Les corps honteux et troubles neurologiques
Résumé : Les corps honteux et troubles neurologiques. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar jimmy69150 • 22 Avril 2020 • Résumé • 1 245 Mots (5 Pages) • 627 Vues
YOEUNG
jimmy
numéro étudiant 2152457 jimmy69150@hotmail.com
08/12/2018
VACHET PHILIPPE
Fiche de lecture sur
les corps honteux et troubles neurologiques
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année 2018/2019
Éditeur et auteur de l'article
auteur de l'article s'appelle Pascale peretti . Elle possède un doctorat en psychanalyse et anthropologie de l'université Montpellier en 2008 . Elle est responsable pédagogique de la L3 Psychologie , des stages en L3 et Psychologue clinicienne au C.H.U. d’Angers, service neurologie, et en libéral . Pascale peretti a travailler sur l'article corps honteux et troubles neurologiques avec les membre de l'EA 4050 sur la Recherches en psychopathologie, nouveaux symptômes et lien social . Il a été édité par le bulletin de psychologie . la publication de l'article est dans les année 2018 dans les tome du livre bulletin de psychologie qui relie plusieurs article avec d'autre chercheur .il se situe dans les page 771 a 782 .
L'article du Corps honteux et troubles neurologiques est suivi par l'ouvrage du même auteur Honte et dégoût d’un « corps rendu à lui-même » dans l’expérience subjective de troubles neurologiques .
Résumer de l'article
Ce sujet étude sur la Honte et dégoût du corps qui apparaît comme des affects massivement présents dans la clinique des sujets pris en compte.
il recherche sur les comportement psychiques et narcissiques , qu’engagent de telles affections neurologiques, impliquent un vacillement identitaire , fréquemment associé au sentiment de chuter dans le désir de l’Autre, échappant totalement au contrôle de sa volonté.( comme le livre de SOUAD BEN HAMED dont sont livre sur les mécanismes pervers narcissiques)
Le texte propose d’examiner ce qui fonde l’affect honteux dans cette expérience d’un corps qui « laisse tomber » le sujet ou qui se révèle incontrôlable, comme déshabitué, « rendu à lui-même » ou à sa seule nature pulsionnelle :
Comment comprendre ce qui fait honte aux patients neuro-affectés et, bien souvent, à leurs proches, dans cette expérience d’un corps « rendu à lui-même » ou d’un corps qui, littéralement, « laisse tomber » le sujet ? Qu’est-ce qui choit fondamentalement pour ce dernier et se dévoile ainsi au regard de l’Autre, si l’on tient que la honte suppose d’en passer nécessairement par l’interposition du regard d’autrui ? Quels peuvent être, enfin, les différents modes de « relève » de la honte ?
Introduction
-Dans l'article il désigne les sujets dits handicapés en général sont les plus affecter par la culpabilité, de honte, de dégoût du corps et de soi-même sont majoritairement présent . Les déconstructions psycho-narcissiques engagées par de telles affections neurologiques impliquent, en effet, un vacillement identitaire, très souvent associé au sentiment de baisser dans le désir de l’Autre, tandis qu’un certain nombre de troubles corporels viennent, par ailleurs, cristalliser la honte de ces sujets autour d’un corps qui défaille : corps qui tombe, précisément, dans les syncopes, les troubles de l’équilibre et les chutes précoces ; corps qui s’autonomise, échappant totalement au contrôle de la volonté et se manifestant inopinément par des « mouvements involontaires irrépressibles »
-Quand l'individu cherche a se caractériser sa créer des sentiment connexes , comme l'angoisse ou la culpabilité , la honte apparaît comme une structure affective fondamentalement liée au regard et ces ce qui lui fait horreur à lui-même, dans la mesure où « il ne peut s’y reconnaître » ,le sujet honteux se voit acculé, sommé de faire l’épreuve de l’altérité qui le traverse, d’assumer cette part d’être dont il ne peut se saisir, qui lui échappe et le révèle ainsi à sa propre finitude. Épreuve d’« appropriation désapprobatrice », donc, qui implique d’en passer par le regard de l’Autre pour accéder, au prix de l’angoisse et de la honte.
On peut lire que dans l'article ceux qui possède des troubles neurologiques ressemble au mécanisme du pervers narcissique décrit par racamier par la transformation de leur souffrance en plaisir et leur expulsion qui rejette sa souffrance sur d'autre individu (mouvement incontrôlable) .on retrouve souvent les principaux motifs de la honte : autour de l’impureté d’un corps parasite vécu en excès, corps, à la fois, jouissant et manquant, renvoyant le sujet à sa finitude, corps marqué et séparé par le sexe et par la mort.
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