Les conflits par rapport à la ressource de l'eau

                                        « L’eau est le sang de la terre, le support de toute vie. » Cette comparaison faite par Schauberger, philosophe, inventeur et théoricien autrichien est révélatrice de la place prédominante de l’eau. Celle-ci prend une place de plus en plus importante dans notre manière de nous développer et de construire notre monde. En effet c’tes une composante prise de plus en plus compte notamment avec le développement durable et l’écologie qui prônent l’économie des ressources et l’utilisation raisonner des ressources.

        Les tensions liées à l’augmentation de l’activité humaine tout autour de la planète entraine nécessairement des compris, entre nations rivales, autour de sujets majeurs comme les ressources naturelles. Ces compromis peuvent avoir lieu après d’accord a l’amiable ou au contraire de démonstration de force et même dans les cas extrêmes a la suite de conflit. La ressource en eau confronte donc parfois des pays, et parfois de très nombreux pays, autour de problématique ou chacun cherche à obtenir toujours plus et toujours mieux aux détriments des autres.

        Les débats qu’alimente la ressource hydraulique ne sont pas nouveau. Déjà en 1503 Léonard de Vinci et Machiavel souhaitaient détourner le cours de l'Arno pour éviter que Pise, une cité rivale de Florence, ne puisse avoir accès à l’eau du fleuve. Depuis le Moyen Âge, les conflits en Afrique coïncidaient avec les périodes de sécheresse.  Dans les sociétés asiatiques, l'eau était un instrument de puissance politique.  En Afrique le problématique a toujours été d’avoir un accès primaire a cette ressource. Le problème n’a donc pas été provoqué par la mondialisation mais il a été renforcé dans certaines régions qui sont basée sur l’agriculture et ou donc l’irrigation est primordiale. Dans d’autre régions comme autour du fleuve Syr Darya ces conflits sont également autour de l’accès à l’eau pour l’agriculture et sa mise en concurrence avec la production hydro-électrique. Au Liban et en Israël ces tensions sont créées à cause de la non-concordance des pays de chaque pays. Toutes ces situations anciennes se ressemble et n’ont donc jamais été réglées.

        Cette question liée a l’eau est un véritable point central dans les perspectives d’expansion et de développement de nos sociétés. Les problèmes climatiques qui sont de plus en plus mit en avant pousse également la considération de cette problématique. Elle régit la vie et donc si on ne règle pas cette question rapidement dans les régions soumises a de vives tensions à cause de l’eau, alors des guerres seront déclencher et, ou, des peuples entiers subiront une sècheresse et devront émigrés vers des territoires dotés de cette ressources. Il faut donc trouver des solutions rapides, innovantes et efficaces pour mettre fin à ces crises.

        Quelles sont les conséquences qu’a la gestion actuelle de l’eau ? Comment les pays dépendants et les puissances hydrique régissent ils à ces problématiques ? Les solutions misent en place sont-elles satisfaisantes ?

        Ces considérations apportées, nous expliquerons dans une partie les enjeux économiques et les dangers que soulève cette problématique dé la gestion de l’eau, ce développement nous poussera a aborder les enjeux sociaux lié a cette ressource.

1. Les enjeux économiques et les principaux risques liés a la gestion de l’eau

                Les Etats

1. L’énergie hydraulique enjeux de croissance

                Le contrôle des Etats sur la ressource en eau se fait principalement a partir des barrages hydraulique construit au fur et a mesure sur les fleuves. Ces barrages sont donc des retenues d’eau qui créées une capacité énergétique majeur. Les pays détenteur de tel installations veulent donc a tout prix mettre ne valeur et équipement. De plus de nombreux fleuves constituent des frontières entre pays, ou, les fleuves se poursuivent sur plusieurs pays avant d’atteindre la mer ou un lac. La tension ne vient pas de la construction en elle-même de l’infrastructure mais de l’activité qui ne résulte. En effet pour créer de l’énergie des lâchés doivent être pratiqués afin d’entrainer les turbines qui fabriquerons donc ainsi de l’énergie. Ors de ses lâchers une quantité importante d’eau rejoint le lit du fleuve. Cela a donc la plupart du temps des conséquences en aval. Les pays se trouvant donc en aval de barrage hydro-électrique détenu par un autre pays ne sont donc pas maitre de la variation des quantités d’eau. Le plus souvent cela a un impacte sur les espaces agricoles ou sur les espaces urbains si les lâchers sont trop importants. De forte tensions sont donc crées car les pays qui veulent a tout prix mettre ne œuvre ces infrastructures se doivent de prendre en compte les autres pays ce qui les empêche la plus part du temps de faire fonctionner à pleine capacité ses turbines hydraulique. C’est la situation dans la région du fleuve Syr Darya, ou le Kirghizstan possède un barrage, le Toktogul. L’Ouzbékistan et le Kazakhstan sont donc soumis à sa politique énergétique. De base le barrage avait pour but de conserver de l’eau durant les période humide ou l’eau était en trop grande abondance afin d’avoir des réserves lors des période ou elle venait a manquer. Mais à la suite de l’éclatement de l’Etat Soviétique, les intérêts étatiques prennent le dessus suite a l’indépendance des régions précédemment unifiés. Les pays en aval menacent donc le Kirghizstan d’attaque militaire. Les tensions sont désamorcées mais le risque de la reprise des conflits n’est pas écarté pour autant car les accords sont insuffisants. L’exemple de la nouvelle superpuissance hydro-électrique qu’est l’Ethiopie depuis la construction du barrage Renaissance sur le Nil finit en 2017 et qui a donc maintenant le contrôle sur le flux hydraulique du fleuve. Cet exemple montre bien que la question énergétique est très importante, notamment dans des pays ou le développement est encore faible. L’apport technologique pourrait être une solution afin de trouver un moyen de concilier les intérêts de tous.

1. L’eau, ressource indispensable a l’activité agricole

                L’activité agricole est réputée pour consommer énormément d’eau. Cette activité demande donc au pays une stratégie par rapport a cette ressource. Par exemple on peut citer l’exemple du conflit entre le Liban et l’Etat d’Israël ou ce dernier veut éviter que le Liban pompe et affaiblisse le courant du fleuve Hasbani car celui-ci est majeur dans son système d’irrigation agricole. Israël considère donc la construction de pompes et de canaux comme une déclaration de guerre. Le Liban qui souhaite mettre en valeur ses territoires et permettre a des villages d’accéder a l’eau se voit donc empêcher par son voisin. On y voit l’importance de la ressource en eau qui est renforcer par l’importance économique que peut avoir l’agriculture pour Israël. La souveraineté d’un pays peut donc être mise a mal par des menaces de la part des autres Etats dépendants du même fleuve. Cette problématique est aussi présente dans le Nord de l’Afrique. Par exemple le Maroc a consacré la majeure partie de sa ressource en eau a l’agriculture pour la production de fruit qu’elle vend dans le monde entier et qui lui assure une économie. Elle y consacre 90% de ses ressources. La population se voit donc dépourvu de cette ressource qui lui ai pourtant nécessaire pour vivre. Dans la région du delta du Nil la ressource en eau est également capitale pour l’Egypte qui a toute son agriculture concentrée autour du Nil. Le problème majeur pour ce pays est qu’elle n’a pas la main mise sur la totalité du Nil et donc les pays en amont peuvent lui couper tout accès à cette ressource. L’Ethiopie a notamment construit un barrage sur le Nil mais heureusement un accord a été trouvé afin de sauvegarder l’équilibre de la région malgré des tensions importante car le Nil concerne 11 pays de proche ou de loin. La question de la ressource en eau au sein de l’agriculture est donc géopolitique car on voit bien que ces rapports de force ont des conséquences majeures sur l’organisation économique des sociétés. La sauvegarde d’un équilibre et d’accords entre pays est donc plus qu’important : c’est obligatoire pour éviter des conflits importants.

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