujours fait preuve d'une curiosité maladive et les métiers où l'ont s'implique corps et âme m'ont de tous temps attiré.
Passons maintenant à la seconde conférence à laquelle j'ai assisté. Je veux parler de celle organisée par Jean-François Delsaut, chargé de projet à la cinémathèque de Bretagne. La raison qui m'a poussé à assister à celle-ci, n'est autre que la curiosité. Je ne possédais pas de réelles attentes, je cherchais juste à découvrir un métier dont je ne devinais que vaguement la fonction.
M. Delsaut a commencé par souligner les particularités juridiques des 23 cinémathèques de France. Ainsi 19 d'entre-elles, dont celle de Bretagne, ont un statut associatif tandis que les quatre autres sont des institutions publiques. Chacune d'entre-elles possèdent néanmoins un objectif commun, le recueil et la valorisation d'archives filmiques.
La cinémathèque de Bretagne, fondée en 1986, se donne pour objectif de récolter tous les films en rapport de près ou de loin avec sa région et la Loire-Atlantique. Ainsi, parmi ses 25 550 titres, nous pouvons découvrir des œuvres professionnelles (celles de Jean Epstein ou de René Vautier par exemple), d'entreprises, d'institutions ou encore de vidéastes amateurs.
L'ensemble
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