De quelle manière l’entreprise s’inscrit-t-elle dans son environnement ?

CULTURE ÉCONOMIQUE JURIDIQUE ET MANAGÉRIALE

Thèmes 1 : L’intégration des entreprises dans son environnement

Chapitre 1 : De quelle manière l’entreprise s’inscrit-t-elle dans son environnement

         Toute entreprise doit tenir compte de leur environnement pour assurer le développement de son activité, les entreprises se trouve donc dans l’obligation de s’adapter aux évolutions de l’environnement.

On entend par environnement tout ce qui est à l’extérieur à l’entreprise et qui influencent l’activité.

Cependant l’entreprise peut aussi agir sur l’environnement par son activité et entraîner les modifications de celui-ci.

I : Les finalités économiques, sociales et sociétal

A : La finalité de l’entreprise selon Peter Drucker

→ finalité : but, raison d’être de l’entreprise

        Selon Peter Drucker, le profil n’est pas l’unique finalité de l’entreprise, même si le profit est essentiel pour assurer la pérennité de l’activité de l’entreprise.

Pour Peter Drucker, la finalité la plus importante est constitué par la satisfaction des besoins des clients.

Ce qui suppose une écoute de l’entreprise par rapport à son environnement.

Dans la réalité, les besoins sont souvent imposées par les entreprises qui contentent de produire des biens et des services afin de les rendre indispensable aux consommateurs.

Peter Drucker considère que l’entreprise doit aussi poursuivre une finalité sociale et une finalité sociétale.

La finalité sociale consiste à améliorer les conditions de travail des salariés de l’entreprise dans le but d’améliorer la performance de l’entreprise pour un accroissement de sa productivité (QVT).

La finalité sociétale (où environnemental) consiste pour une entreprise à adapter son activité pour éviter des dégradation de son environnement.

→ Performance : atteindre les objectifs

→ productivité : produire beaucoup à moindre coût

B :  La responsabilité sociétale de l’entreprise RSE

La responsabilité sociétale de l’entreprise a été institué par la commission européenne.

La RSE repose sur le principe du développement durable à l’échelle de l’entreprise et qui sont constitués par une finalité économique, une finalité sociale est une finalité environnementale.

La RSE repose sur le principe du volontariat au Niveau des entreprises qui sont libre de la respecter ou non.

C : De la RSE à la valeur ajoutée

Michel Porter a mis en évidence que la RSE était devenu une nécessité pour les entreprises dans la mesure où les finalités économiques sociales et environnementales conditionne la réussite de l’entreprise face a la concurrence.

II : Les différentes parties prenantes de l’entreprise

À : le concept des parties prenantes

La partie prenante peut être définie comme toutes individus ou groupes d’individus qui peuvent influencer les décisions de l’entreprise pour obtenir un avantage particulier.

Les parties prenantes de l’entreprise ont des intérêts divergents, le chef de l’entreprise doit prendre en considération pour fixer sa stratégie.

B : Les différents types des parties prenantes

Il existe deux types de parties prenantes : les parties prenantes primaire et les parties prenantes secondaire

Les parties prenantes primaires sont essentiels à l’activité de l’entreprise, elle développe avec l’entreprise une relation contractuelle de parmi les parties primaires on peut citer :

– les salariés (contrat de travail)                                       – Les clients (contrat de vente)

– les dirigeants (contrat de société)                                  – les fournisseurs (contrat d’approvisionnement)

Les parties prenantes secondaires sont non- essentiels a l’activité de l’entreprise. On distinguer 8 catégories de parties prenantes secondaire :

- les médias : peuvent améliorer l’image de l’entreprise comme en tenir sa réputation

- les réseaux sociaux : ont aussi une influence sur l’image de l’entreprise même si leur information n’est pas vérifiable

- les associations : ont une influence sur l’entreprise d’une manière indirecte, ont leur influence sur les consommateurs

- les ONG : ont aussi une influence sur l’entreprise par leur prise de position au niveau des activités exercées par les entreprises

- les institutions financières : ont une influence sur le développement des entreprise par l’attribution de crédits nécessaires aux financement des investissement

- les pouvoirs publics : peuvent influencer l’activité de l’entreprise par le versement de subventions dans le cadre de leurs développement ou obliger les entreprise a changer d’activité par la fixation d’interdiction

- les collectivités territoriales : peuvent influencer l’importation des entreprise sur leur territoire en accordant des subventions et des exonération fiscales

- les concurrents : ont l’obligation d’être a l’écoute de la concurrence pour éviter la compétitivité et la perte de parts de marché

III- La démarche entrepreneurial et la démarche managériale

A- La logique entreprenariat

        Joseph Schumpeter a définit la logique entrepreneurial a partir de 3 critères : l’innovation, la création d’entreprise et la prise de risque.

Selon Schumpeter, l’entrepreneur est un innovateur qui apport un éléments nouveau a son activité.

L’entrepreneur est un créateur s’est a dire qu’il est a l’origine de la création de l’entreprise, il accepte de prendre des risque en raison de l’incertitude de la réussite économique de l’entreprise.

B- La logique managériale

Selon Fayol, la logique managérial repose sur 5 éléments qui sont :

                         prévoir → organiser→ commander →  coordonner → contrôler

        → Prévoir consiste a assurer le développement de l’entreprise pour en assurer sa pérennité

...