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Psychologie générale

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Par   •  5 Janvier 2023  •  Cours  •  791 Mots (4 Pages)  •  335 Vues

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PSYCHOLOGIE GENERALE

  1. Après avoir défini l’introspection, vous exposerez son principal inconvénient.

L’introspection est l’étude de ma conscience par moi-même, c’est-à-dire se regarder soi-même de l’intérieur.

Son principal inconvénient est qu’elle ne représente pas une observation correcte car le sujet et l’objet ne sont pas dissociables car c’est une seule et même personne. (moi)

  1. Définissez la conjecture.

La conjecture est une opinion incertaine basée sur des apparences ou des probabilités.

  1. Pourquoi dit-on que le souvenir est à la fois plus pauvre et plus riche que ce qui a été         vécu ?

Le souvenir est plus pauvre que ce qui a été vécu car il peut être déformé et perdre de la précision avec le temps et il peut être plus riche car le sens de ce qui a été vécu dans le passé est modifié avec le temps.

  1. Après avoir défini l’analogie, expliquez, en donnant des exemples concrets, la méthode analogique de la psychologie en deuxième personne.

L’analogie c’est de connaitre l’autre (autrui) par rapport à soi-même.

En fait je traduis des ressentis, des émotions, des gestes, des mimiques chez une personne en les comparant avec mes propres ressentis, émotions, gestes ou mimiques.

Exemples :

-Si mon ami pleure je sais qu’il est triste car pleure je pleure quand je suis triste.

-Si mon ami parle très fort en faisant de grands gestes je sais qu’il est en colère car je me comporte de cette façon quand je le suis.

-Si mon ami se touche le bas du dos en grimaçant je sais qu’il a mal car je fais le même geste quand je souffre.

  1. Quelle est la conception de Scheler sur la vraie pitié ?

La conception de la vraie pitié pour Scheler c’est quand on reconnait chez l’autre, un sentiment qu’on ne ressent pas soi-même, mais que l’on est capable de comprendre.

  1. Partagez-vous ce point de vue ?

     Justifiez votre réponse (environ 10 lignes)

La réponse à apporter à cette question est assez complexe.

- Je suis d’accord avec Scheler sur le principe que si nous ne vivons pas la même souffrance que l’autre, nous pouvons comprendre et avoir de la compassion pour une personne qui vit une chose difficile.

 Je ressens de la pitié pour cette personne mais je ne souffre pas moi-même de son mal.

Or nous ne sommes pas dans son intérieur, on peut ne pas ressentir les émotions de la même manière.

-Il est donc parfois difficile et personnel selon son tempérament de ne pas s’approprier la souffrance de l’autre. Ce qui veut dire que si je raisonne de cette manière, je vis sa souffrance (qui pour lui n’en est peut-être pas une). On doit donc ressentir de la vraie pitié pour moi, car j’en ressens pour lui alors que je ne sais pas intérieurement comment lui le ressent.

Je pense donc que chaque individu à une notion différente ou semblable sur la vraie pitié à celle de Scheler selon sa propre introspection.

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