Analyse Du Film Les bébés de Thomas Balmès avec Bayar et Hattie
Recherche de Documents : Analyse Du Film Les bébés de Thomas Balmès avec Bayar et Hattie. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar dissertation • 4 Mars 2014 • 629 Mots (3 Pages) • 3 290 Vues
Tous les parents ont des manières différentes d’élever leurs enfants, selon la culture, les valeurs et la manière dont ils ont été élevés par leurs propres parents. En comparant les pays plus pauvres aux pays industrialisés plusieurs différences fondamentales peuvent être observées, mais at-il aussi des similarités? Après le visionnement du film ‘Bébé(s)’ des comparaisons intéressantes peuvent être faits entre des pays financièrement et culturellement très différents; la Namibie et les États-Unis.
Famille 1
Ponijao, un bébé qui vient de la Namibie, un pays de l’Afrique du Sud vit avec sa mère. Son père ne se présente jamais au cours du film, il est difficile de savoir quels enfants sont reliés à Ponijao parce que les mères sont tous ensemble avec les enfants. La structure familiale est comme une sorte de famille étendue sans la présence d’hommes. Puisque c’est un pays très pauvre, la mère n’accouche pas dans un hôpital, comme protection elle met une sorte de poudre rouge sur son ventre. Le bébé n’a pas de jouets donc il s’amuse avec des roches, les autres jeunes, parfois des chiens sauvages et même un os. Les bébés se promènent nus pour une bonne partie du film jusqu’à ce que les mères leur font des sortes de jupes. La mère s’occupe de Ponijao en compagnie d’autres mères pendant que les enfants un peu plus vieux jouent ensemble et grimpent dans les arbres. Le bébé de fait nourrir à toutes les occasions qu’il pleure. Sa mère lui rase la tête dès qu’il commence à avoir des cheveux avec un couteau. Vers la fin du film, Ponijao apprend à marcher, lorsqu’il prend ses premiers pas, sa mère ne semble pas s’en apercevoir. Les enfants sont accordés beaucoup de liberté par leurs mères qui ont confiance en les plus vieux de s’occuper d’eux.
Famille 2
Hattie, un bébé venant des États-Unis nait dans un hôpital. Elle est tenue dans les bras de son père à sa naissance. Elle a l’attention complète de ses parents, ils lui lisent des livres pour qu’elle apprenne à parler, la baignent dans le bain, elle fait même du yoga. Sa grand-mère aussi lui donne beaucoup d’affection quand elle vient visiter. La mère nourrit Hattie avec une bouteille plutôt que de l’allaiter. Elle apprend vite à manger de la nourriture comme une banane. Elle va régulièrement au docteur pour s’assurer qu’elle est en bonne santé. Ses parents l’amènent à un cours pour les bébés et les parents ils font des exercices, dansent et chantent, c’est une manière pour les enfants de socialiser avec d’autres. Hattie fait beaucoup d’activités comme aller au parc, nager dans un jacuzzi et aller sur des promenades à vélo. Bref, Hattie est une petite fille très typique de pays industrialisés. La première année de sa vie est très similaire à celle d’un bébé Canadien.
Comparaison
Les bébés en Namibie sont beaucoup plus indépendants, ils jouent ensemble tandis que la petite fille américaine est très dépendante de ses parents et elle est seulement exposée aux autres bébés lorsqu’elle est avec ses parents. Leur approche à la socialisation de leurs enfants avec les autres jeunes est donc très différente. Ponijao ne boit que le lait de sa mère, par contre Hattie mange d’autre
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