Les troubles psychotiques
Mémoire : Les troubles psychotiques. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar dissertation • 4 Octobre 2013 • 636 Mots (3 Pages) • 1 145 Vues
Les troubles psychotiques
La folie évoque un débordement de la raison. Les actes de la folie sont jugés par rapport à une norme.
La Névrose se constitue sur des pulsions infantiles (pulsion oral boulimie/anorexie).
Pour les gens concernés par la folie, un certain nombre de psychose se déclenche dans l’Age de jeune adulte, il y a une diffraction de la réalité/ déstructuration de la pensée et des actes qui sont du registre de la pathologie psychiatrique.
Dans la psychose :
Déstructuration de la pensée qui va amener des conséquences majeures sur la vie personnelle
Repli sur soi
Appauvrissement de la vie relationnelle isolement
Hallucinations, délires et les actes
Pathologie du rapport à l’autre et au langage
La pensée et le dire :
Nous ne sommes informés que ce que pense les psychotiques parce qu’ils nous le disent entretien avec le psychiatre qui est un grand outil de la thérapeutique.
La folie se passe au niveau de la pensée qui peut se dédoubler. La pensée va défiler absurdement ou va se mettre à porter des jugements et imaginer et inventer des souvenirs. Lorsque c’est pensée son exprimé c ce que nous allons identifier comme des délires. Au niveau des perceptions il y aura aussi des troubles, les pensées peuvent être visualisés, entendus… ce que l’on appelle des hallucinations (perception sans objet). Accompagné par un sentiment désagréable, il ne va plus se sentir chez lui dans sa pensée (= xénopathie) entraine de l’angoisse.
Les psychoses sont toujours accompagnées de grand remaniement de trois grands registres : signifiant, signifié et chose.
Symptômes :
Trouble de la pensé : délire et hallucination, délire aiguë accompagné d’une hyperthermie peut entrainer un décès
Tout ce qui touche au corps : repli sur soi (repli autistique) avec corps figé (=catatonie) et qui peut produire des actes. Des actes : hétéro-agressifs, passage à l’acte = auto-agressivité : typiquement est la défenestration souvent motivé par une hallucination (voie qui dit de sauter, obéissance à la voix).
Touche aussi la physiologie du corps : catatonie aiguë qui peuvent être gravissime (repli avec organisme qui arrête de fonctionner avec fièvre et peut entrainer le décès de la personne).
L’angoisse qui crée des tensions musculaires qui a pour première conséquence les troubles du sommeil (signe de moment de crise psychotique).
L’humeur qui peut être joyeuse (dans la manie surtout) mais aussi triste (dans la mélancolie) ou atone (vide de l’humeur) peut être en rapport ou non avec les pensées exprimés
La temporalité : l’évolution des troubles est différente selon les troubles et selon le sujet.
Dans la psychose : alterne la crise psychotique et des rémissions (inter-crise)
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